PDV Niall.
Sa fessait maintenant quelques heures que le docteur n'était pas venu nous donner des nouvelles sur la santé, de Mariane..
-Tu devrais aller te coucher Niall, je vais rester... Je t'appelle si il y a des nouvelles dit-Harry.
Je lui fait signe de tête, et me dirige vers ma voiture. Je me sens vide en dedans de moi, je crois que j'ai pleuré depuis le début, je crois que je vais mal dormir ce soir. J'aimerais quelle soir avec moi en ce moment, que je puisse l'embrasser et lui dire que je l'aime, que je veux pas quelle part et que je veux qu'elle soit ma femme....Pareil si cela fessait que un mois que nous sortons ensemble. Je sais que je pourrais pas vivre sans elle, elle fait partit de moi maintenant.
Je met les clés sur le contact et démarra, je peut pas partir. Il faut que je reste avec elle, c'est mon devoirs en tant que son petit ami... Je reprends mes clés et vas rejoindre les gars qui sont toujours dans la salle d'attente. Je m'assieds et je prit la parole.
-C'est ma copine, il faut que je sois là quand elle se réveilleras... Je lui doit au moins cela, ne me dit pas que je suis fatigué, je veux rester près d'elle et la seule façon c'est de attendre le docteur qui vas arriver dans je sais pas quelle heure... dis-je.
Harry hocha la tête et se renfonça dans sa siège qui est atrocement inconfortable. Je prends mon téléphone et vas sur Twitter, je vois qu'il a des fans ont écrit des mots pour Mariane qu'elle se soigne bien. Et j'écris officiellement que c'est ma petite amie...
Salut, chère Directionners. Je voulais simplement vous confirmer vos doutez à propos de moi et de Mariane. Et oui nous sommes en couple depuis un mois aujourd'hui.. Je l'aime beaucoup, j'espère que vous allez accepter mon choix. Elle est en se moment dans la salle d'opérations. Pour cause d'accidents... Je suis sincèrement désolé de ne pas avoir fait se spectacle, mais ma princesse est à l'hôpital...Bonne soirée Girls....xxx
Je referme mon cellulaire quand un docteur arrive dans notre direction.
-Mariane Harris. dit-le docteur.
Je me lève et je lui fait face quand il me dit:
-Mariane, as fait un traumatisme cérébral, elle seras dans un coma indéterminée, dit-le docteur.
Je sens des mains qui me presse les épaules.
Un coma indéterminée? Pourquoi? Elle n'as rien fait pour qu'elle soit rendu là...
-Je pourrais la voir? dis-je.
-Oui, bien sûr mais je vous préviens elle n'est pas à sa meilleure forme elle sorte d'une opération qui lui à presque coûter la vie dit-il.
-Je m'en fous, je veux la voir! Dis-je
-Chambre 13 dit-il.
Je commence à courir et je recherche la chambre 13.
-Vous n'avez pas le droit courir dans c'est couloir, monsieur marcher sil vous plaît.. dis- une jeune infirmière.
Je ne ralentis pas mon pas et continue jusqu'à j'aperçois la chambre que le docteur m'avais indiquer. J'en trouves la porte je la vois étendu sur ce lit brancher a des dizaines de fils. Je sens des larmes couler de mes yeux, mes larmes coulent. Je m'approche et la regarde.. Elle n'as pas l'aire vraiment bien.. Elle est blanchâtre et elle respire tout bas.. Cette vue est horrible. Je m'assois sur la chaise qui est juste à côté du sien. Je lui prends la mienne qui est bizarrement chaude. Je caresse sa main avec mon pouce.
-Le truc tu vois, c'est que le dernier mois, j'ai pas cessé de me répéter que tu était une fille géniale, belle, parfaite... je vais pas tout te les dire mais bon. Mais non, sans toi je me sens tellement seul. Et j'ai eut beau me dire que tu ne me méritai pas, rien qu'en me disant ça je pleure encore pour toi. . Quand je souriais c'était seulement pour m'empêcher de pleurer, chaque fois que je te voyais avec se magnifique souris quand tu te lève dans mes bras le matin c'est juste génial. Mais en ce moment j'ai juste envie de m'éfondrer... Car il n'y a que dans tes bras que je vis vraiment, il n'y a que quand tes lèvres sur les miennes que je suis heureux, et il n'y a que toi que j'aime. C'est toi, c'est toi depuis le début. Je t'aime Mariane, je veux jusque que tu le crois. Je serais la quand tu te réveillera et je serais ton niamour comme tu m'appelle depuis ses dernier jours.
J'éclate en sanglots, je dépose ma tête sur sa main, et je m'endors.
