Amis d'enfances. { Hajime Iwaizumi } part 4.

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Moi : On fait une pause ?
Posuka : Je veux bien.
Moi : Une crêpe, ça te va ?
Posuka : Bien sur.

On est allé vers le marchant de crêpe. On a demandé deux crêpes. Il y avait un banc pas loin de nous.

Posuka : On peut aller s'y asseoir.

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Sa crêpe dans la main gauche, et sa main droite a pris la mienne. Une fois assis.

Posuka : C'est super bon.
Moi : En effet, c'est pas mauvais.

Nos deux crêpes fini. Posuka est partie jeter les papiers dans une poubelle un peu plus loin. Son téléphone qu'elle a du laisser sur le banc c'est mis à vibrer. Juste la personne. Le nom sur l'écran et imbécile de frère, c'est donc Tooru, il lui a envoyé une photo, j'ai déverrouillé son téléphone pour voir la photo.

Je vais le tuer comment il a eu cette photo ?! Au camps c'est obligé. En remontant la discussion j'ai pu voir qu'il l'énervait bien, et ça à cause de moi. Je vais lui en toucher deux mots. J'ai posé son téléphone sur le banc. Elle est arrivé quelques minutes plus tard.

Moi: On continue ?
Posuka: Oui, quelle question !

Il était environ seize heure trente. Nous avons donc poursuivie par les fleurs qui est la dernière partie du parc. Nous nous tenions de-nouveau la main. Il y avait autour de nous presque exclusivement que des couples. 

Quelques pas plus loin.

Posuka : Il y a trop de couple.
Moi : C'est vrai.

Son regard c'est arrêté sur quelque chose.

Posuka : Ho regardes !

Posuka c'est dirigé vers un carré de fleur rouge. Je me suis penché pour voir. Il y avait un petit chat à trois couleurs. Elle l'a pris dans ses bras.

Posuka : Tu crois qu'il est abandonné ?
Moi : Je sais pas.
Posuka : Je suis pas sur que mes parents soient content si je le ramène chez moi.
Moi : à mon avis ton frère sera de ton coté et vos parents pourront rien faire.
Posuka : Ah oui, j'avais pas vue les choses comme ça.

On a continué notre chemin au travers plein de fleurs différentes. J'ai de moins en moins envie que cette journée se termine. De toute façon je ne perds rien à essayer.

Moi : Se soir, tu veux bien manger chez moi ?
Posuka : Manger chez toi, bien sur !

J'ai bien fait de lui demander. Nous sommes sortie du parc.

Posuka : Il faut juste que je prévienne Tooru.

Elle a pianoté sur son téléphone.

Posuka : Voilà. Tes parents sont là ?
Moi : Non, ils sont pas là. D'ailleurs, il faut lui acheter à manger à lui.

J'ai pointé le chaton.

Posuka : Tu as raison.

On est allé dans la supérette du coin.

Posuka : Il va être comptant avec ça.
Moi : J'en suis sur.

On a marché une trentaine de minutes pour arriver chez moi. J'ai inséré la clé dans la serrure et ouvert la porte.

Moi : Tu peux posé tes affaires. Je vais chercher deux bols pour le chat.

Elle avait posé son manteau sur une chaise et caressait le chat qui était maintenant par terre. Je suis revenu dans la salle et ai posé le bol d'eau et de nourriture à coté du mur.

Posuka : On a encore le temps avant de pouvoir manger. On fait quoi ?
Moi : J'y avais pas pensé.

On c'est installé sur le canapé.

Moi : Alors se matin comment ça c'est passé ?
Posuka : Franchement je sais pas. Je suis nul en sport, du coup je crois que j'ai foiré cette partie là.
Moi : Ah mince.
Posuka : Mais toi, il y a quelque chose qui ne va pas ?
Moi : Pourquoi cette question ?
Posuka : Depuis quelque temps tu as l'air fatigué, je me demande si tu n'as pas un problème ?
Moi : Et bien, c'est vrai que c'est pas facile en ce moment.
Posuka : Si tu veux pas en parler, tu n'es pas obligé.

J'ai envie de le dire à quelqu'un, et tu es la bonne personne.

Moi : C'est que en ce moment mon père a de gros problème de santé, et je m'inquiète beaucoup pour lui, et ma mère ne risque pas de s'en remettre si mon père venait à décéder donc, en se moment je suis très préoccupée. Et du coup j'ai du mal à trouver le sommeil.
Posuka : Oh, je vois. J'aimerais t'aider, mais je sais pas comment faire.
Moi : Rien, juste te l'avoir dit m'aide un peu. On dit que parler libère.
Posuka : Alors je sais ce soir s'est moi qui fait tout, et toi tu te reposes. Je ne veux pas que ta santé se dégrade.
Moi : Quoi ?! Mais non.
Posuka : Pas de mais.

On a continué à parler.

//19:30.//

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La folie des recueils.Où les histoires vivent. Découvrez maintenant