Le juste retour des choses. {Toshiro Hitsugaya} Part 2.

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// Le lendemain matin. //

Nous venions d'entrer dans la salle de classe, mais mon amie ne s'y trouvait pas. Soit elle a du retard, soit elle ne viendra pas. 

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Entre temps on avait expliqué à Rangiku pour Kamy.

Rangiku: si ça se trouve elle ne viendra pas. 

La journée c'est terminé sans qu'on puisse la voir.

Rangiku: Capitaine Hitsugaya ?
Toshiro: j'ai quelque chose à faire avant.
Moi: tu connais le chemin de tout façon.
Toshiro: oui.

Toshiro nous a laissé là.

PDV TOSHIRO:

Plus tôt dans la journée j'avais demandé l'adresse de Kamy à Inoue.

Je m'y suis donc rendu.
Arrivé devant la porte d'entrée j'ai toqué.

Kamy: je ne veux plus te voir.
Moi: ouvre-moi, s'il te plaît. Il faut que je te parle.
Kamy: pourquoi ?
Moi: je t'explique si tu m'ouvres.

Elle n'a rien répondu, mais la porte c'est ouverte. Kamy m'a invité à entrer, on c'est assis autour de la table basse du salon qui servait de cuisine et de salle.

Kamy: je voudrais d'abord savoir pourquoi vous m'avez abandonné ?
Moi: je n'ai jamais voulu t'abandonner mais...
Kamy: je ne peux pas me permettre se genre de chose à mon rang, c'est ça ?

Je ne pouvais rien répondre, elle avait entièrement raison. A l'époque je ne pouvais juste rien faire malheureusement j'étais totalement impuissant face à se qui lui arrivé.

Kamy: que voulais-tu me dire ?
Moi: Je sais que c'est un peu tard, mais après de longue négociation, ton dossier a été relu et ajusté. Et si tu le souhaites, tu peux reprendre tes fonctions. 

En réalité avec l'aide de beaucoup d'autre qui la croyait non coupable comme moi, nous avons essayé de prouver son innocence. Je savais que tu n'étais pas acteur de ce crime, mais je n'avais pas de preuve à l'époque.

Kamy: C'est hors de question.
Moi: C'est l'une des raisons de notre venu. On savait que tu étais ici mais pas précisément.
Kamy: Mais enfin, comment pourrais-je...

Je ne voulais pas la laisser finir.

Moi: je sais, mais réfléchis quand même.
Kamy: Je ne le peux pas.
Moi: Et nous alors, on ne compte pas ?
Kamy: C'est trop dure. Je ne veux pas plus te blesser.
Moi: Quand tu es partie, je ne savais plus quoi faire. Tu étais tous pour moi à se moment là.
Kamy: plus maintenant.
Moi: Tu te moques de tout les efforts fournis pour que ta situation s'arrange ? Tu te moques de se que je ressens ?

L'ex-shinigami se mordit la lèvre inferieur et regarda le sol.

Kamy: Toshiro, on ne peut pas, on ne peut plus.
Moi: et pourquoi, parce que tu en as décidé ainsi ?
Kamy: Je crois que je ne fais qu'apporter tristesse et souffrance à ceux que j'aime. Je ne veux plus te faire aucun mal.
Moi: Comment tu peux savoir à m...

Kamy ne me laissa pas finir. 

Kamy: stop je ne veux plus rien entendre, ça sert à rien. C'est comme ça et ça ne changera pas. Arrêtons de parler de ça.
Moi: Comme tu veux.

Mais aucun de nous deux n'ouvrit la bouche, on ne savait plus quoi se dire avec tout se temps passé et tout se que nous avions traverser.

Kamy: Mais j'ai bien cru ne pas te reconnaitre, tu as tellement changé.
Moi: Tu trouves ?
Kamy: Comment dire ça, tu fais plus mature, plus adulte.
Moi: Tu as aussi un peu changer. Mais par contre tu as toujours sale caractère.
Kamy: Et mais c'est une de mes qualités !

Nous avons réussi à nous sourire et même à rire ensemble, j'avais eux l'impression de revenir en arrière.
Il fallait maintenant que je parte, mais la quitter maintenant voulait dire ne plus jamais la revoir. Je ne savais pas quoi faire. Et la seule chose que je pu faire, fut une idée des plus idiotes. Surtout que je savais se qu'elle allait me dire juste après. 
J'ai donc posé mes lèvres furtivement sur les siennes.

Kamy: Je ne veux plus de cette relation avec toi.
Moi: Je le sais bien, pardon.
Kamy: J'ai eu assez de mal à tourner la page alors s'il te plait respecte au moins ça.
Moi: Tourner la page ? Mais si tu es réaffecté on pourra à nouveau...

Elle me coupa la parole. Je savais très bien que si elle avait décidé que c'était fini c'est que c'était le cas. Et peut importe se que je dirais rien n'y chnagera.

Kamy: Non Hitsugaya.

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La folie des recueils.Où les histoires vivent. Découvrez maintenant