Chapitre 8

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PDV de Momo.

Je n'aime pas ce décolleté. Tout le monde voit ce que j'ai. On n'arrête pas de me mater. Que ce soit mon haut ou bien mon bas.

Tous les hommes ont l'air de vouloir me faire des choses pas très catholiques.

Les femmes me traitent comme si j'étais une fille de joie. Je ne le suis pas, je n'aime même pas m'habiller comme cela. Même si je m'habillais comme je suis cela ne ferais tout de même pas de moi une fille facile.

Je rentre dans le restaurant. Le faux collier chic pesant lourd sur mon cou.

Je ne me sens pas bien, j'ai l'impression que je suis en plein cauchemar.

Je sens que l'on m'attrape les fesses par derrière. Est-ce que tous les hommes sont-ils des porcs ?

Je me retourne, le type qui vient de m'attraper les fesses, est un vieux tout sale.

Mon envie de vomir arrive.

Je vois que l'on s'assis face à moi.

Au moins, il a mon âge c'est déjà cela. Ou en tout cas, il fait mon âge.

Il est habillé chiquement mais on voit bien qu'il était occupé, il n'y a pas si longtemps à fabriquer des choses.

- ???: Bonjour Momo.

-Momo : Tu connais mon prénom ?

Il me regarde gentiment. Il est en fait plutôt beau. Non ne tombe pas amoureux de lui. Tes parents veulent se servir de toi pour avoir son argent.

- ???: Je te connais car mon frère jumeau est dans la même classe que toi. Enfin bon au vu de comment il t'avait décrit, je ne t'aurais jamais imaginé te voir comme cela.

Non ce n'est pas la vraie moi.

Je sens que quelque chose coule sur ma joue.

Je suis en train de pleurer.

Je le vois bidouiller à quelque chose sous la table.

- ???: Bon j'imagine que ton collier électrique doit être cassé. J'ai bien fait d'avoir encore sur moi tout le nécessaire pour faire une machine à impulsion électrique. Cela était suffisamment puissant pour casser ton collier électrique.

J'enlève le collier, j'ai pu sans me faire électrocuter. C'est un véritable miracle.

Je suis libre.

- ???: Je vois bien que tu es blessé, tu devrais peut-être vite aller te faire soigner.

Je me lève et je me casse la gueule.

Je m'évanouis.

-Kuhatsu : Euh appelez une ambulance.

-Serveur : Oui monsieur Kuhatsu.

Je sens que l'on me porte.

Izuku TodorokiOù les histoires vivent. Découvrez maintenant