65

10.7K 849 642
                                    

Chapitre 65.

Chapitre 65

Oups ! Cette image n'est pas conforme à nos directives de contenu. Afin de continuer la publication, veuillez la retirer ou mettre en ligne une autre image.

ESMA



Je me réveille en ouvrant les yeux petit à petit. Mon regard se pose sur celui de Malik, qui n'est plus dans le lit mais dans son dressing en train de choisir ses habits...il est de dos en simple BOXER. Oui, t'as bien entendu. Et, oui, t'as bien compris, je suis en train de le reluquer comme jaja avant qu'il ne se tourne un peu.

Je me remet en position dodo et ferme les yeux pour paraître innocente mais j'ouvre quand même un peu l'œil. Je le vois enfiler un t-shirt et se baisser pour fouiller dans sa commode.

-Malik : Le p'tit dej est dans la cuisine, si t'as faim.

J'ouvre les yeux en fronçant des sourcils. Donc il m'a cramée ?

Je me redresse un peu en mettant une mèche de cheveux derrière mon oreille.

-Moi : Tu m'as cramée là ?

-Malik : Cramé c'est un trop petit mot. J't'ai carbonisée ouais ; t'es pas discrète.

Je rougis, me sentant ridicule. Je me lève en m'étirant.

-Moi : T'avais qu'à pas te changer ici, hein.

-Malik : Tu vas m'dire où me changer maintenant ? C'est ma chambre, je te signale.

Je rigole et prends des affaires propres dans ma valise. Je vais lui faire la bise, ce qui semble le surprendre et part à la douche. Je finis, puis je m'habille comme ceci :

Je vais ranger un peu la chambre et c'est seulement après que je vais manger

Oups ! Cette image n'est pas conforme à nos directives de contenu. Afin de continuer la publication, veuillez la retirer ou mettre en ligne une autre image.


Je vais ranger un peu la chambre et c'est seulement après que je vais manger.

Il n'y avait que lui et moi. Attiya était partie à à danse, ce qui me laissait l'occasion de lui poser plusieurs questions.

-Moi : Au faite, tu fais quoi comme boulot déjà toi ?

Je le vois me lancer un scarface rapide puis se lever de table.

-Malik : J'travaille a l'usine, comme d'hab

-Moi : Ah oui, c'est vrai. Tu pourrais pas m'y trouver une place ?

Esma, « Le prix d'une vie »Où les histoires vivent. Découvrez maintenant