Amis d'enfances. { Hajime Iwaizumi } part 5/FIN.

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Posuka : Alors je sais ce soir s'est moi qui fait tout, et toi tu te reposes. Je ne veux pas que ta santé se dégrade.
Moi : Quoi ?! Mais non.
Posuka : Pas de mais.

On a continué à parler.

//19:30.//

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Posuka : Alors que veux-tu manger ?
Moi : ...Omelette au riz ?
Posuka : Ok, pas de problème.
Moi : Je vais t'aider. En plus tu sais pas où c'est.
Posuka : Non, je me débrouille, c'est pas la première fois que je viens ici.
Moi : Ok.

C'est une journée parfaite.

PDV POSUKA:

Je me suis mis au fourneau. Je n'ai pas que ça à faire.

// Fin de la préparation.//

Je venais de fini.

Hajime: Ton téléphone ne fait que vibrer !
Moi: C'est pas grave ça doit être Tooru.
Hajime: Ah ok.

Je suis retourné au prés de celui qui fait battre mon cœur. J'ai pris mon téléphone. C'est bien cette imbécile. Je ne lui ai pas répondu depuis qu'on a mangé des crêpes. Cette photo...

Hajime: T'es toute rouge.
Moi: C'est rien. Et on pourra manger dans quelques minutes.

J'ai mis la table sur la table basse. Et comme prévu on a pu manger.

Moi: Alors c'est bon ?
Hajime: Oui.

Bon après je sais que c'est Hajime, il est pas très compliment, donc ça me fait déjà très plaisir. 

Le repas fini. J'ai débarrassé. On a comment à regarder un film, dont je ne sais plus le nom. J'étais assise, il a posé sa tête sur mes cuisses, je me suis mise à lui caresser les cheveux. On est resté comme ça tout le long du film. Notre complicité depuis se matin est étrange. Le film venait de s'achever. J'ai pas envie de partir mais il va bien falloir.

Moi: Il est tard, il faut que je rentre.

Il c'est relevé. Alors que j'allais me levé, Hajime m'a retenu.

Hajime: Non, ne pars pas.
Moi: Mais...

Je n'ai pas eu le temps de finir ma phrase, qu'Hajime avait collé ses lèvres au miennes. Notre baisera s'était intensifié. On a rompu le baiser à bout de souffle.

Hajime: J'ai mis du temps à enfin te le dire, je t'aime.
Moi: Moi aussi.
Hajime: Reste avec moi. Je veux t'avoir près de moi.

J'ai le cœur qui fond de bonheur. Nous nous étions t'installés sur le canapé du salon.

Hajime: juste une question.

Il me regardait dans les yeux.

Hajime: cette photo qu'il t'a envoyé, il t'en a envoyé d'autre ?
Moi: Comment tu sais ?
Hajime: Quand tu es allé jeter les papier j'ai regardé. Je sais que c'est impolie mais je voulais voir.
Moi: Je pense qu'il ne vaut mieux pas que tu en voies d'avantage.
Hajime: Il va m'entendre.
Moi: Désolé, c'est à cause de moi qu'il prends toute ses photos.

Il m'a regardé dans les yeux.

Moi: Je ne suis pas une paparazzi, c'est lui tout seul qui s'amuse à faire ça.
Hajime: Je vois. Tu as encore les autres photos ?
Moi: Dans les messages oui.
Hajime: Je peux ?

Je lui ai donné mon téléphone.

Hajime: C'est pas vrai, il t'en a envoyé combien. Il y en a c'est un peu déplacé.

Je me sens mal à l'aise. Je me suis allongé sur le canapé.

Hajime: Qu'est-ce que tu as ?
Moi: C'est juste que j'ai un peu honte de te montrer ça.

Il ne dit rien.

Hajime: Tu n'as pas à avoir honte. J'ai bien plus honte que toi.

Je ne comprend pas tout.

Moi: Qu'est-ce que tu veux dire ?
Hajime: Il m'en envoyait aussi de toi.
Moi: Quoi ?
Hajime: Et oui. Donc on est un peu dans la même situation.

PDV HAJIME:

Mais la moindre petite photo que je recevais me donné envie d'elle. Si elle savait ça, je la dégoutterais. Mais maintenant les photos ne servent plus, vu que la vrai et devant moi en chair et en os.
Son téléphone venait de vibrer entre mes mains.

Posuka: C'est qui ?
Moi: Ton frère.
Posuka: Il dit quoi ?
Moi: Ne faites pas de chose bizarre.
Posuka: Quoi ?! Mais quel imbécile.

J'avais rendu le téléphone.

//Quelques minutes plus tard.//

Moi: En faites tu n'as pas de vêtement ?
Posuka: C'est vrai ça.
Moi: Bon bah je vais t'en prêter à moi.
Posuka: Ok.

Je me suis levé et dirigé vers la chambre, fouillé dans mon placard pour trouver un tee-shirt et un short.
Je suis retourner vers elle.

Moi: Voilà.
Posuka: Merci.

Je lui ai dit qu'elle pouvait se changer dans la salle de bain. Mais avant d'aller dans la salle de bain, elle m'a adressé la parole.

Posuka: Se soir, on dort ensemble ?

Des rougeurs sont apparues sur ses joues.

Moi: Si tu veux bien oui.

Ma petite brune est partie se changer. Et moi je suis allé dans ma chambre. Quelques minutes plus tard elle est revenu. J'ai pu aller me changer à mon tour. De retour dans la chambre. Posuka était allongé dans mon lit sous la couette. Jamais je n'aurais imaginé la voir comme ça, dans mon lit avec mes vêtements.

Posuka: Tu rougis.

C'est pas vrai.

Moi: Oh c'est bon. Tu as cas être moins adorable aussi.

Maintenant c'est elle qui rougie. Je me suis installer à côté d'elle. Je la sentais grelotter de froid à côté de moi, elle c'est rapproché plus près de moi, tout son corps était collé au miens.

Posuka: On est bien comme ça, je voudrais que l'on y reste.

Elle a raison. On c'est endormi sur ses mots.

FIN.

La folie des recueils.Où les histoires vivent. Découvrez maintenant