Ils font toujours y croire. {Sai} part 2.

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PDV SAI:

Pourquoi un tel comportement ?

Moi: pourquoi ? Elle ne t'a rien fait.
Inogin: c'est qui pour toi ? Je ne veux pas d'elle.
Moi: mais c'est juste une amie de long date et puis on a une mission ensemble il fallait que je lui explique tout. 
Inogin: mouais.

Il est partie. Je ne le comprend pas.

PDV INOJIN:

Pourquoi ?

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Je suis allé en cour le lendemain matin.
À l'école.

Boruto: tu as l'air énervé ?
Shikadai: c'est vrai.
Moi: rien de bien important. C'est juste cette fille là, elle tour autour de mon père.
Boruto: il a retrouvé une femme ?
Moi: j'espère que ça ne sera jamais le cas.

Ils se sont regardé.

PDV KANOKA:

Juste avant de partie pour la mission, il faut que je fasse un cours au futur aspirant Ninja.
Je suis arrivé à l'académie. J'ai ouvert la porte de la salle.

Moi: Bonjour à tous et à toutes, aujourd'hui je serais votre professeur.

Tout les élèves se sont assis.

Moi: je me présente, Kanoka Shiro.
??: la Shiro, et bah.
??: on en a de la chance.

Bon ça va aller.
Je me sens moins stressé.
La matinée venait de passer. Je me suis rendu compte que j'avais oublié mon sac dans la salle.
J'y suis donc retourné.
Mais il y avait un petit papier à mon nom.

~ Chère Kanoka Shiro
Te t'approches pas de mon père.
Inogin.~

Mais il raconte quoi se gosse ? Jamais je ne...

??: Kanoka, tu me pourras pas assuré les cours cette aprèm. Il faut qu'on parte.

C'était Sai.

Sai: qu'est-ce que tu as ?
Moi: rien. Ok je prends mes affaires et je te suis.

J'ai pris mes affaires comme je l'ai dit.
Nous étions à l'extérieur de Konoha.

Sai: il faut que nous allions plus à...
Moi: l'ouest ?
Sai: c'est ça.

On a commencé notre route.
On était presque arrivé au lieu dit.
Mais à part des arbres il n'y a pas grand chose.
Je me suis précipité sur Sai.

?: plus rapide que je pensais.

Mais l'homme qui a essayé d'attaque Sai est partie aussi vite qu'il est arrivé.

Sai: je t'en dois une.
Moi: je me pouvais pas te laisser être blessé.
Sai: merci... mais tu es blessé. Il t'a touché.

On a cherché un endroit à l'abri pour me soigner.

Moi: c'est rien. C'est qu'une petite coupure.
Sai: je refuse que tu sois blessés par ma faute.
Moi: tu me l'as déjà dit ça.
Sai: je sais, c'est justement pour cette raison que je ne veux pas renouveler l'expérience. On reprendra la mission une fois que tu seras soigné.
Moi: j'ai pas vraiment le choix.
Sai: tu as bien compris.

// Ellipse de trois jours. //

Ma blessure était totalement soigné depuis deux jours et nous enquêtions dans les environs.

??: alors vous étiez cacher là ?!

Il nous a retrouvé. J'allais prêté main forte à Sai.

Sai: tu ne bouges pas.

Mais pourquoi ? Je vais bien. Je ne lui sert à rien.

?: tu pourrais la laisser participer.
Sai: pour que tu en profites ?
?: alors tu m'as reconnu ?
Sai: bien sûr. Je n'oublie pas une enflure de ton espèce.

Quoi ? Ils se connaissent.
Un autre homme est arrivé et un autre. Ils sont maintenant trois. Sai n'y arrivera pas seul.

?: Shin, tu es sur ?
Shin: ils ne sont que deux, et puis j'ai un compte à règle avec eux.

Une minute Shin... Non c'est impossible, je l'ai vue mourir sous mes yeux.

Moi: c'est impossible tu es mort.
Shin: non comme tu peux le voir. J'espère que tu ne m'en veux pas trop...

Il a marqué une pose.

Shin: ... de t'avoir marquer à vie.
Moi: enfoiré.

Je me suis levé. J'ai prêté main forte à Sai, quoi qu'il me dise je l'aiderai, au bout de quelque heure de combat acharné, on a réussi à les vaincre. Mais aucune info, il n'était que des pions.

Sai: on rentre, on a plus rien à faire ici.
Moi: c'était eux les hommes en question ?
Sai: oui.
Moi: dit moi Sai... pourquoi ?
Sai: de quoi tu parles ?
Moi: de ton comportement.
Sai: mon comportement ?
Moi: tu es bizarre.
Sai: avec toi ?
Moi: ... oui.
Sai: je sais pertinemment que ça ne sera jamais réciproque, mais je t'aime, et ça depuis longtemps. Ino était juste pour te remplacer, t'oublier mais ça n'a pas marché.

Il m'a dit ceci sans se retourner. Il marche devant moi. J'ai couru pour le rattraper. J'ai enlacé son dos.

Moi: ne dit pas n'importe quoi ! Et puis moi aussi je t'aime, mais je ne voulais pas te le dire de peur que tu me rejettes, qui voudraient d'une copine comme moi.

Il a pris mes mains pour les retirer de sa taille.

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La folie des recueils.Où les histoires vivent. Découvrez maintenant