L'amant de Livai Ackerman

parti 2.

Bah avant de faire la suite de l'histoire je voulais vous dire que je suis désolé de pas avoir fait la suite.
J'avais beaucoup de boulot et en plus de sa y avait aussi la chaleur et qui est toujours avec cette chaleur je n'étais pas très bien en plus j'avais pas trop envie d'écrit j'étais vraiment très fatigué en plus du boulot en tout cas j'en suis désolé je vais déjà faire une partie de l'histoire en vous disant bonne lecteur à tous.

Trois semaines plus tard.

Recru de fatigue, Eren sentait la migraine lui battre les tempes. Il ferma les yeux et inspira l'air tiède de la nuit.
Alors, il eut l'impression de revivre enfin.
La Toscane. L'odeur de la Toscane. Un parfum astringent où cèdre et romarin se mêlaient à des effluves de terre brûlée par le soleil, à mille lieues du brouillard aux relents de diesel qui enveloppait Londres. Ici, la chaleur vous pénétrait jusqu'aux os et vous forçait à vous détendre.

-Tu as l'air épuisé, mon chéri.

Eren vit sa mère l'observer par-dessus une bouteille de Chianti. Il étouffa un bâillement et lui sourit.

(Eren) C'est le voyage. Je n'ai pas l'habitude. Mais je suis ravis d'être ici.

Il n'y avait rien de plus vrai. Il était si traumatisé par le mariage d'Erena et tout ce qu'il impliquait..., ses propres échecs et, en particulier, son incapacité à (refaire sa vie)..., qu'il n'avait même pas eu la force d'imaginer à quel point ce voyage lui ferait du bien. N'était-ce pas la réalisation d'un rêve arraché à un lointain passé, à l'époque où il savait encore rêver ?

-Cela me fait plaisir que tu ais accepté de venir te changer les idées ici, répondit Carla en le détaillant des pieds à la tête. Tu n'avais vraiment pas l'air en forme.

-Je sais..., dit Eren en soupirant. Je suis en train de faire un régime, mais c'est difficile. Entre Erwin, le travail, les problèmes d'argent et tout le reste...

Avoir le coeur brisé présentait, en général, un point positif : on perdait l'appétit et l'on maigrissait. Ce n'était cependant pas le cas d'Eren. Lui, au contraire, avait plutôt tendance à chercher refuge dans la nourriture.