Yo ! J'ai un accès assez limité à internet donc pas de note du bêta, à moins qu'il ne me réponde dans les cinq minutes à venir ! En attendant, bon chapitre, merci pour vos commentaires !!! Et la bise :D
EDIT : voilà la note du bêta ! Pour info je ne l'embête, j'ai juste pas le temps d'écrire parce que je SKIE
Note du bêta : Salut les enfants ! Tata Cazoue fait rien que de m'embêter. Heureusement qu'elle écris bien. Le chapitre d'aujourd'hui n'est pas forcément d'une importance capitale mais personnellement je l'ai adoré. Alors préparez vous à détester les français avec mon grand ami Sturgis et bonne lecture !
Chapitre 63
Le café dans lequel Marlène et Sturgis Podmore se trouvaient, au croisement entre la rue Bonaparte et le Boulevard St-Germain, n'accueillait pas n'importe qui. Marlène pouvait en juger au prix de la tasse de café, qui dépassait tout ce qu'elle avait jamais pu observer. C'était un établissement typique, avec de grands miroirs, des petites tables en bois patiné et des chaises tout aussi vieilles et passablement inconfortables. Des serveurs en gilet rouge et tablier blanc évoluaient entre les clients avec la grâce de l'habitude. Aucun plateau ne vacillait malgré leur valse incessante ; sans doute fallait-il éviter de renverser une goutte du précieux café hors de prix. Des jeunes gens riaient fort en terrasse pendant que des retraités s'échinaient sur les mots croisés du Figaro, leurs lunettes posées sur le bout de leur nez.
Marlène sourit, sa tasse appuyée contre ses lèvres pour en cacher les coins qui se relevaient. Sturgis aurait sans doute cru qu'elle se moquait de lui. Le pauvre homme, ses cheveux fins et de plus en plus rares plaqués en arrière pur cacher sa calvitie naissante, jetait autour de lui des regards méfiants tout en marmonnant des imprécations en anglais contre leur voisin d'outre Manche. Après avoir entendu mentionner Austerlitz puis Waterloo, Marlène ne put plus se retenir :
- Aurais-tu par hasard pris part aux guerres contre Napoléon ?
Il se redressa, pointa le menton en l'air et annonça fièrement :
- L'un de mes aïeuls est le petit-cousin du Duc de Wellington. La haine anti-français coule dans mes veines aussi sûrement que la magie.
- Ne me dis pas que le Duc de Wellington était un Sorcier, pouffa-t-elle.
- Non, mais son petit cousin l'était.
- Comme quoi, commenta-t-elle, nous sommes bien plus liés à l'histoire moldue que d'aucun aime à le penser.
- Evidemment, acquiesça Sturgis, que cette conversation semblait avoir détourné de son objectif, à savoir insulter tout bas la France entière. Regarde, les Potter : leur disgrâce vient du rôle qu'ils ont joué dans la Première Guerre mondiale.
- J'avais oublié. Un Potter souhaitait venir en aide aux Moldus, c'est bien ça ?
- Henry Potter, confirma-t-il. Il s'en est pris directement au Ministre de l'époque.
- On devrait faire un cours d'histoire moldue et sorcière, à Poudlard, lança Marlène. Ça éviterait peut-être ce genre de désastre.
- Quoi, les onze années de guerre dans laquelle nous nous sommes enlisés ? Releva Sturgis avec un rire sardonique.
Marlène ne répondit pas, son attention attirée par un homme bien vêtu qui venait de disparaître par une petite porte, dissimulée derrière un rideau.
- Je crois qu'on a notre cible, souffla-t-elle.
Sturgis cessa aussitôt de marmonna contre Voldemort et les Français – la même engeance, apparemment – et posa délicatement sa tasse, sans prendre le risque de tourner la tête vers l'endroit que Marlène regardait.
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Lily et James
FanfictionLily Evans et James Potter, de Poudlard jusqu'à la fin. 1ère partie : 5è année 2è partie : 7è année 3è partie : Les fils du destin 4è partie : "Le dernier ennemi qui sera vaincu c'est la mort" Couverture par Annabethfan, auteur de la fabuleuse fanfi...