Gradyline

Un cours de Télépathie pas comme les autres...

Chapitre 3

Tiergan : Bon sachant que nous avons trois heures devant nous, vous allez consacrez vos 30 premières minutes à parler par télépathie, en renforçant, au passage, votre confiance. Ensuite, vous travaillerez dans l'esprit de ta mère en cherchant des détails de son passé, dit-il en s'adressant à Sophie. Vous ne pouviez pas faire ça ensemble, vous vous connaissez déjà presque par cœur sachant que vous connaissez, à l'un et à l'autre, tout vos secrets en tant qu'apparentés. En attendant faites comme si nous n'étions pas là.

Sur ce il s'enfonça dans son siège, on ne voyait presque plus son visage, en raison de la faible clarté. Puis il ferma les yeux avec malgré tout un sourire aux lèvres.

Fitz : J'ai ta permission ?

Sophie : Oui bien sûr

(Les conversations télépathiques sont en italiques)

Fitz : Alors ? De quoi veux tu parler ?

Sophie : Et bien...

Fitz : Ohh...il soupira en voyant l'idée qui traversait l'esprit de la jeune fille, je vais tuer Biana, à cause d'elle, je sens que tu ne vas pas me lâcher avec cette histoire de peluche...

Sophie : Mais c drôle, songea-t-elle en souriant.

Fitz : Si tu le dis...enfin c'est toi alors ça me dérange pas, et d'ailleurs, pour me venger je vais te montrer la tête de Biana quand elle était malade.

Sur ses lèvres se dessinaient un sourire malicieux...alors il montra le souvenir dont il parlait. Biana était méconnaissable, elle n'était pas maquillé, en pyjama et avait un teint verdâtre. C'est vrai que c'était surprenant de sa part.

Sophie : Et tu ne voudrais pas me montrer le souvenir dont Biana a parlé...? Insista-t-elle.

Un souvenir arriva dans l'esprit du jeune homme...il avait accepté de le montrer à Sophie, après tout c'était son apparenté avait-il déclaré par la pensée en lui adressant son habituel sourire de star de cinéma...ce qui fit chavirer la jeune fille bien évidemment.
Elle devait être rouge comme une tomate, à n'en pas douter ! Puis en contemplant le souvenir, elle se mit à exploser de rire, bientôt imité par le garçon craquant qui se trouvait en face d'elle.

Tiergan : Ça a l'air de bien se passer...

Edaline souriait beaauucoup trop au goût de Sophie, mais elle rigolait tant qu'elle ne put s'en inquiéter davantage. Elle manqua même de s'étouffer à plusieurs reprises, avec sa simple salive. Le souvenir de Fitz qui installait confortablement sa peluche pour manger était plus qu'hilarant ! Ils mirent tout deux un temps fou à se calmer, à peu près 20 minutes.