77: Lui

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Scène à caractère sexuel

J'atterris sur un lit et je fais face à un Alejandro fou de joie, d'habitude il est fou en colère parce que je fais toujours n'importe quoi mais ce soir il est fou de joie. Je l'ai jamais vu sourire aussi longtemps et tout ça c'est grâce à moi. Cette image de lui va rester gravée à vie dans ma tête, il va rester gravé dans mon cœur à jamais.

- Tu peux pas savoir à quel point je suis heureux. Dit-il le sourire aux lèvres. Putain Sarah tu peux pas imaginer à quel point je t'aime.

Oh si je peux imaginer.

- Je t'aime Alejandro.

Il sourit encore plus et me fixe, je suis accoudé contre le lit et lui me sourit honnêtement.

- Putain Sarah tu me rends dingue.

Je peux ni ignorer mon cœur qui bat à mille à l'heure ni les papillons qui s'envolent dans mon ventre. Je souhaite à toutes les filles que trouver leur Alejandro, il sera réparé vos coeur et le remettre en marche.

- Tu peux pas savoir à quel point je bande.

Mes yeux descendent instinctivement sur le bas de son corps et à travers son jogging gris je vois la bosse qui déforme son pantalon. Ma respiration accélère et je soupire longuement.

- Tu peux pas savoir à quel point j'ai envie de toi.

- Si je peux imaginer. Dis-je amusé.

Un sourire prend possession de son visage et plus il s'avance vers moi plus le bas de mon ventre s'enflamme. Il sait comment me faire réagir. Il sait comment faire. Il maîtrise l'art de me faire réagir.

- Tu peux imaginer que à ce moment précis j'ai tellement envie de te faire l'amour ?

Me faire l'amour.
Pas me baiser.
Ni coucher avec moi.
Il veut me faire l'amour autant que moi j'en ai envie.

- Est-ce que je peux te faire l'amour Sarah ?

Oh mon dieu. Je hoche la tête et il me relève en posant ses mains sur mes hanches, ses doigts me brûle la peaux. Ses lèvres s'écrase dans mon coup et sa langue lèche ma peau, il me marque, mes mains se ballade sur son ventre et il grogne.

- Je vais pas tenir longtemps hermosa.

Je mords mes lèvres et tout est instinctif, je me cambre contre lui et ma main saisis son érection, il ne gémit pas ma sa respiration est loin d'être lente et est rapide et la mienne est pareil.

- Je te veux. Chuchote-t-il en mordillant mon oreille. Je te veux maintenant.

- Alors prends moi Alejandro.

Un éclair de désir passe dans ses yeux et je me laisse faire, je le laisse me contrôler, je le laisse m'aimer.

- Dis le moi.

- Je te veux.

Il sourit et me pose délicatement sur le lit, je le lâche pas du regard quand il enlève son maillot dévoilant son corps d'apollon, ses abdos, ses tatouages, ses bleus sont tout ce que j'aime chez lui. Puis il enlève son jogging et mes cuisses se serrent, il est incroyablement magnifique. Son érection est plus grosse que ce que je pensais et je comprends son empressement, il n'y aura pas de préliminaires comme la dernière fois.

- Déshabille moi.

J'observe tout, j'imprègne ce moment dans ma tête, lui qui sourit, ses mains qui enlève mes vêtements avec une douceur indescriptible. Il y a aucune précipitation, on est excité tous les deux, mais il me respecte autant que je l'aime.

- Tu es si belle Sarah putain.

Mon cœur se serre, mes lèvres s'étirent et je me sens merveilleusement bien. Il me regarde, non il me scrute et embrasse chacune des mes brûlures sur mon torse. Il les embrasse et chuchote que je suis magnifique, il fait tout ça en me regardant.

- Tu es un cadeau du ciel.

Un cadeau du ciel. Pas un problème comme dirait l'homme qui m'a infligé mes blessures. Je suis son cadeau.

Il m'embrasse enfin, sa main s'amuse à titiller mon seins et je retiens pas mon gémissement, il me fait terriblement du bien.

- S'il te plaît. Je gémis. Maintenant.

Il attend pas plus longtemps et son érection s'enfonce doucement en moi, il m'embrasse et je soupire de plaisir. Il ne faut rien de brutal il me fait l'amour. Chacun de ses coups de bassin son en harmonie avec mon corps, mes hanches roulent contre les siennes et je soupire longuement.

- Encore. Je gémis.

Il rit légèrement et la main qui est pas sur mon sein glisse sur mon ventre, je frissonne et me retiens de crier son nom quand il entame des cercles sur mon clitoris.

- Si tu te voyais. Murmure-t-il. Tu es tellement bonne Sarah.

Un coup de rein.

- Tu es parfaite.

Il accélère la cadence et mon ventre se noue de plaisir.

- Tu es parfaite pour le monde.

Les jambes s'écartent plus et je le sens s'enfoncer en moi profondément, je sens son intimité en moi. Entièrement.

- Putain tu me tues.

Un coup de rein plus ferme.

- Je t'aime.

Et c'est l'orgasme. Toute mes terminaisons nerveuse sont brouillés par le plaisir, il reste en moi encore quelques secondes puis se retire. Mes yeux se ferment et je me tourne vers lui, il me regarde un sourire aux lèvres et je me mords les lèvres.

- Je t'aime. Dis-je en souriant.

La tension dans ma ventre est encore présente et je glisse une main vers ma fente, il m'observe et je me sens comme une reine. Quand il me regarde je vois son admiration pour moi, et il voit la même chose quand je le regarde. Sa main saisit son membre et nous nous touchons tous les deux sans nous lâcher des yeux.

- Putain. Jure-t-il. Tu me rends fou.

FavelaOù les histoires vivent. Découvrez maintenant