A travers Le Temps. 1- L'Âge du Soleil. (Terminer et en cours de correction)

Chapitre 27.

Le roi et moi sommes dans son salon, nous sommes assis sur le canapé.

Maintenant que nous sommes seuls, puis-je vous connaître un peu plus ? Me demande-t-il curieux tout en me regardant droit dans les yeux.

Et que voulez-vous savoir ? Lui demandais-je tout en lui souriant.

Parlez-moi de vos parents. Me dit-il.

Eh bien, mon père était médecin et ma mère était archéologue. Lui répondais-je.

Archéologue ? Me demande-t-il surprit. C'est très surprenant pour une dame. Continu-t-il.

Ma mère était une femme très indépendante et singulière. Lui répondais-je.

Comment ils étaient ? Me demande-t-il.

Ils étaient très gentils, c'étaient de très bons parents. Lui dis-je.

Mais si votre mère était Archéologue, alors vous avez énormément voyagé ? Me demande le roi.

C'est exact, nous avons énormément voyagés, mon père quant à lui a appris plusieurs façon de soigner ses patients grâce à ses voyages. Lui dis-je.

Où êtes-vous partit ? Me demande-t-il.

Nous sommes allés en Egypte, en Grèce, en Chine, en Inde et en Angleterre. Lui dis-je.

Et qu'a-t-elle découvert ? Me demande-t-il.

Oulla ! Je fais comment pour me sortir de là ?!

Pour tout vous avouer, j'étais petite, et de plus elle me parler pas vraiment de ses découvertes historiques. Lui mentais-je.

Je vois. Répond le roi. Mais vous, comment vous faisiez ? Me demande-t-il.

Je ne comprends pas le sens de votre question, sir. Lui répondais-je.

Comment vous supportiez tous ses voyages ? Me demande-t-il.

Pour tout vous dire, déjà petite j'étais une personne très solitaire, de plus j'adorais faire des voyages avec mes parents et ça me permettais aussi d'être plus cultiver. Lui répondais-je.

Il rit.

Avez-vous eu des enfants ? Me demande-t-il.

Je souris nerveusement et baisse la tête.

Non, je n'en ai aucuns. Lui dis-je. Et vous ? Lui demandais-je curieuse.

Oui, j'ai eu 5 enfants, mais malheureusement, seul mon premier et mon dernier enfant ont survécut. Mes trois autres enfants sont morts alors qu'ils n'étaient que des nourrissons. Me dit Louis tristement.

Je suis désolée... Lui répondais-je. Comment s'appelais-t-il ? Lui demandais-je.

C'étaient des filles. Anne-Elisabeth, Marie-Anne et Marie-Thérèse. Me répond-t-il.

Et vos deux enfants encore en vie ? Lui demandais-je.

En réalité, j'en ai plusieurs d'encore en vie. J'ai Louis, mon fils aîné que j'ai eu avec ma reine, Philippe-Charles mon dernier enfant que j'ai eu avec ma reine. J'ai eu 4 autres enfants avec Louise. Mon premier fils avec elle s'appelait Louis et il est mort à 2 ans, ensuite j'ai eu Philippe qui est mort à 1 an, Marie-Anne et Louis qui sont encore en vie.

Ai ce que c'est pour ça que vous ne voulez pas la laisser partir ? Lui demandais-je.

Qui ça ? Me demande-t-il ne comprenant pas.

Louise de la Vallières. Lui répondais-je.

Pour tout vous dire, je ne sais pas.... Me répond-t-il.

Je lui souris et je me lève avec douceur.

Et Athénaïs ? Lui demandais-je.

Il soupir.

Vous voulez vraiment parler d'elle ? Me demande-t-il.

Pour être exact, je ne sais pas pourquoi voulez-vous apprendre à me connaître du jour au lendemain. Etant donné que je sais très bien que vous êtes fou de cette femme. Lui dis-je sincèrement.

Etes-vous jalouse ? Me demande-t-il curieux.

Moi, jalouse ?! Et puis quoi encore !

Je ne suis pas jalouse ! Lui dis-je. Je vous demande pourquoi êtes-vous si curieux sur moi et pourquoi êtes-vous si attentionné à mon égard ? Lui demandais-je complètement perdue.

Et vous ? Pourquoi détestez-vous autant la Marquise de Montespan ? Me demande-t-il.

Vous me demandez pourquoi ?! Lui demandais-je commençant à perdre patience. Tout simplement parce qu'elle m'a insulté de Putain ! Lui hurlais-je dessus.

Calmez-vous, Marquise des Anges, n'oubliez pas à qui vous parlez. Me dit le roi.

Je sais à qui je parle ! Lui dis-je. Mais vous devez comprendre que cette femme est une... Oh ! Vous savez quoi ! J'abandonne ! Je rentre chez moi ! Je retourne dans mon château auprès de ma véritable famille ! Dis-je en lui tournant le dos prêt à partir de ses appartements.

Amélie ! Nous n'en avons pas encore terminé ! Dit le roi.

J'ouvre les portes du salon, mais deux gardes sont devant moi et me barre le chemin.

Vous n'avez pas fini votre phrase. Me dit le roi.

Le problème est que vous êtes bien trop aveuglé par l'amour. Lui dis-je tout en me retournant vers lui et en le regardant droit dans les yeux.

Essayer toujours. Me dit le roi.

C'est une manipulatrice, une langue de vipère et d'une vraie diablesse. Lui avouais-je. Tout ce qu'elle veut c'est vous contrôler et remplacer la Reine ! C'est tout ! Lui dis-je.

Il fronce les sourcils.

Je vous interdis de dire cela ! Dit le roi d'une voix dure.

Je soupire.

Voilà pourquoi je ne veux en aucun cas tomber amoureuse ! Dis-je à voix haute. Je crois que je devrais partir et de ne plus qu'on se côtoie. Lui dis-je.

Je me tourne à nouveau pour sortir.

Je vous interdis de quitter cette pièce ! Hurla le roi.

La vache ! C'est la première fois que je suis aussi impressionnée par la voix d'un homme.

Que voulez-vous que je vous dise d'autre ? Lui demandais-je sans même me retournée.

Regardez-moi ! M'ordonne-t-il.

Pourquoi ? Lui demandais-je.

Parce que je vous l'ordonne ! Me dit-il d'une voix autoritaire.

Je comprends pourquoi je suis si énervée ! Je suis jalouse du bonheur de cette femme. Elle a un homme qui l'aime réellement, mais elle n'a aucun scrupule de le manipuler !

Des larmes de peine et de colère coulent le long de mes joues.

Nous en avons terminé... Lui dis-je d'une voix tremblante.

Je bouscule les deux gardes et je m'enfuie du château de Versailles.