Partie 54

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Joeffrey : Pourquoi on l'a garde toujours ? Son frère, il est toujours pas venu or que sa va faire presque un moi qu'elle est avec nous et en plus elle a perdu la mémoire.

L'homme : Elle reste c'est tout.

Joeffrey : Pourquoi ?

L'homme : J'vois pas pourquoi je devrais me justifier, j'te dis elle reste. Si sa te pose un blème-pro tu peux partir. Mais j'te préviens, si tu pars je prendrais pas le risque que tu poucave, j'te fais rafaler la tête. Joeffrey... jte considère comme un re-fré... ne gâche pas tout à cause d'une meuf.

Joeffrey : Ouais t'inquiète et son fils, on en fait quoi ?

Dès que j'ai entendu sa, je ne sais pas pourquoi mais j'ai encore eu le coeur déchirer.

J'ai cogné. J'ai cogné de toute mes forces sur la porte en criant que je veux le voir.

La porte s'ouvre et je vois l'homme macho et arrogant venir vers moi. Il m'a mis une droite phé-no-mé-nale.

L'homme : SA ME PUTE T'ÉCOUTE AUX PORTES MAINTENANT ?

Joeffrey est venu vers moi. J'étais sonné au sol. On m'a jamais mis une droite pareille.

Il se retourne et parle à l'autre là.

Joeffrey : Steven calme toi wesh. Oublié pas que c'est une meuf, elle supporte pas les mêmes coup que les gars.

Je sens son regard sur moi.
Donc il s'appelle Steven. Ok

J'essaye de me relever. Eux sont partis. Je m'endors.

Quand Je me reveille, je vois que Steven assis sur une chaise en face de moi mais un peu loin.

Il me fixait. Il est trop bizarre.

~~~~~dans la peau de Steven~~~~~

Wesh les gens bien ou bien.

Bon j'me présente pas sinon vous allez poucave. Et si vous poucavez j'vous rafale.

Bref j'me réveille et il est 12h30.
J'descends des escaliers, on est dans une villa. Y a mes hommes au salon et j'les entends parler de votre pote, Chelsea.

J'écoute en allant à la cuisine.

C'est une cuisine américaine.

G1: Vous pensez quoi de Chelsea ?

G2: La vie elle est bonne. J'attends juste que vous soyez tous parti pour que j'me la fais.

Et les autres imbécile rigole. Il était 6. J'ai même pas chercher à comprendre, je suis parti au salon déter.

J'ai pris se con par le col et je l'ai ramené dehors.

Je l'ai enchaîné et je l'ai laissé au sol.

Je lui parle doucement mais s'est que j'me contrôle. J'veux pas le tuer. Pas maintenant.

Moi : Écoute moi bien petit fils de pute que tu es, si tu continue à parler de Chelsea, même chez toi, encore une fois et j'te rafale. C'est la dernière fois que tu reverra le soleil enculer.

En partant j'lui dis que si je le revois au deuxième sous-sol, j'le tue.

Oui on l'a mis au deuxième sous-sol.

J'suis grave verner donc j'décide d'aller la voir. Voir si tout allez bien.

En y allant j'dis au autres con de plus jamais manquer de respect envers elle.

La personne qui dis que je l'aime, j'le rafale.

J'ouvre la porte, tout le temps j'la ferme à double tour pour la qu'elle s'échappe et pour pas qu'un con y entre.

ChelseaOù les histoires vivent. Découvrez maintenant