A travers Le Temps. 1- L'Âge du Soleil. (Terminer et en cours de correction)

Chapitre 31 (!).

Il m'embrasse avec fougue.

C'est quoi ce bordel ?!

Voyant que je ne réagissais pas, il s'écarte légèrement de mes lèvres, me regarde avec douceur, puis m'embrasse une seconde fois, mais avec plus de tendresse.

Non ! On ne peut pas faire ça ! Je ne veux pas faire de modifications à cette époque, Je ne pas être non plus comme cette garce de Montespan et il est surtout marié !

Je m'écarte de lui avec regret. 

On ne peut pas.... Lui dis-je gênée.

Pourquoi pas ? Me demande-t-il voulant m'embrasser une fois de plus.

Tout simplement parce que je ne suis pas une femme capable de faire ce genre de choses... Lui dis-je.

Il me regarde ne comprenant pas.

Je ne suis pas une traînée... Lui dis-je plus clairement. Je ne veux pas non plus blessée la reine, de plus nous ne venons pas du même monde. Lui dis-je.

Du même monde ? Me demande-t-il.

Vous êtes né roi et je suis née paysanne. Lui dis-je. Nous ne pouvons pas avoir ce genre de relation. Continuais-je.

C'est ça qui vous fait peur ? Me demande-t-il un peu contrarié.

Oui... Dis-je d'une voix basse.

Il soupir.

Amélie... Vous ne devez pas avoir peur de cela ! Dit Louis d'une voix tendre.

Vous ne comprenez pas... Lui dis-je.

Alors expliquer moi ? Me demande-t-il curieux tout en me regardant avec douceur.

J'entre ouvre mes lèvres, mais pas un seul mot sors de ma bouche, je suis comme paralysée. Ce qui m'aide encore moins est que mon cœur bat à la chamade.

Je ne peux pas ! Je ne dois pas tomber amoureuse de lui !

Avez-vous peur que je me lasse de vous ? Me demande-t-il voulant me faire réagir.

Cela marcha, car je sursaute et le regarde pétrifiée.

Vous n'avez aucune raison de vous inquiéter de cela. Me dit-il. Vous êtes la première femme qui m'obsède à ce point. Continu-t-il. 

Il m'embrasse une fois de plus avec plus de douceur que tout à l'heure, puis il s'écarte, mais je décide autrement en l'embrassant avec un peu plus fougue et entourant son cou de mes bras. Il pose ses mains sur mes hanches, nos langues s'entremêlent enfin. Nous nous dirigeons vers mon lit, il interrompt notre baisé, s'assoit sur le lit et tend sa main vers moi. Je lève ma main vers la sienne et Louis l'a saisi. Il m'oblige à m'asseoir à califourchon sur ses genoux et m'embrasse avec douceur tout ajoutant la langue. Je plonge mes mains dans ses longs cheveux noirs, quant à lui, il repose ses mains sur mes hanches. Il relève ensuite avec douceur ma longue chemise blanche pour me la retirer entièrement. Je suis alors nue devant lui. Je fais la même chose avec lui, je retire son peignoir et sa longue chemise blanche. Nous sommes maintenant tous les deux nus. Il s'écarte de mes lèvres et plante des baisés dans mon cou. Je penche ma tête en arrière pour qu'il ait plus d'accès. C'est alors qu'il me renverse sur le lit. Je me retrouve maintenant en dessous du roi. Il descend ses lèvres sur mes seins et les embrasse avec empressement cette fois. Mes gémissements deviennent plus perceptibles, il plonge sa main entre mes jambes et de ses doigts touche mon clitoris. Je sursaute légèrement, mais il continu à me donner du plaisir sans même me laisser aucun répit. Il commence à stimuler ce petit bouton de chair jusqu'à ce que j'atteigne l'orgasme. Il se redresse, son pénis gorgé de désir pour moi et prêt à me donner plus de plaisir que tout à l'heure.

Louis... Dis-je peu sûr de moi.

Il m'embrasse avec douceur.

Quelque chose t'effraie ? Me demande-t-il inquiet.

C'est ma première fois... Lui avouais-je.

Il ouvre les yeux en grand, mais il me sourit la seconde d'après.

J'irais doucement, c'est promis... Me répond-t-il d'une voix douce.

Il écarte mes jambes et place son pénis devant l'entrée de mon vagin. Il commence tout doucement à entrer en moi, je me serre face à cette intrusion étrange.

Essai de te détendre.... Dit-il tout en essayant de retenir ses coups.

J'acquis de la tête et me détend, enfin, essai du moins... C'est alors qu'il bloque.

Il va falloir que je force légèrement. Me répond-t-il.

Sans même me prévenir, il força son entrée, une douleur insoutenable me pourfend partout à la fois. Mes mains contre son dos et sans le vouloir je plante mes ongles dans son dos. Des larmes de douleurs coulent le long de mes joues. Il s'arrête dans tout mouvement pour que je puisse m'habituer à sa présence. Il attend quelques minutes, puis il commence ses vas et vient, le plaisir me submerge chaque secondes. Je sens une fois de plus l'orgasme revenir en moi. Mes gémissements deviennent des cris. Et enfin, nous jouissons dans un immense plaisir.