PDV d'Izuku.
Nous nous rendons dans une ruelle sombre et éloigné des grands centres de populations, c'est pour être plus discrets. Enfin il pue tellement ici que je crois que je vais finir par vomir, on va m'appeler Vomito avant la fin de la journée, j'en suis sûr.
Mettaton ne sent pas les odeurs donc cet endroit ne doit pas trop le gêner.
Je vois à la tête de Sir, qu'il pense qu'il aurait dû demander un autre endroit pour se voir. Cela se lit dans ses yeux. Il a l'air lui aussi être sur le point de vomir.
-Sir : Il n'y a aucun risque, j'ai regardé l'avenir avec mon alter, personne ne nous verra parler avec Mettaton.
Enfin personne qui se fera repérer. Vu qu'il ne peut pas se projeter trop dans l'avenir. Si cela se trouve il y a déjà une personne qui rapportera notre entretien. On ne peut jamais être totalement sûr que l'on ne s'est pas fait suivre et/ou écouter par un tiers. Il y a des gens avec des alter qui les rends tous simplement indétectable.
Je vois Mettaton, j'imagine que c'est elle/lui, il porte un énorme manteau brun, un véritable imper brun. Le vêtement me fait penser à un pédophile, Hisoka fait que tu ne sois pas là.
-Mettaton : Alors c'est vous, je savais que cela ne pouvait pas être Kuhatsu au vu de son état.
Il est mort comment cela son état, on dirait qu'il/elle parle comme s'il était encore en vie, vivre dans une illusion n'est pas bon.
En même temps c'est un robot, ils n'ont pas les mêmes besoins que nous.
-Mettaton : La gamine, Eri se trouve dans la base qui se trouve sous le domaine principal des huit préceptes de la mort. Je ne connais pas son emplacement exact, je ne peux pas vous aider plus. Ils me laissaient il y a encore peu avoir des contacts avec la petite mais ils l'ont bougé de place. Je peux vous dire qu'a ce qu'il parait la ligue aurait trouvé finalement un accord avec les huit préceptes de la mort. Je n'ai pas plus d'infos. Je vais y retourner. Je crois que Kuhatsu a fait passer une phrase très mystérieuse à l'encontre d'Endeavor, je ne sais rien de plus à part la phrase « le passé ne meurt jamais. ».
Il/elle est parti, nous laissant avec nos interrogations.
