Erreur du passé. { Osamu Dazai } Part 6/FIN.

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? : Rashomon.
Aido: Alors c'est vrai elle peut copier les pouvoirs.
Moi: Tu es au courant ?
Aido: Oui, c'est Chuya qui me l'a dit.

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Aido: Tout se que je sais d'elle c'est lui qui m'a tout dit. Je sais aussi pourquoi elle est partie.
Moi: Pourquoi elle est partie ?
Aido: Monsieur le grand patron lui avait demandé les pouvoirs de Chuya.

Il l'appelle monsieur le grand patron, mais c'est bien le parrain de la mafia qu'il parle.
Quand Hiyori eu enfin son combat, elle est venu vers nous.

Hiyori: Dazai ? Et qui es... Aido ?

PDV HIYORI:

Le garçon au coté de Dazai, je le reconnaîtrais entre mille. Je ne sais pas comment réagir. J'avais fait une crois dessus, pensant que la mafia portuaire ne me le rendrait jamais, cet enfant que j'ai eu avec Dazai, juste avant qu'il ne parte.
Quatorze ans que je ne l'ai pas vue, j'ai envie de le prendre dans mes bras, mais est-ce qu'il me reconnait, jamais, il ne se souvient pas de moi, c'est obligé.

PDV OSAMU:

Aido c'est avancé vers Hiyori. Et il l'a pris dans ses bras.

Aido: Depuis que Chuya m'a tout raconté, j'ai tout fait pour vous retrouver. Quitte à faire prisonnier mon propre père, c'était le seul moyen.
Hiyoro: Et bien tu as hérité de la débilité de ton père.

Il c'est écarté d'elle.

Aido: Chuya me le disait souvent.

Sur le chemin pour aller à la maison de Hiyori.
Nous étions rentrés dans sa maison.

Hiyori: Tu pourras loger ici, enfin si tu veux.
Aido: Bien sur que je veux.
Hiyori: Maintenant que je t'ai, je ne compte plus te laisser.

Nous parlions de tout et de rien.

Aido: C'est vrai qu'il lit toujours le même livre, sur le suicide parfait ?
Hiyori: Oui, depuis que je le connais il l'a.
Aido: Ça craint !

Le soir allé tomber.

Moi: Bon je vais partir moi.

J'avais franchie la porte d'entré.

Hiyori: Attends je reviens.

J'allais descendre les marches. J'ai sentie un corps se coller au miens, cette sensation, ça fais bien longtemps que je ne l'ai pas sentie, cette chaleur, sa chaleur, je suis toujours fou amoureux d'elle, je n'ai jamais pu l'oublier.
Je me suis retourné vers elle. Son regard était plongé dans le miens. Mon visage c'est approché du sien. J'ai déposé mes lèvres sur les siennes. On a rompu le baiser à bout de souffle.

Hiyori: S'il te plait reste, je ne te veux plus loin de moi, je ne le supporte plus, je ne l'ai jamais supporté, quand tu es partie, je ne savais plus quoi faire, je venais de découvrir que j'étais enceinte de toi, je ne voulais pas que le bébé soit une fille est qu'elle est le même pouvoir que moi, quand j'ai su que c'était un garçon j'étais tellement soulagé. Il te ressemble tellement. Dazai, je t'aime.

Se qu'elle me dit me fait chaud au cœur.

Moi: Je ne te laisserais plus, que se soit toi ou maintenant lui.

On est se qu'on peut appeler une famille.

FIN.

La folie des recueils.Où les histoires vivent. Découvrez maintenant