A Mafia's Victoria

Chapitre 77

PDV Chloé

Elle ne me laisse pas le temps de réagir, ni de réfléchir et c'est mieux ainsi. Sa main droite, qui n'avait toujours pas lâchée la mienne, vient maintenant se placer à l'arrière de ma tête, comme si notre baiser n'était pas déjà assez approfondi !

Son autre main reste sur ma hanche, tout en exerçant une étreinte, me rapprochant encore un peu plus, avant de tracer un chemin le long de ma colonne vertébrale. Un petit gémissement m'échappe à ce contact, brisant notre baiser un instant. Elle lâche un petit sourire malicieux, comme un enfant qui aurait fait une bêtise et qui en serait fier.

Elle m'embrasse de nouveau. Ce baiser est différent du dernier, il est plus lascif, plus suave, plus ... luxurieux. Comme si on en avait besoin toutes les deux, que ça nous était vital. Mon corps, mon esprit ne m'appartiennent plus. Ma main parcoure son dos, la touchant à peine. Victoria délaisse mes lèvres pour venir se placer dans mon dos, ses mains autour de ma taille, ses mains se rejoignant sur mon ventre.

PDV Victoria

Je place mes lèvres conte son cou, prenant un moment pour sentir son parfum. Mes bras se resserrent autour de sa taille. Mon souffle contre sa nuque la fait frissonner légèrement et je souris contre sa peau. J'embrasse légèrement sa nuque, désespérée de lui en donner plus. Elle expire brusquement alors que je commence à embrasser la base de sa mâchoire. Je continue jusqu'à ce que mes doigts trouvent la base de son haut.

- " Je peux ? " Elle ne formule pas de réponses, à la place, ses doigts viennent trouver les miens et elle les place elle-même sur le curseur de la fermeture éclair. Je le descends volontiers et viens faire glisser son haut le long de ses bras, avant de le poser sur le fauteuil.

PDV Chloé

 Sa main vient se poser sur la peau de ma taille, à présent nue. Ce geste me procure un frisson, et c'est tellement satisfaisant !

Elle fait glisser ses mains le long de mes côtes jusqu'à ce qu'elles remontent le long de mon dos, me procurant un frisson. Ses mains à présent sur mes épaules, l'une d'entre elles longe mon cou pour me faire tourner la tête, afin qu'elle puisse m'embrasser. Je sens le désir en moi grandir brusquement. Ses doigts sont comme de la soie contre ma peau et je ne veux pas qu'elle les enlève.

Je presse mon dos contre son corps tandis que je sens sa main descendre vers mes clavicules. Je sépare nos lèvres et me retourne pour lui faire face. Je vois ses yeux passer de mon visage à mes clavicules ; où était toujours sa main, puis à ma poitrine. Mes mains se dirigent sur ses hanches, la rapprochant encore plus qu'elle ne l'était déjà, la voulant totalement contre moi. Je la regardai dans les yeux pendant une seconde avant de rapprocher de nouveau nos lèvres, et de reprendre le rythme.

Sa main trouve le côté de mon cou et je sens ses dents effleurer doucement ma lèvre inférieure, puis sa langue demandant l'accès à ma bouche. J'admets ne pas l'autoriser de suite, mais ses doigts s'enfoncèrent dans la peau de mes hanches et un petit gémissement m'échappe, lui permettant d'ajouter sa langue au baiser. Je dois maintenant admettre que cette sensation est loin d'être désagréable. 

Mes mains commencent elles aussi à chercher les bretelles de sa combinaison. Notre besoin d'air nous sépare un court instant, mais elle m'embrasse à nouveau de manière furtive, tout en me dirigeant avec précaution jusqu'au lit. Au moment où mes mollets percutent le rebord, je me laisse tomber en arrière, m'asseyant. Elle enlève sa combinaison, la laissant tomber à terre et vient se mettre à califourchon sur mes jambes.