Sir ? L'appelais-je inquiète.
Mais il ne dit rien. Au contraire, il reste muet comme une carpe.
Que lui arrive-t-il ?
Je m'approche de lui avec douceur.
Avez-vous mal ? Lui demandais-je bêtement et innocemment.
Ne dîtes pas de bêtises, Amélie, je m'en rends compte que je ne suis qu'un être humain et que je ne suis pas absolue.... Répond le roi d'une voix tremblante.
Je m'accroupie face à lui.
Regardez-moi. Lui dis-je d'une voix douce.
Pourquoi ? Pour que vous puissiez vous moquer de moi ? Me demande-t-il d'une voix dégoûté de sa faiblesse.
Je place mon index de ma main droite sous son menton et le relève. Je vis avec surprise qu'il pleure.
Pourquoi....
Je ne suis qu'un homme... Dit-il.
Je prends son visage entre mes mains.
Oui, vous êtes un homme, mais vous n'avez pas à pleurer pour cela... Lui dis-je d'une voix douce.
Et moi qui croyais que j'ai été choisi par dieu lui-même et que j'étais absolu. Me répond-t-il en écartant son visage de mes mains.
Personne n'est absolu. Lui dis-je.
Je suis un être faible... Dit le roi.
Non... Dis-je dans un souffle. Vous n'êtes pas faible. Vous êtes mortel certes, mais même si que vous avez des faiblesses, vous pouvez les transformer en forces. Lui répondais-je. De plus, votre frère sera toujours auprès de vous pour vous soutenir en cas de faiblesse, tout comme votre Reine. Continuais-je.
Je peux peut-être compter sur mon frère, mais pas sur la Reine. Me répond-t-il.
Pourquoi pas ? Lui demandais-je.
C'est une femme qui ne s'est jamais intéresser à la politique ou à quoi que ce soit, elle préfère rester avec ces petits chiens, ses nains, ses dames d'honneurs Espagnol et manger du chocolats dans notre lit. Me répond-t-il.
C'est problématique....
Mais vous pouvez toujours compter sur vos conseillers. Lui dis-je.
Il sourit légèrement dégoûté.
Peut-être... Me répond-t-il.
Vous n'avez pas l'air enchanté... Lui répondis-je.
Tout simplement parce que la dernière fois que j'ai fait confiance à l'un d'entre, cet homme m'a trahit et a failli me tuer. Me répond-t-il d'une voix pleine de colère.
C'était pour quel raison ? Lui demandais-je.
Il croyait qu'il pourrait contrôler un gamin comme moi, mais je l'ai su et je l'ai exilé du conseil, mais il est revenu une nuit pour me tuer, heureusement que le chef de la police était avec moi, il m'a protégé et a tuer ce traître. Dit le roi.
Et en qui avait-vous réellement confiance ? Lui demandais-je.
Personnellement... Je ne sais pas en qui je dois faire confiance... Me répond-t-il complètement perdu.
Puis-je vous posez une autre question, Sir ? Lui demandais-je.
Il me regarde surprit que je lui pose la question.
Allez-y. Me répond-t-il.
J'ai entendu dire que vous avez emprisonné Nicolas Fouquet, parce qu'il était beaucoup plus riche que vous, ai ce que c'est vrai ? Lui demandais-je.
Son regard s'assombrit.
Oui, c'est vrai, je l'ai enfermé, mais il n'y avait pas que pour l'argent, il voulait surtout être plus puissant que moi. Me répond-t-il. Pourquoi cette question ? Me demande-t-il.
Je lui souris gentiment.
Pour savoir... Lui répondis-je.
Pourtant il y a quelque chose qui vous as déranger lorsque je vous l'ai expliqué. Me dit-il.
Je trouve cela un peu excessif de l'emprisonner... Lui répondais-je sincèrement.
Vous avez énormément de choses à apprendre. Me dit-il. Je suis le roi et en tant que roi, je dois punir les personnes qui essai de prétendre plus puissante que moi-même. M'explique-t-il.
Je vous avoue que je ne comprendrais jamais cette façon de penser... Lui répondais-je.
En tant que roi, je dois porter un lourd fardeau et je dois le porter seul.... Me répond-t-il.
Vous vous trompez. Lui répondis-je. Vous n'êtes pas seul, vous pouvez demander à votre frère de vous aider à régner. Lui dis-je.
Je ne peux pas. Me répond-t-il catégoriquement.
Pourquoi ? Lui demandais-je. Parce que vous êtes roi et en tant que roi vous n'avez besoin d'aucune aide ? Lui demandais-je à nouveau.
C'est exact ! Me répond-t-il tout en plongeant son regard dans le mien.
Il est borné !
Je soupir.
Très bien ! Pensez à ce que vous voulez, mais ne vous plaignez pas si j'ai raison ! Lui dis-je cache.
Raison à quoi ? Me demande-t-il tout en fronçant les sourcils.
Que vous avez le droit d'appeler à l'aide ! Lui dis-je au tac au tac. Vous êtes peut-être un roi, mais vous êtes avant tout un homme ! Un homme peut appeler à l'aide s'il ne sait plus quoi faire ! Lui dis-je.
Je me relève.
Mais après tout, je ne suis rien pour vous, alors vous n'êtes pas obliger de suivre mes conseils. Lui dis-je simplement. Alors maintenant si vous voulez m'excuser, j'aimerais aller me coucher. Lui répondais-je.
Au moment où je m'apprête à partir, je le sens se relever de mon canapé et une poigne autour de mon poignée.
Que se passe-t-il ?
Il me retourne et je sens ses lèvres contre les miennes.
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A travers Le Temps. 1- L'Âge du Soleil. (Terminer et en cours de correction)
FanfictionAlthéa est professeur d'histoire, c'est une personne normale, mais l'histoire qui l'a passionne le plus est celle de Louis XIV ou appeler sous le nom du Roi Soleil. Un jour, elle visita le château de Versailles, elle rentra ensuite chez elle, mais p...
