Jeno - NCT | 1*

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(update du 6 mai 2023 : cet imagine a été entièrement réécrit 😘)

Pour SanaSaori

⭐︎ BEST FRIENDS ⭐︎

Depuis votre rencontre des années plus tôt, tu considérais Jeno comme ton meilleur ami. Il était toujours là pour toi, dans les moments de joie comme de tristesse, à te soutenir à travers toutes les épreuves de ta vie, qu'elles soient des victoires ou des échecs. Tu tâchais de lui rendre au mieux toutes ces attentions, et vous preniez toujours le temps d'échanger quotidiennement malgré vos études, et dès que vous le pouviez, vous vous retrouviez chez l'un ou chez l'autre, quand ce n'était pas en ville.

Cependant, ces moments que vous passiez ensemble et votre temps à échanger au téléphone ou par messages avaient considérablement diminués. Tu avais rencontré quelqu'un, et maintenant que vous sortiez ensemble, tu avais dû partager ton temps entre ton petit ami et ton meilleur ami. Enfin, partager ; autant dire que tu avais malheureusement laissé Jeno de côté, accordant bien plus d'attention à ton petit ami. Tu étais d'ailleurs tellement éprise de lui que tu avais à peine remarqué ce mauvais traitement que tu réservais à Jeno, et lorsqu'il avait essayé de t'en parler, tu avais tout nié en bloc. Pour toi, il était inconcevable que tu délaisses ton meilleur ami, et tu ne pouvais pas croire que tu faillais à ta promesse de ne jamais le mettre de côté, peu importe ce qui pouvait t'arriver.

Ce jour-là, Jeno et toi vous étiez retrouvés dans un parc, pour la première fois depuis longtemps. Au début, il avait fait mine de rien, mais il avait bien vite commencé à aborder le sujet. Incapable de lui donner raison, tu avais fini par le taquiner en lui disant qu'il était jaloux. Même si tu ne le pensais pas, au fond de lui, Jeno savait qu'il y avait une part de vérité dans tes mots ; il se sentait bel et bien jaloux que ton petit ami détienne toute ton attention, et si, au début, il avait cru que c'était seulement parce que tu lui manquais et parce que tu oubliais votre promesse, il avait bien vite dû se rendre à l'évidence. Ses sentiments pour toi avaient changé de nature, et il en prenait conscience seulement maintenant que tu étais en couple.

Malgré tout, Jeno n'avait pas souhaité insister. Il avait laissé les choses se faire, craignant que tu ne finisses par te fâcher contre lui. Alors il ne pouvait que se désoler et s'en prendre à lui-même de te voir t'éloigner toujours plus de lui. Vous vous téléphoniez à peine et ne vous voyiez pratiquement plus. La situation le faisait beaucoup souffrir, et il se maudissait en plus de souhaiter que votre histoire, entre ton petit ami et toi, ne se termine pour que tu reviennes un peu vers lui.

Sa bonne étoile avait sûrement fini par l'entendre, car voilà que l'amour que ton petit ami te portait déclinait de jour en jour. Tu avais bien remarqué des changements dans son comportement ; il n'était plus aussi attentif à tes côtés, un peu dans la lune, et les marques d'affections se faisaient de plus en plus rares et éparses.

Au bout d'un moment, tu avais souhaité lui en parler, au moins pour comprendre à quoi ces changements étaient dus. Vous vous retrouvâtes dans un parc, près de chez vous, et il ne t'adressa qu'un mince sourire en te retrouvant, les mains dans les poches. Vous vous promenâtes dans les allées ; le silence était pesant. Tu ne savais pas comment aborder le sujet. Il finit par prendre les devants, s'éclaircissant la gorge pour attirer ton attention.

— Écoute, ça fait un moment que j'essaie de t'en parler, mais j'ai du mal... C'est... Je sais pas vraiment comment te le dire, mais je crois qu'il y a pas vraiment de bonne manière... Tu es une fille bien, et je t'apprécie beaucoup, mais je ne suis plus amoureux... Je voulais pas te mentir si longtemps, à te faire croire que je t'aimais toujours, j'étais un peu coincé parce que je ne voulais pas te blesser... Mais voilà, maintenant c'est dit. Je ne sais pas ce que tu en penses, mais j'aimerais bien qu'on reste amis. On s'est toujours bien entendu, et ce serait bête de tout gâcher en coupant les ponts, non ?

Tu te raclas la gorge, les larmes au bord des yeux. Au fond, tu t'y étais attendu, mais c'était difficile à entendre quand même. Il t'offrit une simple caresse sur le bras, accompagné d'un sourire peiné.

— Je vais te laisser, j'imagine que tu as besoin d'être un peu seule, maintenant...

Tu hochas simplement la tête et le laissas s'éloigner sans un mot ni regard. Tu finis par prendre la direction opposée et t'assis dès que tu trouvas un banc libre. Là, tu laissas aller tes larmes. Tu te rendis à peine compte que tu avais composé le numéro de Jeno, que tu avais fini par connaître par cœur. Il te répondit rapidement et tu entendis la panique dans sa voix dès qu'il comprit ton état. Tu réussis à lui bafouiller le lieu où tu te trouvais.

— J'arrive tout de suite.

Jeno se précipita hors de chez lui pour te rejoindre, et il dut traverser le parc pour enfin te trouver. Il s'assit sans plus attendre à tes côtés et te prit dans ses bras, le cœur douloureux de te retrouver dans un tel état de détresse et de tristesse.

Une fois tes sanglots calmés, tu fus en mesure de lui raconter ce qui s'était passé. Jeno te caressa tendrement le dos pendant ce temps ; son amour pour toi remuait tout son corps, il avait du mal à garder les idées claires. Ton récit terminé, tu te blottis dans ses bras, humant son parfum rassurant.

— Je suis désolée de pas t'avoir cru quand tu disais que je m'éloignais de toi... Je... Je vais faire en sorte de me rattraper, maintenant, promis-tu.

— Tu étais amoureuse, je ne pouvais pas rivaliser. Mais peu importe, moi je t'aime et je serai toujours là pour toi.

Tu le serras un peu plus fort contre toi, le cœur battant à tout rompre à cause de sa soudaine déclaration. Savoir que ton meilleur ami avait de tels sentiments pour toi ne te laissait pas de marbre, et tu t'étonnais même que cela te fasse un tel effet. Peut-être que c'était seulement d'apprendre que malgré ta rupture tu étais toujours aimée qui te touchait, tu n'en aurais le cœur net qu'une fois ta blessure guérie.

— Merci, je sais pas ce que je ferais sans toi... Et je suis désolée, aussi, tu as dû tellement souffrir ces derniers mois.

— Je me réconfortais en me disant que tu étais heureuse, c'était le plus important pour moi. Mais crois-moi, maintenant je vais veiller de plus près à ton bonheur. Je ne veux pas que tu souffres encore comme ça...

Une douce chaleur se répandit dans ton corps ; si Jeno restait à tes côtés, alors tu ne craignais rien. Il avait toujours été la personne la plus douce et attentive à ton égard, et tu ne souhaitais plus que retrouver ta place à ses côtés, lui rendre de nouveau tout ce qu'il t'apportait. Et peut-être plus encore.

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Voilà ta commande terminée ! ^-^ J'espère que l'imagine répond à tes attentes et qu'il te plaît ! Et vous qui lisez mes écrits, n'hésitez pas à me dire ce que vous en pensez ! Et puis à voter et passer commande pendant que vous y êtes ! ^-^ Ça me ferait plaisir ^-^

Merci beaucoup pour les 2,1K vues dépassées ! Vraiment ! C'est incroyable ^-^

update du 6 mai 2023 : republication de cet imagine après sa réécriture :)

des bisous 😗

des bisous 😗

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Imagines & OS - Livre 1 | KPOPOù les histoires vivent. Découvrez maintenant