Partie 53

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J'avais peur pour le petit. Je me met à pleurer en parlant.

Tout un coup j'entends 3 coup de feu. Le petit ne pleurait plus.

Je recule lentement de la porte là main sur la bouche. Je me retenais de crier.

Il... Il...

Tout d'un coup la porte s'ouvre.

Il donnait sur l'homme de tout à l'heure. Il s'avance vers moi et me donne une gifle. J'en tombe par terre.

L'homme : TU CRIAIS SUR QUI LÀ ? SALE PUTE

Moi : Qu'est ce que tu as fais du petit ?

Je sais, je suis folle mais je veux savoir. Quitte à me faire défoncer sur le champs je souhaite d'abord savoir comment il va.

L'homme : *rire nerveux* Tu crois vraiment que la situation de se petit fils de pute m'intéresse. J'l'ai tiré dessus et j'm'en fou.

QUOI ? NON...NON C'EST PAS POSSIBLE.

l'homme : Qu'il meurt même de toute façon c'est toi mon appât.

J'étais prise d'une colère immense mais aussi d'une profonde tristesse. Ce petit ne méritait pas la mort à son âge. Surtout que c'est à cause de personne que je ne connais pas.

Ils ne viendront jamais me chercher, c'est sur.

Me demander pas pourquoi mais je l'ai giflé. J'étais tellement énerver qu'après la gifle, j'ai enchaîné avec une droite.

J'veux ma mort.

De toute façon c'est ce qui m'attend si je reste ici donc autant la provoquer.

Lui m'a repousser et m'a donner une grosse droite.

Je tombe directement.

Il m'enchaîne or que je suis au sol. J'en pleurais de douleur. Je ne criais pas. A quoi bon je lai provoquer.

Je saignais de la bouche, du nez, de l'arcane sourcillère.

Lui grognait de rage.

Deux autres personnes viennent le séparer de moi. Pendant qu'il essayait de le retirer de moi, il me donnait des coup de pied.

Ils ont fini par le prendre et l'on fait sortir de la chambre.

Moi je suis rester seul, allonger presque morte dans cette pièce lugubre. J'ai pleurée. J'ai pleurée des heures et des heures.

Un moment, lorsque j'étais sur le lit dos à la porte, celle-ci s'ouvre.

Je ne me retourne pas. J'avais faim, j'ai l'impression que ça fesait des siècle que je n'ai pas manger,j'étais triste, je pensais à mon entourage mais je n'arrivais pas à me souvenir d'eux et ça m'énervait. Mais je pensais surtout aux petit garçon.

Où est-il ?
L'on t-il vraiment tuer ?
Si oui, où est-il enterré ?

Bref

La porte s'ouvre et la personne entre dans la chambre et commence à parler.

... : J't'ai apporté un grecs, mange.

Je ne voulais même pas le parler mais dès que j'ai entendu le mot "grec" je me suis direct retourner.

Ce n'était pas l'homme de d'habitude. Nan lui était un plus petit, noir aussi, mais à sa voix il n'a pas l'air méchant. C'est une voix grave mais douce comme si il venait à peine de muer.

Je mange mon grec comme si s'était la première fois. J'avais trop faim.

Lui s'asseoie sur une chaise en me regardant.

ChelseaOù les histoires vivent. Découvrez maintenant