×Chapitre 21

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PDV AÏDEN :

Ça fait trois semaines qu'elle est dans ce lycée, trois semaines qu'elle me tient tête, et, je me répète sûrement, trois semaine qu'elle hante mes pensées. Elle ne respecte rien, et de loin que je m'en souvienne, elle est la seule qui ose me défier. Mais mon dieu j'avais tout prévus et quand j'ai su qu'elle s'appelait Schefferd, j'ai bien cru que j'allai faire une syncope. Quand je la croise, mon regard reste fixé sur elle, et je perd presque tous mes moyen. Ce qui, soit dit en passant, ne m'arrives absolument jamais. J'ai un pouvoir de tout contrôler en moi.

*Le petit cœur s'est éveillé.*

Amoureux ? Pas possible. Sa fait des années que je ne ressent plus aucun sentiment à par de la haine extrêmement profonde. Quoi qu'il en soit, le fait qu'elle me résiste et qu'elle ne succombe pas à la seconde comme les autres me rend complètement dingue. Tellement qu'elle est là même dans mes rêves... J'ai donc décidé de lâcher l'affaire, oh non pas pour toujours... Pour quelques temps. De toute manière, en tout cas pour l'instant, je ne peux rien faire sinon je vais me faire démonter. Je connais bien Théo, c'est comme mon frère, on a déjà eu à faire des trucs ensembles. Je ne peux pas lui faire ça, enfin si j'étais un mec sans scrupules. Une voix qui me dit d'entrer dans son bureau retenti. J'entre à l'intérieur, simple et rustique. Je n'étais jamais entré dans son bureau, dans sa maison oui. Sa maison actuellement sans personne à par lui, son adjoint et moi.

Lui : Écoutes moi bien, je sais quel jeu tu mène avec toutes les nouvelles. Alison en étant une, je suppose que tu y a pensé? Il est hors de question que tu la touches. Sinon je te réserve le même sors qu'aux autres. 

Moi : Très bien.

Je sors de son bureau puis de la maison, face à lui on fait des réponses courtes. On obéit.

PDV ALISON :

Samedi 03 octobre :

J'AI trouvée le plan du siècle! On avait laissés un maximum de deux semaines aux darons pour nous parler. Ils ont rien fait, on agit. Antoine assit sur mon lit en face de moi attend que je commence mon explication.

Moi : OK. Tu va voir sa va pas être dur. Ce soir on sera tous à la salle à manger pour le dîner. Je sais même pas pourquoi en fait... 

Lui : Les grands parents viennent.

Moi : Ah... bon on va faire avec. Donc, au milieu du repas on annoncera qu'on est en couple. Si ce qu'on a trouvés est faux, il n'y aura aucun problème. En revanche, sa sens l'engueulade si mon père commence à s'étouffer. Il va pas y avoir grand chose à faire.

Lui : Comment tu fais pour avoir des idées aussi tordues ? 

Moi : Je sais pas, ça me vient comme ça. Bon je dois trouver quelque chose à mettre pour ce soir. Tu connais les grands parents maternels, la classe et tout le tralala.

Je le fou à la porte direction le dressing. Les parents d'Hélène, on les considère comme nos grands parents, et eux nous considèrent comme leurs petits enfants. Enfin je crois. Il n'empêche que eux sont d'une classe sociale ultra élevée et que quand on les voit, on doit toujours être habillés avec classe. Si elle me voit avec un jean, ma grand mère fait une crise cardiaque. Je prends une robe bustier bleu dont le haut est recouvert de dentelle ainsi que des talons hauts bleu. Je pars sous la douche, puis me maquille et me coiffe d'un chignon que je défait légèrement pour donner un côté moins strict. J'enfile les talons puis descend aider Hélène. Il faut que la table soit parfaite elle aussi. Je la retrouve la tête dans un placard à assiette.

Moi : Je peux t'aider ?

Elle : Viens m'aider à chercher. Il manque une assiette, de la porcelaine de ma grand-mère. 

Changement D'AttitudeOù les histoires vivent. Découvrez maintenant