Chapitre 73 (!).

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Je suis dans la baignoire dans les appartements du roi. Je me lave avec lassitude.

Je suis fatiguée...

Comment te sens-tu ? Me demande Louis d'une voix douce.

Je ne t'ai pas entendu entrée dans la pièce... Lui dis-je d'une voix tremblante.

Il me caresse la joue avec douceur.

Ce n'est pas de ta faute. Dit-il d'une voix douce.

Je sais... Mais, je ne peux m'empêcher de penser que j'aurais pu...

Pu quoi ? Sauvé l'enfant ? Me demande-t-il. Tu pouvais rien faire, cela arrive souvent ce genre d'atrocité. M'explique-t-il.

Je ne veux pas que ce genre de choses arrive si jamais je tombe à nouveau enceinte... Répondis-je.

Amélie, regarde-moi... Répond-t-il d'une voix sérieuse.

Mes yeux sombres dans les siens.

Je t'aime, Amélie, rien ne pourra jamais changer cela. Dit-il.

Je l'embrasse avec tendresse, sa langue touche la mienne, mais je m'écarte de lui.

Quant aura lieu la cérémonie du Fœtus ? Lui demandais-je.

Demain matin... Répond-t-il en m'embrassant une nouvelle fois. Ses lèvres descendent sur mon cou. Pour la première fois de puis de nos retravailles, il est doux et tendre. Tout d'abords, il m'aide sortir de la baignoire et me sèche à l'aide d'une serviette. Tout en m'embrassant, il me fait reculer jusqu'à ce que je tombe sur le lit. Je suis nu et il est toujours habillé, mais il décide autrement en se déshabillant entièrement, puis se place à califourchon sur moi. Il m'embrasse sur les lèvres, les siennes descendent sur mon cou, la poitrine. Mes gémissements franchissent mes lèvres, tandis que ses deux mains touche mes seins et sa langue mes tétons. Mes doigts s'emmêlent dans ses longs cheveux noirs. Lorsqu'il se lasse de ma poitrine, ses lèvres continuent de descendre jusqu'à mes lèvres intimes. Sa langue taquine mon bouton de chair sans aucune pitié.

Louis... Dis-je gémissante. Je t'en prie...

Louis se redresse légèrement.

Je te veux... Dis-je essoufflé.

Il me sourit, remonte jusqu'à mes lèvres et me pénètre avec douceur. Je prends son visage en coupe, tout en nous embrassant, des larmes de tristesse coule à nouveau sur le long de mes joues. Sentant mes larmes, il s'écarte de moi.

Pourquoi ses larmes ? Me demande-t-il inquiet.

Je ne sais pas pourquoi... Lui dis-je en pleurant toute les larmes de mon corps. Lorsque j'ai vu ce petit être sans vie, je n'ai pas pu pleurer, mais... Continuais-je.

Il se retire de mon antre pour me prendre dans ses bras. Pour la première fois de ma vie, je me mets à pleurer comme une enfant. Je me rends compte que la mort du fœtus m'a beaucoup affecté au plus profond de mon âme. Je plonge mon visage dans son cou et continue de pleurer encore et encore. Quant au roi, il me garde dans ses bras, jusqu'à ce que mes larmes se tarissent enfin. Lorsque je fini enfin, je m'éloigne du roi, les yeux rougie chagrin. Je sens mes yeux s'alourdir par le sommeil.

..............

En me réveillant, je remarque que je suis toujours dans la chambre de Louis et nue sous ses draps. Je sens des bras qui entourent ma taille, je me tourne avec délicatesse. Louis est endormi.

On dirait un enfant...

Je caresse sa joue avec délicatesse. Ses sourcils se froncent légèrement, mais ne se réveille pas pour autant.

Je t'aime... Murmurais-je en posant mes lèvres sur les siennes avec douceur.

Je sens ses lèvres remuer légèrement contre les miennes, il pose ses mains sur mes hanches et me place au-dessus à califourchon sur lui. Notre baisé se fait fougueux et langoureux. Sa virilité se durci contre ma cuisse. Lorsque je mets fin à notre baisé, je vois ses yeux se remplir de désir pour moi. Nous nous sourions et je l'embrasse une nouvelle fois. Sans aucune hésitation, je me redresse légèrement, et prend en main sa virilité sans brisé notre baisé. Et je m'abaisse pour que nous puissions enfin nous unir. Sans attendre, je fais bouger mes hanches avec une lenteur calculé, mais Louis en décide autrement en me renversant pour se retrouver au-dessus de moi. Impatient, ses vas et viens sont brutaux et passionné. Sa bouche se retire de la mienne et me il regarde droit dans les yeux. La passion est si puissante que je ne peux m'empêcher de fermer les yeux.

Regarde-moi... Dit-il sans arrêter ses coups de hanches.

J'ouvre mes yeux avec difficulté.

Ne t'arrête pas... Dis-je gémissante.

Ce n'est pas ce que je compte faire ! Dit-il gémissant à son tour.

Nous jouissons ensemble.

A travers Le Temps. 1- L'Âge du Soleil. (Terminer et en cours de correction)Où les histoires vivent. Découvrez maintenant