Je ne le mérite pas. { Konohamaru} Part 2.

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Moi: Tu as tout compris, je te trouve ennuyeuse et inutile.

Les larmes qui naissent au coins de ses yeux coulent maintenant à flot.

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Elle c'est écarté de moi. Et c'est précipité vers la porte d'entré de chez elle. Je suis un monstre, il n'y a pas d'autre mot. Je suis aussi rentré chez moi. J'ai mal agit, je le sais très bien. Mais c'est la seule solution.

//Deux jours plus tard.//

Je suis partie retrouver mes trois aspirants ninjas.

Sarada: Vous avez mauvaise mine.
Boruto: C'est vrai.

Si seulement vous saviez. Je les ai accompagné en mission.

PDV EIKO:

En se moment rien ne va, je perds mes parents, mon travaille, et maintenant l'homme que j'aime. Je ne demandais pas qu'on sorte ensemble je voulais juste retrouver mon ami, j'ai échoué lamentablement.

Moegi: Eiko !
Moi: Salut !
Moegi: Alors avec Konoha-Maru ?
Moi: Échec total.

Je lui ai raconté se que Konoha-Maru m'avait dit il y a deux jours.

Moegi: Non, je suis désolé, si j'avais su, jamais je n'aurais fait ça.
Moi: Tu ne pouvais pas savoir. Et puis au moins je suis fixé.

J'ai eu l'impression que mon cœur allait exploser. Je vais avoir du mal à m'en remettre.

Moegi: Je suis sur que tu aurais fait un bon ninja dans d'autre circonstance.
Moi: Sans doutes, mais voilà le destin en a décidé autrement.
Chocho: Vous auriez pu être ninja ?
Moi: L'on peux dire ça.

PDV MOEGI:

Eiko venait de partir. Je vais avoir une discussion avec Konoha-Maru très prochainement.

Inogin: Pourquoi ne l'est-t-elle pas ?
Moi: Sa famille et sa santé.
Inogin: Je vois.

// En fin de journée.//

La mission venait de se terminé. Chocho, Inogin et Shikadai sont rentré chez eux. Et moi je suis allé au domicile de Konoha-Maru. Une fois arrivé devant la porte de sa maison j'ai toqué. Je n'ai pas eu de réponse. Je suis rentré. Il n'y avait pas un...

?: Ko-Kono-Konoha-Maru...

C'était un gémissement. Je ne connaissais pas la voix de cette personne.

?: Plu-Plus vite.

Je crois que je ne devrais pas être là. Au moins je sais pourquoi Konoha-Maru l'a rejeté. Je suis partie sans faire de bruit.
C'est pas vrai le chopper en train de faire ça. Je pouvais pas faire pire. Alors que je descendais les marches des escaliers. Une femme m'a légèrement bousculé, elle avait les larmes aux yeux.

Femme: Il est horrible.

Konoha-Maru sortie de sa maison juste après.

Konoha-Maru: Je... Moegi ?
Moi: Je voulais justement parler avec toi.
Konoha-Maru: De quoi ?
Moi: Je peux t'expliquer chez toi ?
Konoha-Maru: Oui, entre.

Je suis de-nouveau entré dans sa maison.

Moi: J'ai plusieurs questions.
Konoha-Maru: Dit, de tout façon j'ai pas le choix.
Moi: Première question cette fille ? Deuxième question il c'est passé quoi avec Eiko ? Troisième question tu as quoi dans le crâne ?
Konoha-Maru: Cette fille c'est juste pour passer à autre chose. Et pour Eiko j'ai pas envie de la blesser. Mon crâne va bien.
Moi: Mais tu es pas bien c'est là maintenant que tu la blesses triple andouille. Passer à autre chose, mais tu es sérieux ? Tu n'aurais pas fait n'importe quoi l'autre soir, si ça se trouve vous seriez ensemble à l'heure qu'il est.
Konoha-Maru: Tu ne peux pas comprendre.
Moi: Je ne peux pas comprendre quoi ?
Konoha-Maru: C'est impossible entre nous, et puis après se que je lui ai dit, elle ne voudra plus jamais que je lui parle.
Moi: C'est sur que maintenant c'est mort. Tu ne peux t'en prendre cas toi même.
Konoha-Maru: C'est bon j'ai compris comment je devais m'y prendre.

Il est partie aussi vite que la lumière.

PDV KONOHA-MARU:

Je suis partie à la recherche de Eiko. Après avoir cherche une bonne heure, toujours pas de trace d'elle, pas même cher elle. Je suis allé au alentour de Konoha. J'ai remarqué un morceau de tissu arraché sur une branche d'arbuste.

?: Arrêtez !
??: arrête de crier.
???: Personne ne viendra à ton aide.

Cette voix, j'en suis sur c'est celle d'Eiko. Je les ai vite rattrapé. Ils étaient trois hommes. Je vais les attaquer par surprise.

//Fin du combat.//

Les trois hommes avait eu leur compte, j'ai demandé du renforts pour emmener les trois fugitifs.

Eiko: ... Merci.

J'ai raccompagné Eiko jusqu'à chez elle. Pas deux fois la même erreur. Je me suis avancé vers elle.

Eiko: C'est bon je t'ai remercié tu peux partir.

J'ai attrapé son poignet à l'aide de ma main.

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La folie des recueils.Où les histoires vivent. Découvrez maintenant