L'on ne pourra jamais. { Juzu } part 2.

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Moi: et maintenant que va-t'il se passer ?

Keijin: pour toi rien, tu es une victime, tu vas être prise en charge.

Moi: cette endroit ?

Mizuro: il ne reste plus que toi, c'est à toi de voir.

C'est le plus belle anniversaire de ma vie...
Après ça j'ai pris la tête de la garderie, en disant que les autres étaient partie pour changer de métier. Et Suzuya m'a recontacté plusieurs fois après cet incident, on a commencé à se côtoyer, et au fur et à mesure j'ai commencé à avoir des sentiments pour lui. Et on a finir par sortir ensemble.

// FIN DU FLASH BACK //

La journée de travaille terminé, je suis rentré. Quand je suis rentré Juzu était déjà là accompagné de Keijin et de Sasaki, et un autre homme au cheveux blancs.

Moi: salut !
Homme aux cheveux blancs: alors c'est elle.
Juzu: je te présente Kisho Arima.

Arima... ah mais oui son nom il est super connu. Pas que son nom, lui même est très connu.

Haise: et elle ?

Il a désigné la petite qui me tenait la main.

Moi: sa mère n'est pas venu la chercher. Elle devait venir à quatorze heure mais je l'ai pas vu. Du coup je lui ai envoyé un message pour ne pas qu'elle l'a cherche.

Kisho: il est seize heure.

Je l'ai mis sur le canapé. Et suis allé m'asseoir avec les autres. Je m'inquiète. Si se soir vers dix-neuf heure elle n'est pas venu la chercher je vais aller le signaler.

Keijin: c'est pas le tout mais moi je rentre.
Kisho: moi de même.
Haise: je vais faire de même.

Quand Sasaki est partie, il a fait un clin d'œil à Juzu. Alors eux.
Dix-neuf heure est arrivé. On a préparé le repas.

Moi: je te laisse terminé. Il faut que je signale que la mère n'est toujours pas venu chercher la petite.
Juzu: ok !

Après avoir passé l'appelle, je suis retourner aide Juzu.
Comment aborde le sujet.

Moi: dit Juzu.
Juzu: oui ?!
Moi: tu sais que ça fait cinq ans qu'on est ensemble, et je me suis dit que peut-être on pourrait...
Juzu: je veux pas.

Sa réponse, il me l'a donné sans que je finisse, et son ton était sec et froid.

Moi: je veux pas te forcer mais je veux juste comprendre tu ve...
Juzu: il n'y a rien à comprendre.

D'accord. Je sais pas comment je dois le prendre.
On a manger dans un silence des plus total.
Demain je dois aller donner la petite au gendarme.

// Le lendemain. //

Aujourd'hui je ne travaille pas. Je peux en profiter. Mais tout d'abord il faut que j'aille à la gendarmerie.
Une fois arrivé.

Gendarme: vous êtes la femme qui nous a appelé ?
Moi: oui.

Après avoir fait la paperasse. J'ai pu leur laisser l'enfant et j'ai pu partir.
J'ai rendez-vous avec Kenzaki pour faire du shopping.

Kenzaki: ça va être cool !

Dans la joie et la bonne humeur.

PDV JUZU:

Keijin: houla vous êtes pas d'humeur.
Moi: pas trop non.
Keijin: je présume que vous vous êtes engueulé ?
Moi: oui.
Haise: alors pourquoi ?

Je lui ai expliqué se qui c'est passé hier soir.

Haise: il va falloir lui dire.
Moi: elle va me quitter à coup sûr.
Keijin: vous ne pouvez pas savoir tant que vous ne lui aurez pas dit.
Haise: et si elle te quitte, comme dit l'expression "une de perdu dix de retrouvés".
Moi: mais j'en veux pas d'autre.
Haise: c'était pour rire.
Moi: ça l'était pas.

PDV NINA:

On c'était installé sur la terrasse d'un bar.

Kenzaki: je vois bien qu'il y a quelque chose qui ne va pas.
Moi: Juzu est froid avec moi.
Kenzaki: à quel sujet ?

Je voulu réfléchir à comment lui dire, car ce n'était pas un sujet facile. Même si je sais qu'avec elle, il n'y a pas de tabou. 

Moi: je lui demande pas d'avoir un enfant, je veux juste savoir pourquoi il ne veux pas aller plus loin.
Kenzaki: vous avez le même âge ?
Moi: oui.
Kenzaki: C'est étrange, dans la plus part les cas les hommes sont toujour splus préser pour se genre de chose.
Moi: Juzu ne doit pas être n'importe quel homme dans se cas. ça fait tout de même cinq ans que nous somme ensemble, il ne me fait peut-être pas confiance, ou alors il manque de confiance.  

Mon amie recherchait un moins de comprendre, tout comme moi.

Kenzaki: Tu as déjà essayé de lui en parler ?
Moi: oui mais ça fini toujours de la même façon.
Kenzaki: C'est à dire ?
Moi: Je ne veux pas en parler. Pas maintenant. Voir carrément sans aucune réponse. 
Kenzaki: pas facile ton histoire.
Moi: je te le fais pas dire.
Kenzaki: Et si tu le poussais un peu.

Son regard en disait long sur se qu'elle venait de dire. Elle n'insinuait pas de parler, mais de le faire par des actions.

Moi: J'aurais trop peur de sa réaction.

❗️❕❗️

La folie des recueils.Où les histoires vivent. Découvrez maintenant