Partie 52

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Je me reveille enfin. J'ai l'impression que j'ai dormi 100 ans.

Lorsque je remarque que je suis dans une chambre, mais ce n'était pas la mien... 'fin j'crois. Elle était toute noir assez lugubre. Il n'y avait qu'une seul petit fenêtre qui faisait à peine éclairé la chambre vu qu'il y avait des planche de bois dessus.

Bref

Lorsque je scrute la chambre dans ses moindre détaille je remarque qu'il y a un petit garçon avec moi. Il était petit, dans les 5/6 ans, métisse et tout.

Lui : Le monsieur a dit que quand tu te réveille je l'appelle.

Hein ? En plus il parle anglais. Et le pire c'est que j'ai tout compris. Je le réponds donc aussi en anglais.

Moi : Quel monsieur ?

Lui : Celui qui venait me donner la nourriture. Tu as dormis longtemps maman. Viens on sort d'ici.

QUOI ? MAMAN ? WOW WOW WOW.

Nan peu être qu'il me confond avec quelqu'un d'autre.

Moi : Je suis désolé mais je ne suis pas ta maman.

Lui : Si t'es ma maman. Pourquoi tu dis sa ?

Moi : Nan je ne suis pas ta maman. Allez ! On va trouver un moyen de sortir d'ici.

A peine ma phrase fini que la porte s'ouvre. Elle donne sur un homme assez musclé, noir. Il avait une arme à la main.

À la vu de celle-ci je pris le petit et le mis derrière moi.

L'homme : Ah enfin t'es réveiller. *au petit* Pourquoi tu ne m'as pas appeller p'tit bâtard.

Moi : Ne le parle pas comme sa.

L'homme : Toi ferme ta geule et suit moi.

Moi : Nan

Lorsque qu'il entendu ma réponse, il descendit les quelque marche qui se trouvait devant la chambre et me porta comme un sac à patate vers la sorti. Je me débattaiset tandis que le petit criait "maman". Lorsqu'il referma la porte, on l'entendait crier et pleurer.

Sa m'a déchiré le coeur.

L'homme avec l'arme m'emmène vers une autre pièce.
Elle était aussi toute noir et il y avait une table, deux chaise et un lit simple.

Il me jete sur le lit. Il s'assoit sur une des chaises et dépose l'arme sur la table.

Lui : Tu vois ton pd de frère avec ton pd de copain, ils me doivent de l'argent. Quand on leur demande gentillement il donne pas, donc c'est pour sa que je suis obliger d'en venir à la force.

Hein ? Mon frère ? Et mon copain ?

Mais je n'y comprends rien. Qu'est ce qu'il me raconte celui là. Je n'ai pas de frère. Et je sors avec personne. Je n'ai pas de fils non plus.

Pff il commence à me donner une migraine. Il me raconte du charabia lui.

Moi : Attends, j'crois tu t'es tromper de personne. Je n'ai pas de frère ni de copain.

Lui : Tu te fou de ma geule là ?

Moi : Non

Il pointe son arme sur moi. J'avais peur mais ne fait rien paraître.

Il se lève brusquement de sa chaise toujours avec l'arme pointé sur moi.

Lui : TU TE FOU DE MOI ? TU CROIS J'SUIS CON OÙ QUOI ?

Moi : NON J'ME FOU PAS DE TOI.. J'AI PAS DE FRÈRE NI DE COPAIN.

Il tire dans le mur sur le côté. Le bruit du coup de feu m'a fait sursauté.

La je n'ai pas pu retenir mes larmes.
Il me fait mais vraiment peur. Même très peur.

Je ne comprends plus rien à la situation. Si je te dis que je les connais, je les connais pas.

C'est vrai en plus. Vous croyez vraiment que mon "frère" me laisserais avec se fou.

Je crois pas.

Il se tenait la tête avec ces deux mains pour essayer de se calmer. Il était vraiment énerver.

Lui : Tu veux me dire là que Anderson n'ai pas ton frère et que t'es pas sorti avec Bradley ?

Moi : Nan je ne les connais.

Lui : Ok. Si tu souhaite me prendre pour un con, ok. Tu restera ici.. SANS MANGER NU RIEN. On vera c'est qui le con.

Il se dirige vers la porte. Je cours après lui en pleurant, le suppliant de me laisser partir.

Je l'entends fermer la porte à double tour.

Je pleure en silence. Mais qu'est ce que j'ai fais pour mériter sa ?

Je me laisse glisser le long de la porte.

Un moment je l'ai entendu, le petit de tout à l'heure. Il criait et pleurait.

Sa m'a déchiré encore plus le coeur. Je cognait sur la porte pour qu'il le laisse tranquille. Je cognait de plus en plus fort sa la porte et bougeait la poignée.

J'avais peur pour le petit. Je me met à pleurer en pleurant.

Tout un coup j'entends 3 coup de feu. Le petit ne pleurait plus.

Je recule lentement de la porte là main sur la bouche. Je me retenais de crier.

Il... Il...

Tout d'un coup la porte s'ouvre.

ChelseaOù les histoires vivent. Découvrez maintenant