III - Chapitre 43

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Note de l'Alpha :Coucouuuuuuuuuuuuuuu ! Ca gaze mes louloutres ? Vous savez quoi ?Hier un chapitre est apparu ! Et dès maintenant on vont le donne.Hanlala mes privilèges ont été abolis.. En tout cas moi j'laimebien ! (Je vous vois venir bande d'optimistes, non il est pasexactement heureux mais en même temps les Evans viennent de mourir,Sirius a la meuf la plus misanthrope du monde et Mumus est enenfeeeeeeer). Malgré tout bonne lecture et laissez nous vos avisptetre que ca incitera ma Cazoue a écrire plus vite (la pauvre).Zibou spécial a ceux (et surtout celles niah ah) qui lisent cesnotes et qui les trouvent pas trop nazes ! (J'écris la plupart d'unetraite en allant faire pipi). Enjoy !

Note de moi : Juste pour dire que Nico plaisante pas : samedi à 15h il me manquait genre 3000 mots. Qu'est-ce que je ferais pas pour vous didon (parce que vous êtes grave cool)- j'ai la réponse : je suis dans ma salle de bain parce que le réseau est trop pourri dans ma chambre et je ne pouvais pas poster le chapitre


Chapitre 43


Peter, sous sa formede rat, attendit que le camion s'arrête. Lorsque les portes ducoffre s'ouvrirent, il reprit soudain forme humaine et assomma lelivreur avant qu'il n'ait eu le temps de crier. Il tira le jeunehomme entre les fleurs, ferma les portes de la camionnette en prenantsoin de ne pas s'enfermer à l'intérieur et prit la veste del'employé sur laquelle était indiqué le nom de l'entreprise. Aprèss'être assuré qu'il ne se réveillerait pas de si tôt, il sortit,consulta le bon de commande et remercia Merlin et tout Avalon que lenom des fleurs soient indiqués sur les pots. Il jeta un bref coupd'œil autour de lui, peu surpris de se trouver dans un quartierrésidentiel affreusement banal. La pelouse de la maison qui luifaisait face était impeccablement tenue.

Il prit la commandeet se dirigea vers la porte d'un pas assuré. Elle s'ouvrit avantmême qu'il n'ait eu le temps de frapper. Une femme imposante, unpetit chien agressif dans les bras, lui fit face.

- Encore desfleurs ? Aboya-t-elle.

- Euh... Ilsemblerait.

Peter songea qu'ilaurait mieux fait de se taire lorsqu'elle le fusilla du regard. Ellese tourna à demi et hurla :

- Pétunia !Encore des fleurs !

Une femme blonde etmaigre fit son apparition. Étrangement, sa ressemblance avec Lily lefrappa. C'était peut-être la forme du visage, ou cette expressiondéterminée dans son regard... Quoi qu'il en soit, les sœurs Evans,même si elles ne partageaient plus le même nom, avaient décidémentquelque chose en commun.

Pétunia étudia uninstant les fleurs avant de demander, un peu sèchement peut-être :

- Vous voulez bienles poser dans l'entrée, s'il-vous-plaît ?

Peter obtempératout en écoutant attentivement l'échange entre les deux femmes :

- Je ne comprendspas pourquoi tu as tout fait livrer chez toi.

- La maison est dansun état lamentable, Marge, et je n'avais pas envie d'y retourner. Cene sera pas si terrible de les transporter.

- Elles auraient puêtre déposées au cimetière.

- Le soleil lesaurait abîmées.

Le jeune hommeprofita de cette ouverture pour lancer :

- Je ne sais pascombien de temps vous comptez les garder, mais vous devriez lesmettre dans l'eau, quelque part à l'abri, et peut-être...

Merlin en soitremercié, Marge l'interrompit avant qu'il n'ait à chercher d'autresinstructions inutiles sur le soin des fleurs.

- Elles survivronttrès bien jusqu'à demain matin.

Lily et JamesOù les histoires vivent. Découvrez maintenant