28: Divinement divin

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Alejandro

Maintenant que bella est de retour il faut que je réouvre le dossier:

Fils de pute de García

La tête de Pedro dans son salon c'est pire qu'un avertissement dans notre monde c'est une mort lente, longue, et douloureuse.

J'ai les nerfs contre leur père car elle mérite pas son père, ce monde ni même ma personne. On est trop noire pour elle et elle est trop claire pour nous.

J'ai beau dire que je la déteste ce qui est pas totalement faux mais elle mérite pas ça. Mon plan de base était de la renvoyer dans un endroit sûr mais avec ce putain de pari de merde je fais l'inverse.

Je laisse mes sens et mes hormones parler à ma place et c'est rageant parce que quand j'étais avec Alexia je me contrôler mais avec elle c'est peine perdu. Ses yeux sont trop envoûtant et sa voix... bandante.

Mes mots lui font de l'effet mais elle fuit pas au contraire elle reste. Encore pire elle se rapproche. Je pensais que l'insulter de pute aller lui faire quelque chose mais non rien. C'est hallucinant.

- Tu sais quoi de leur père? Demande Félix en levant la tête vers moi. Asher en parle peu et Sarah évite au maximum le sujet.

Je connais leur histoire enfin que du point de vu de mon meilleur ami et c'est pas joli à entendre.

Mon père c'est fait trahir par son meilleur ami et leur père a trahit sa femme et ses enfants ce qui est pire pour moi.

- Je sais juste que c'est un fils de pute et que je vais lui faire bouffer ses morts. Dis-je calmement. Et que sa mort sera extrêmement lente et douloureuse.

La première fois que j'ai entendu bella faire des cauchemars j'ai compris que c'était par rapport à lui. Elle murmurait son prénom, et le supplier d'arrêter de la frapper, de lui tirer les cheveux.

- Il faut qu'on le trouve d'abord. Soupire le blond. Et ce bâtard est extrêmement bien caché.

Effectivement, quatre mois que Asher le chercher. Notre arrivée dans son appartement n'était pas si étonnant. Il savait ce qu'il faisait que si mes hommes et moi allons là-bas on allait la ramener et la mettre en securité. Il avait prévu son coup.

Félix

Après trois heures de recherche qui ne mène à rien je quitte Alejandro et toute les ressources qu'on a pour trouver el cábron. Je sors mon téléphone et compose le numéro de Nina qui répond dés la première sonnerie.

- Comment va la plus belle des femmes? Je demande le sourire aux lévres.

- Tais-toi donc. Elle rigole et putain son rire est hypnotique. Je rentre ce soir, je suis pressé de te revoir.

Boum... boum... boum...

- Je le savais.

Nina, la femme de ma vie.

Notre relation est secrète, si ont peut appeler ça une relation. Je souris et la laisse me raconter des choses inutiles, je veux juste entendre le son de sa voix. J'adore quand elle me parle, quand elle me parle je me sens moins seul. Je me sens divinement bien.

FavelaOù les histoires vivent. Découvrez maintenant