Chapitre 66 (!).

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Je suis aux anges, je suis dans les bras de l'homme que j'aime. Je suis à califourchon sur lui, ma tête posée sur son torse, mes jambes de chaque de ses hanches et plier. Quant à Louis, il me caresse les cheveux tout en embrassant plusieurs fois le haut de ma tête. Nous avons décidé de faire l'amour toute la journée et même pas une seule fois, nous sommes sortis de ses appartements, trop heureux de nous s'être enfin retrouver.

Dit moi que je ne suis pas dans un rêve... Dis-je d'une voix pleine d'euphorie.

J'entends un léger rire de sa part.

Non, tu ne rêves pas mon amour... Répond-t-il.

Je relève ma tête pour le regarder droit dans les yeux.

Et maintenant que va-t-il se passer ? Lui demandais-je inquiète pour notre avenir.

Je ne comprends pas... Répond-t-il un peu perdu.

Nous nous sommes peut-être retrouver, mais Françoise reste tout de même enceinte... Lui dis-je.

Il me caresse la joue et m'embrasse les lèvres avec délicatesse.

Tu n'as pas à t'inquiéter pour cela, je vais sûrement l'envoyer à son domaine... Répond-t-il.

Quoi, mais tu ne peux pas faire ça ! Lui dis-je légèrement choquée.

Et pourquoi pas... Me répond-t-il en fronçant les sourcils.

Dois-je te rappeler qu'elle est enceinte... Si jamais elle fait une dépression à cause de nous, elle pourrait faire une fausse couche ! Lui dis-je en fronçant les sourcils à mon tour.

Je croyais que tu ne la supporter pas... Me répond-t-il.

Peut-être, que je ne la supporte pas, mais je me soucie du fait qu'elle soit enceinte, surtout qu'elle va surement entamer son huitième mois, c'est dans ces moment qu'il faut absolument la méningé et surveillé qu'elle n'en fasse pas trop si elle ne veut pas que son bébé soit prématuré... Lui expliquais-je.

Un prématuré ? Me demande-t-il ne comprenant pas le sens du mot.

Un bébé qui nait avant les 9 mois de grossesse. Lui expliquais-je.

Oh... Et c'est dangereux ? Me demande-t-il.

Eh bien, si le bébé nait au bout de 8 mois et demi, ça peut aller. Mais il ne faut surtout pas que ce soit avant, sinon cela pourrais être problématique... Lui dis-je. Le bébé pourrait avoir des problèmes de santé...

Je vois... Répond-t-il. Alors je vais demander à Gaston de la garder sous surveillance... Continu-t-il.

Tu as gardé le jeune médecin que j'ai embauché ? Lui demandais-je surprise.

Bien-sûr que oui... Je savais très bien que si je demander à des médecins à faire des saignés à notre fils, je pense que tu m'aurait maudis pour l'éternité... Répond-t-il.

Je ris face à sa remarque.

C'est vrai, mais je n'aurais pas fait que ça ! Lui dis-je souriante.

C'est-à-dire ? Me demande-t-il curieux.

J'aurais fait en sorte que tu n'aies plus de descendance jusqu'à la fin de ta vie ! Lui répondis-je.

Voyez-vous ça... Me répond-t-il. Serait-ce des menaces ? Me demande-t-il cette fois-ci avec un sourire moqueur.

Peut-être... Lui répondis-je en riant.

Je voudrais bien voir cela ! Répond-t-il tout en me plaçant sous lui. Je me mets rire face à son comportement, mais je m'arrête tout à coup, car je le sens me pénétrer une fois de plus tout en m'embrassant le cou avec empressement. Mes gémissements franchissent alors mes lèvres. Il s'écarte de mon cou, son regard est rempli de désir, d'amour et de joie.

Je vais vous faire passer l'envie de me menacer et de vous moquez de moi, chère Marquise des Anges ! Dit-il tout en faisant des allers et venue contre mon bassin.

J'ai hâte de voir ça ! Lui répondis-je gémissante tout en touchant ses avant-bras.

Tout en faisant des vas et viens en moi, il décide d'intercepter mes mains et de les placer au-dessus de nos têtes. Sans s'arrêter, il me sourit.

Et ça sera avec grand plaisir ! Répond-t-il tout en me pénétrant avec plus de brutalité.

Mes gémissements deviennent des cris de jouissances. Louis plonge la tête dans mon cou, l'embrasse et le suce avec avidité. Sentant sa passion grandir de plus en plus, mon orgasme approche et mes parois vaginales se resserrent autour de lui. J'essaie de dégager mes mains de son emprise, voulant le toucher, mais Louis en décide autrement et intensifie ses vas et viens. Le plaisir est tellement intense que des larmes coulent le long de mes yeux. Une nouvelle fois, il s'écarte de mon cou et m'embrasse à pleine bouche. Et enfin, nous jouissons ensemble. 

A travers Le Temps. 1- L'Âge du Soleil. (Terminer et en cours de correction)Où les histoires vivent. Découvrez maintenant