Kora: Dragonnière de l'Ombre

CHAPITRE XII: Querelle

"N'en sois pas si sûr la prophétie peut bien dire que toi et moi devons coopérer je m'en fous, je trouverais bien une autre personne de ton espèce aussi répugnante que toi"

***
Jeod s'était éloigné. Le coup du livre ne semblait pas l'avoir fait rire. Je pourrais me sentir coupable, mais non. Je ris intérieurement. Les Élémentaires font peut être bien mieux de se méfier de la Magie Noire finalement. Je m'ennuyais fortement. L'attaque du macadrin n'avait en réalité était qu'une simple distraction, bien que la pile électrique n'ai sûrement jamais vu la faucheuse d'aussi près. D'ailleurs je ne comprends pas pourquoi elle me regarde avec insistance depuis voilà cinq minutes.

"Je peux savoir ce que tu regardes ? Lui demandais je calmement.

Elle fronça les sourcils.

-Toi, répondit elle.

Moi, rien que ça.

-Un problème peut être ?

-Maintenant que tu le dis, oui, j'essaye en vain de comprendre pourquoi tu m'as sauver tout à l'heure.

Je soufflais d'agacement, elle était vraiment têtu.

-Arrête de croire que je donne une quelconque importance à ta personne, je t'ai déjà dit que...

-Attends le macadrin c'était toi ? Réagis la lampe torche.

Je ne réussirai jamais à tenir plus d'une soirée avec eux.

-Cette perspicacité soudaine est du au fait qu'elle était profondément caché en toi depuis toujours ou viens tu d'être soudainement touché par la grâce ? Ironisais je.

Il se leva brusquement, ses yeux gris habité d'une colère noir.

-J'en ai plus qu'assez de la façon dont tu me parles ! Je ne suis pas un animal !

Je ris jaune.

-Pour moi tu n'est rien de plus qu'un vil serpent, qui profite du peu d'autorité qu'il possède pour soumettre les autres à lui.

Il rit à son tour.

-Tu ne sais pas qui je suis, tu ne connais rien de moi !

-J'en sais assez sur les gens de ton espèce, ils sont du genre à contraindre tout un peuple de s'exiler ! Dis je en criant.

Il me regarda d'un air mauvais et cracha:

-Vae victis* !

Je ne pus empêcher mon poing d'aller s'écraser sur son visage. Sa tête tourna, son masque d'impassibilité tomba pour laisser place à une surprise marqué puis à un sourire mauvais. Il se massa lentement la joue:

-Je ne pensais pas que tu oserais. Tu as de la chance que de ne pas frapper une femme fasse partit de mes principes.

-Crois moi tu deverais revoir tes principes. Lorsqu'une femme s'immiscera dans ta chambre et pointera une lame sous ta gorge il sera trop tard.

Il s'apprêtait à répliquer quand des bruits d'ailes nous fîmes lever la tête. Quatres ombres passèrent au dessus de nous avant de se poser dans la clairière. Enfin, le revoilà. Je ne prenais même pas la peine de continuer cette passionnante conversation avec le dragonnier et partit rejoindre ma moitié. J'enserrais fortement son cou qu'il avait baissé.

Je t'ai manqué ?

Tu ne peux pas savoir à quelle point !

En tout cas je peux voir que tu ne t'ai pas ennuyé.