A travers Le Temps. 1- L'Âge du Soleil. (Terminer et en cours de correction)

Chapitre 50.

Cela fait maintenant quelques semaines qu'Athénaïs n'est plus à Versailles, Etienne et Catherine ont été mis au bûcher. Marc-Antoine a été correctement soigner et il dort profondément dans son berceau. Mais d'un coup un violent mal de tête !

Que se passe-t-il ? Pourquoi je me sens tout à coup fatigué !

Je tilt alors.

C'est ce qui s'est passé avant que je ne parte de mon époque pour celui-ci ! Ne me dîtes pas que je vais retourner à mon époque ?!

Je m'assois alors sur le lit et place ma tête dans mes mains.

Je dois rester calme !

Une personne entre dans l'appartement, je lève la tête et remarque que c'est Louis qui est entré.

Amélie ? Que se passe-t-il ? Me demande-t-il inquiet, tout en s'approchant de moi.

Ai-ce que je lui dis ?

Il s'accroupie face à moi.

Je sais que je vais quitter cette époque et je le sens... Mais je ne veux pas le quitter !

Ma vue se brouille, je sens des larmes couler le long de mes joues.

Amélie, pourquoi pleures-tu ? Me demande Louis tout en essuyant mes larmes.

Et si je lui dis et qu'il ne me croit pas ! Je ne le supporterais pas !

Je l'embrasse à en perdre l'haleine, mais il s'écarte.

Amélie que se passe-t-il ? Me demande Louis.

Tant pis ! Je dois me lancer !

Louis... Je voudrais te parler de quelques chose, et c'est très important... Lui dis-je d'une voix faible.

Il me regarde de plus en plus inquiet.

Je t'écoute... Répond-t-il.

Je t'ai menti sur ma vie... Lui expliquais-je.

Il ouvre les yeux en grand, mais n'ouvre pas la bouche.

Tu dois comprendre pourquoi je sais autant de choses sur certaines personnes et sur certains évènements. Je ne suis tout simplement pas de ce monde... Lui dis-je.

Il fronce les sourcils.

Je ne comprends pas Amélie...

Mon vrai nom n'est pas Amélie, mais Althéa. Je sais que tu mourras à 80 ans d'une qu'Engraine, j'ai su aussi pour l'affaire des poisons, aussi pour la mort d'Henriette d'Angleterre, la mort de ta mère à cause d'un cancer du sein... Et si je sais tout ça... C'est parce que... Parce que... Je viens du futur...

Louis me regarde choqué de cette nouvelle. Mais je décide tout de même de continuer.

Je suis née le 25 Octobre 1994...

Il ne me répond pas, ses yeux ont un mélange d'incompréhension et de quelques choses que je n'arrive pas décerné... Mais d'un coup, il se relève.

Tu te fiche de moi ? C'est ça... Me dit-il.

Je t'assure, je ne te mens pas... Lui dis-je. Si tu veux je peux te prouver que je ne me moque pas de toi... Demande-moi n'importe quoi... Lui dis-je prête à lui prouver.

Il se tourne vers moi.

Qui était mon père ? Me demande Louis.

Il s'appelait Louis XIII, il était le fils d'Henry IV et de Marie de Médicis, il est né le 27 Septembre en 1601 au château de Fontainebleau et mort le 14 Mai en 1643 au château neuf de Saint-Germain-en-Laye. Il est devenu roi de France et de Navarre de 1610 à 1643. Lui dis-je.

De quoi est-il mort ? Me demande-t-il.

Il est mort à cause de terrible colique et des vomissements... Lui expliquais-je.

Pourquoi ne m'a tu rien dit ? Me demande-t-il d'une voix dure.

J'avais peur... Je ne voulais pas que tu me prennes pour une sorcière ou pour une folle... Lui dis-je.

Pourquoi tu me le dit que maintenant ? Me demande-t-il une nouvelle fois.

Avant que j'arrive dans ton époque, j'étais atrocement fatigué et j'avais de terribles migraines. Lui dis-je.

Ses yeux s'écarquillent.

Cela vient juste de recommencer ? Me demande-t-il d'une voix blanche.

J'acquis de la tête.

Et tu savais que tu repartirais ? Me demande-t-il.

Non ! Je t'assure que je ne le savais pas ! J'avais perdue espoir de rentrer chez moi... Lui dis-je.

J'ai une autre question à te poser. Me dit-il avec sérieux.

Je le regarde avec tendresse.

Avais-tu tout planifié ? Me demande-t-il.

Comprenant le sens de sa question, je me lève et m'approche de lui.

Je ne voulais pas tombée amoureuse de toi... Je ne voulais pas modifier le passé, mais je n'ai pas pu y résister... Et nous avons eu Marc-Antoine... Lui dis-je.

Il m'embrasse avec tendresse.

Si je pars, tu dois me promettre de ne pas persécuter les Protestant. Lui dis-je.

Je te le promets... Répond-t-il en larmes.

Nous nous enlaçons. Et nous profitons ensemble en faisant l'amour et en nous occupant de notre fils.