Je ne le mérite pas. { Konohamaru} Part 1.

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Anime: Boruto.
Sur: Konohamaru.
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PDV EIKO:

Je ne suis qu'une habitante de Konaha, jamais je n'arriverais à la hauteur de ses légendes. Même en aillant grandie avec Konoha-Maru, je ne me sens pas à ma place à leur coté. Même avec Moegi qui est une amie de long date j'ai des fois un peu de mal.

?: Konaho-Maru-Sensei.

Comme part hasard.

Konoha-Maru: Votre mission aujourd'hui est...

Être ninja est un beau rêve, à force de rêver l'on ne voit plus se qui nous entoure. Il en est la preuve, depuis maintenant quelques années il m'ignore totalement. Moegi dit qu'il a trop de travaille. Il va encore me passer à coté sans un mot.
Je suis passé à coté d'eux mais celui avec les cheveux blonds c'est écarté au même moment que je passais et me percuta. Il a fait tomber toute mes courses au sol.

Blond: Je suis désolé, je ne vous avais pas vu.
Moi: Ce n'est rien, ne t'en fait pas.

Il n'était d'autre que le fils de l'Hokage, Boruto Uzumaki. Il m'a aidé à ramasser mes affaires par terre.

Konoha-Maru: Eiko ?
Moi: Konoha-Maru, ça fait longtemps.

PDV KONOHA-MARU:

Voir Eiko devant moi ne m'aide pas, j'ai pris mes distances avec elle pour une seule et même raison, je ne veux pas la faire souffrir, Moegi et Udon me disent que c'est encore pire, mais je ne vois pas comment faire.
Elle était partie. Mitsuki, Boruto et Sarada me regarderaient bizarrement.

Sarada: Sans vouloir vous manquer de respect, il y a quelque chose de bizarre entre vous et cette personne.
Boruto: en effet c'est louche.
Mitsuki: Vous aviez l'air troublé de la voir.

Non mais de quoi ils se mêlent eux.
Sur le chemin de la mission.

//Ellipse de la mission. //

J'ai été faire le rapport de la mission. Sur le retour j'ai croisé Moegi.

Moegi: Alors tu l'as croisé ?
Moi: Oui et ?
Moegi: Arrête d'être sur ta défensive, je voulait juste savoir.
Moi: Comment tu le sais ?
Moegi: Boruto, Mitsuki et Sarada l'ont raconté à Shikadai et aux deux autres, et m'ont demandé si je la connaissais.
Moi: Ah c'est tout.
Moegi: Tu vas encore te voiler la face longtemps ?

Je ne peux rien lui répondre car je sais pertinemment qu'elle a raison.

?: Moegi, qu'est-ce que tu fais ?

La personne était Eiko...

Eiko: Je suis désolé, je vais vous laisser.
Moegi: Non, il en est hors de question. On va se faire une soirée comme avant.

Quant elle est comme ça rien ne peut l'arrêter, heureusement qu'elle est là. On avait prévenu Udon qui nous a rejoint au bar.

Udon: Salut !

Il est venu s'asseoir à coté de Moegi. Il y avait donc Moi, Eiko, Moegi et Udon.

Udon: Votre proposition tombe à pique, j'avais besoin de me changer les idées.
Moegi: Je ne te le fais pas dire.
Eiko: Vous avez l'air tellement épuisé comparé à moi.
Moegi: Ah oui, c'est vrai que tu as été licencié.
Eiko: Arrête de me le rappeler !
Udon: Tu trouveras vite autre chose, tu n'es pas quelqu'un sans reste.
Moegi: Enfin on est là pour se détendre !
Eiko: Oui mais pas trop.

Celle qui devait restait le plus sobre, et au final la pire, certaine chose ne changeront pas.

Moegi: bon on devrait peut-être s'en aller ?
Udon: Oui, il se fait tard.
Moegi: Konoha-Maru tu la raccompagnes chez elle.
Moi: J'ai pas vraiment le choix.
Moegi: Tu as tout compris.

Moegi et Udon se sont éloigné pour rentré chez eux.

Eiko: Tu te souviens d'où j'habite ?
Moi: Oui.
Eiko: C'est pas pour autant que tu viens me voir.

Je n'ai rien répondu. Arrivé devant chez elle.

Moi: Voilà. Je te laisse.

Je venait de lui tourner le dos.

Eiko: Non. Ne pars pas.

Ses pas se sont rapproché de moi. Ses bras m'ont entouré la taille.

Moi: Je ne peux pas rester.
Eiko: Je ne suis pas assez bien pour toi, Monsieur le ninja ? Je ne te mérite pas ? Tu préférerais une femme ninja ? Je suis trop banale, je n'ai pas assez de caractère, je n'ai pas le physique que tu recherches ?

Je ne peux pas lui répondre. Je suis comme paralysé face à elle. Face à ses mots.

Eiko: Aller répond moi !

Je n'en ai pas la force.

Eiko: Nous étions si proche plus jeune, pourquoi se changement brutale ? Tu me détestes ? Je te fais honte ?

Désolé, c'est mieux ainsi.

Moi: Tu as tout compris, je te trouve ennuyeuse et inutile.

Les larmes qui naissent au coins de ses yeux coulent maintenant à flot.

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La folie des recueils.Où les histoires vivent. Découvrez maintenant