A travers Le Temps. 1- L'Âge du Soleil. (Terminer et en cours de correction)

Chapitre 46.

Je suis dans les appartements de Louis et cela fait maintenant quelques heures que mon fils à disparut.

Je ne peux pas rester sans rien faire ! Je dois aller le sauver ! Même-ci je dois y laisser la vie !

Je me dirige vers la penderie, mais je ne trouve malheureusement rien du tout !

Je dois trouver une tenue discrète pour retrouver La Voisin !

Je me dirige vers la penderie pour sortir de ma grosse malle à vêtements, je retrouve alors les vêtements que j'avais volé lorsque je venais d'arriver il y a quelques années. Je prends ensuite une cape assez vielle et cache mes vieux vêtements à l'intérieur. Je me dirige discrètement vers l'écurie royale.

Je dois me dépêcher !

Lorsque j'entre à l'intérieur, je me dirige vers Belle, je vais à l'intérieur de son box et me déshabille à la vitesse de la lumière, je me rhabille de mes vêtements de citoyens, je selle Belle et la sort avec beaucoup de discrétion. Je monte ensuite sur son dos et galope jusqu'à Paris.

Après une heure galop intense belle et moi arrivons enfin à Paris, le soleil est prêt à se coucher.

Je dois retrouver cette satanée maison !

Au bout de quelques minutes de recherche, je la trouve enfin ! Je descends de ma jument et lui donne une pomme.

Je serais rapide, c'est promis. Lui dis-je.

Je m'approche de la vieille maison et frappe à sa porte avec anxiété.

Je ne dois pas me dégonflée, pas maintenant !

La porte s'ouvre, je vois cette femme, elle a l'air épuisée à cause de son emprisonnement à la Bastille. Vous vous comment a-t-elle fait pour être libre. Quelqu'un a tout simplement verser une conscient.

Que me voulez-vous ? Me demande-t-elle d'une voix glaciale.

Je voudrais avoir votre aide... Lui dis-je d'une voix anxieuse.

Elle me regarde, puis me laisse entrer, j'entre dans la pièce. C'est une pièce humide, froide, sombre et qui me fait froid dans le dos ! Nous nous dirigeons vers son salon.

Comment puis-je vous aidez ? Me demande-t-elle.

Je voudrais que vous m'aidiez à retrouver mon fils... Lui dis-je.

Elle fronce les sourcils.

Comment s'appelle votre fils.

Il s'appelle Marc-Antoine. Lui répondis-je.

Je vois, alors vous êtes la Marquise des Anges... Me répond-t-elle tout en s'approchant de moi.

Ce soir, je ne suis pas la Marquise des Anges. Lui dis-je. Ce soir, je suis juste une mère qui veut retrouver son fils.

Une amie à moi m'a beaucoup parlé de vous, mais pas en bien... Me dit-elle.

Je suis pose que vous parler de la Marquise de Montespan. Lui dis-je en fronçant les sourcils.

Elle me regarde intriguée.

Vous êtes une femme intelligente et perspicace, je comprends pourquoi, elle vous déteste tant. Me dit-elle.

Je sais aussi ce que vous faîtes derrière le dos du roi, vous sacrifiez des bébés abandonnés, vous faîtes des rituels satanique et je sais aussi que votre plus grand allié n'est autre qu'Etienne Guibourg... Lui répondis-je.

Elle me sourit.

Je vais vous offrir un verre d'eau.

Non merci... Lui dis-je.

Je vais tout de même vous l'apporté. Me répond-t-elle d'une voix sinistre tout en partant.

Je prends alors un vase posé sur sa table et le casse sur sa tête, elle fut assommée instantanément. Je me mets à chercher dans les différentes armoires, je retrouve plusieurs fioles de poisons que je balance sur le sol, je trouve alors un petit carnet et tout une liste prénoms est inscrit.

Ça peut m'être utile !

Je cherche ensuite autre chose qui peut m'aider retrouver mon fils. Je trouve alors un autre carnet, c'est un carnet de rendez-vous. Je tourne jusqu'à la dernière page.

Rendez-vous au Châtelet isolé entre Paris et Orléans, rituel avec Madame de Montespan et le père Etienne.

Je sais où se trouve ma prochaine destination !

Je sors de la maison, c'est alors que je vois Dogal en face de moi.

Dogal ? Que fais-tu ici ? Lui demandais-je.

C'est à moi de te poser cette question ? Me demande-t-il en fronçant les sourcils.

Je recherche mon fils ! Lui répondis-je.

Et tu as pensé à ta sécurité ? Me demande-t-il en rogne.

Je me dirige vers ma jument les deux carnets que j'ai pris dans la maisonnette. Je monte sur le dos de Belle.

Amélie...

Dogal ! Je ne peux pas rester sans rien faire ! La vie de mon fils est en jeu ! Alors si tu veux bien t'écarter de mon chemin ! Lui dis-je hors de moi.

Amélie, je viens avec toi... Répond-t-il simplement.

Dogal, je ne t'oblige en rien...

Et moi je t'ai promis de te protéger, non...

Je soupire.

Comme tu veux... Lui répondis-je.