Des pensées tourmentées par l'amour❤

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Chapitre 25

《Changement de souvenir》

L'émissaire avait raccompagné la jeune femme chez elle.

Edaline : C'était très agréable.

Grady : Tant mieux, j'espérais que tu n'aies pas été déçue.

Edaline : Je ne le suis pas.

Ils s'approchèrent de la porte d'entrée.

Grady : Bon, je...

Edaline : Merci Grady. L'interrompit-elle avant d'approcher lentement son visage de celui du jeune homme, j'ai adoré, souffla-t-elle, puis elle réduisit l'espace qui séparait leurs lèvres.

Grady lui rendit son baiser sans aucune hésitation.

Grady : Moi aussi.

Le jeune homme était alors partit en lui adressant un magnifique sourire. Edaline était rentrée à 19h et quelques, elle avait mangé et Adri l'avait héler. On voyait sur son visage qu'elle était aux anges, cependant elle espérait que son ami ne se méprenne pas, il se pouvait fortement qu'il ai cru que ct son appel qui avait rendu heureuse la jeune femme. Elle ressassa cette merveilleuse journée en boucle jusqu'à ne pas oublier les clin d'œil de Grady, ses sourires, son rire et...quand il l'avait prit dans ses bras pour la surprendre en lui chuchotant à l'oreille...et puis ses regard, la première fois qu'elle l'avait vu rougir et aussi quand il avait affirmé qu'ils étaient tout deux en couple ou du moins qu'il l'espérait, tout ces petits détails lui illuminait le visage. Elle n'arrivait pas à chasser le beau jeune homme blond de sa tête, elle l'aimait...elle qui s'était toujours moqué des humains et leur manie de croire au coup de foudre. Il fallait qu'elle assume ses sentiments, oui elle l'aimait et déjà profondément, elle ne pensait qu'à lui, alors elle regarda l'heure et il était 22h24. Elle décida de le héler. On décrocha mais apparemment, ce n'était pas volontaire car quand elle put observer la scène se déroulant derrière l'écran, Grady était là, torse nu et une femme était face à lui...son cœur se serra alors.

?? : Grady...je t'en prie ! Tu peux bien faire ça pour moi ! Après tout ce qu'il s'est passé entre nous !

Les yeux d'Edaline se brouillèrent. Elle s'apprêtait à mettre fin à l'appel lorsque le jeune homme explosa.

Grady : Ça suffit Alina !! Ce n'est pas à moi de régler tes soucis, et pour ta gouverne, je soutiens fermement Alden ! Tu ne le lâchais jamais, oui lui et moi sommes proches mais je ne vais en aucun cas t'aider à le récupérer parce que je veux le meilleur pour lui. Si tu veux le récupérer, alors ne viens pas quémander l'aide d'un autre !

Alina : Et qu'est-ce que tu connais toi à l'amour un ? Tu n'as personne et tu oses venir me donner des leçons, moi au moins je me bouge pour le récupérer....

Grady : Non tu ne te bouges pas, tu t'obstines à croire qu'il t'aime et que rien ne se dressera entre vous cependant c'est fini !

Les mots firent mouche et la dénommée Alina fut blessé par ses paroles.

Grady : Et d'ailleurs, rajouta-t-il alors qu'elle s'apprêtait à sortir de l'appartement, je suis en couple et amoureux, mais je ne ferai pas la même erreur que toi, à savoir, la héler chaques soirs, même si l'envie m'en démange. Je la laisse respirer.

Avec un dernier regard noir, Alina partit. Lui soupira et s'assit en tailleur sur le sol, il semblait d'un coup avoir retrouvé sa bonne humeur, elle l'entendit alors murmurer son nom.

Edaline : L'envie me démangeais également de te héler, dit-elle d'une voix douce.

Le jeune homme perdu dans ses pensées, tourna la tête soudainement.

Grady : Edaline ?

Edaline : Tu as du décrocher involontairement et j'ai tout entendu.

Grady : Et j'espère que tu ne t'es pas imaginé des choses. Après tout, à première vue j'étais torse nu et une femme se trouvait devant moi.

Edaline : Qu'insinues-tu ? Que j'aurais du être jalouse ?

Grady : Non, que j'aurais compris si tu te fâchait envers moi. Mais...tant mieux si ça n'a pas été le cas...

Edaline : A vrai dire, si, je me suis imaginée des choses et j'allais raccrocher lorsque j'ai remarqué que tu étais énervé et en suivant la conversation j'ai donc compris que c'était une des anciennes copines de ton ami Alden.

Il eut un sourire.

Edaline : Si tu as envie de me héler n'hésite pas.

L'émissaire, cette fois-ci, parut gêné, non il rougissait devant elle !

GradylineOù les histoires vivent. Découvrez maintenant