III - Chapitre 47

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Note du bêta : NOM D'UN DRAGON VERT (comme la chanson haha) J'AI FAILLIT OUBLIER LA NOTE DU BÊTA ! Mes lectrices chéries ne nous l'auraient pas pardonné Cazoue. Heureusement que tu es là. Donc salut à tous et bienvenue dans le chapitre numéro 47 de la partie trois de la fic sans nom ! (James et Lily ca craint sérieux). Au programme aujourd'hui Voldemort, de la jalousie et... euh... on a peur des géants. Vuala bonne lecture je vous aime vous êtes géniaux Bizbiz !

Note de moi : Yooo ! Merci pour vos reviews!  Je sais que les mots sont encore collés, JE SAIS ! Mais figurez vous que j'ai pas le temps d'aller les décoller un par un. Si quelqu'un a envie de le faire je lui file mes codes et qu'ils s'en donnent à coeur joie mais moi je peux vraiment pas. Et si ça vous gêne trop, vous pouvez aller lire cette fic sur fanfiction.net (même si j'aime bien vous avoir sur wattpad) Bref, merci et la bise !


Chapitre 47


Des éclats de verrerebondirent contre les bras repliés d'Alice. Elle entendit un impactprès d'elle et ouvrit les yeux : Frank, sa baguette tendue, lesprotégeait. La jeune femme profita du bouclier pour contre-attaquer.Son sortilège se perdit dans l'ombre du fond de l'impasse, là oùleur assaillant se cachait. Entre les deux camps se tenait un jeunehomme à l'air effaré qui tremblotait sur ses jambes frêles.

Le silence tomba surl'impasse. Frank et Alice, hors d'haleine après leur course,tentaient de percer les ténèbres. Le jeune homme, au milieu duchamp de tirs, regardait de tous côtés comme un lapin pris aupièce. De l'autre côté, c'était l'inconnu. Alice ne savait mêmepas ce qu'ils faisaient là, entre les hautes maisons en briques etles poubelles abîmées par les intempéries.

Frank fit signe aujeune homme d'avancer vers eux. Ce dernier repoussa une mèche decheveux bruns de son œil et amorça un pas dans leur direction.

- Au moindre geste,on le descend !

Il se figea, àprésent face à Alice et Frank. La jeune femme pinça les lèvres,le cœur battant. Qu'il s'agisse d'un bête règlement de comptes oude quelque chose de plus grave, la situation ne semblait pas prêtede s'arranger.

- Si vous partezmaintenant, reprit la voix, vous n'aurez pas d'ennuis.

- Laissez-letranquille et on partira, répliqua Frank d'une voix froide, ses yeuxbleus fixés sur le fond de l'allée.

Alice déglutit enjetant un regard inquiet à son mari, qu'elle reconnaissait à peine.

- Qu'est-ce que vouspouvez bien en avoir à foutre, de ce qu'on va faire de lui ?Asséna quelqu'un d'autre avec un fort accent cockney.

- Il n'est pasd'ici, murmura Alice.

- Je sais, réponditFrank sur le même ton. L'autre non plus. Je ne pense pas que ce soitun règlement de comptes.

- Quoi, alors ?

Avant qu'il n'ait purépondre, la deuxième voix hurla :

- Qu'est-ce que çapeut vous foutre, hein ?

La tension dans lesépaules de Frank s'accrut encore. Il prit une profonde inspirationpuis annonça d'une voix calme :

- Nous sommes desmembres de l'Ordre de Phénix et nous ne laisserons pas un innocentsouffrir.

L'innocent enquestion les regarda d'un air perplexe. Dans son dos, une disputemenée à voix basse éclata. Seul un brouhaha de chuchotements leurparvenait. Frank adressa un nouveau signe au jeune homme, qui avançad'un pas. Une lumière rougeâtre éclaira brièvement les murs debrique avant qu'il ne s'effondre avec un hurlement de douleur.

Lily et JamesOù les histoires vivent. Découvrez maintenant