365 jours { Hideyoshi } Part 5.

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Hideyoshi: ce n'était pas si terrible.
Moi: tu déconnes, c'était gênant à un moment.
Hideyoshi: grâce à eux je te connais encore mieux.

Il m'a pris dans ses bras.
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Sa bouche c'est approché de mon oreille et m'a chuchoté.

Hideyoshi: tout se que je veux c'est t'avoir à mes côtés.

Cette phrase m'a à la fois rendu heureuse mais aussi triste, c'est un sentiment étrange.

Hideyoshi: je sais à quoi tu penses, mais comme tu me l'as dit, il faut passer outre.
Moi: tu as raison. Voilà que c'est toi qui me donne des leçons maintenant.
Hideyoshi: je pourrais t'en donner bien d'autre.

Il a fait glisser ses doigts jusqu'à dans le bas de mon dos. Un frison m'a parcouru tout le corps.

Hideyoshi: c'est difficile de se contenir.

En y repensant.

Moi: ça ne sert à rien que tu te contiennes.

// Ellipse du lendemain matin. //

Je me suis réveillé dans les bras Hideyoshi, il dormait encore. Mes doigts sont allé lui caresser légèrement son beau visage.

Hideyoshi: bonjour, déjà réveillé. Moi je suis trop fatigué.
Moi: fainéant.

Il m'a adressé un regard qui en dit long.

Hideyoshi: tu veux qu'on recommence.

J'ai prix l'oreiller pour lui lancer en pleine tête.
Et suis partie sans rien dire.

Hideyoshi: t'es pas drôle.
Moi: sale gosse capricieux.

// Ellipse de quelques mois. //

Pendant se lapes de temps j'ai eu plusieurs informations qui sont plutôt bonne, mais quelque chose va compromettre ce début de bonheur.
Première information les anticorps injectés qui marche plutôt bien mais il faut que je reste vigilante on ne sait jamais.
Deuxième information suite au événement récent je suis tombé enceinte enfin là aussi il faut faire attention à cause de mes antécédents, un bébé pas prévu j'espère d'Hide va l'accepter dans le cas contraire je ne serai pas quoi faire. On est encore jeune pour en avoir un mais bon les erreurs sont vite arrivées.
Mais à la fac ni Ken, ni Hide ne viennent, je ne comprends pas. Il se passe quoi en se moment ?
Il y a le CCG qui se démène à arrêter les ghoules, pour moi il ne s'occupe pas du véritable problème.

// Ellipse de trois mois. //

Ça fait maintenant trois mois que je n'ai plus aucune nouvelle de Hide mais aussi Ken, plus ça va et moins je comprends. Le café dans lequel j'allais tout le temps avait brûlé.
Pourquoi maintenant ? Ça fait trois mois que je suis enceinte est aucun nouvelle d'Hide, il ne sait pas que je suis enceinte rien, il ne sait pas non plus que ma santé c'est énormément amélioré et que je peux enfin avoir une vie dite « normale ». Mais voilà les événements on fait que je vais devoir tout faire seule en attendant un signe de vie.

// Ellipse de cinq mois. //

Je suis à huit mois de grossesse toujours pas de nouvelle, je commence sérieusement à me poser des questions.
En me baladant dans les rues de Tokyo, je me suis retrouver devant un café, au travers de la vitre j'ai reconnu l'une des serveuses.

Moi: mais c'est Toka.

Je suis entré dans le café, il y avait quelque personne assise entrain de boire du café, quoi de plus normal.
Je me suis souvenu d'un truc, Ken et Toka, sont des ghoules, se qui veut dire qu'elle doit savoir où est Ken, et Ken sait où est Hide. Enfin je l'espère de tout cœur.
Je me suis assise à une table vide.
Toka est venu me servir.

Toka: Nonako ?
Moi: salut.

Elle a regardé mon ventre.

Toka: et bah ça fait longtemps.
Moi: je ne te le fais pas dire. Sinon ça va ?
Toka: oui et toi ? Et ça ?

Elle a pointé du doigt mon ventre.

Moi: ça va. Un petit imprévu. Quand j'ai su que l'antique avait brûlé j'ai eu peur que vous soyez blessé.
Toka: et non toujours là !
? : Tu vas reprendre du service ?
Moi: Nishiki ? Et bin si vous voulez encore de moi, se serait avec grand plaisir.

Nishiki et Toka se sont regardé.

Nishio: on en parlera à Yomo.
Toka: mais en tout cas je serai contente que tu reviennes.
Nishio: tu es soigné ?
Moi: oui grâce à Kimi.
Nishio: je vois.

Ils ont pris m'a commende. Quelques minutes plus tard Toka est revenu avec celle-ci.

Toka: tu as feu vert. Yomo ne voit aucun inconvénient.
Moi: super, par contre une fois le petit naît.
Toka: se soir tu es invité chez moi on a trop de truc à se dire.

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La folie des recueils.Où les histoires vivent. Découvrez maintenant