365 jours { Hideyoshi } Part 3.

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//Le lendemain.//

J'avais dormis sur le canapé. Je suis allé voir Hideyoshi dans ma chambre. La fièvre avait un peu baissé.

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Moi: tu peux te lever ?

Il c'est assis sur le lit. Et a voulu marché, il ne tenait même plus sur ses jambes.
Il y avait du sang qui coulé de sa jambe. Il était blessé. Je l'ai soutenu jusqu'à la salle de bain.
Je l'ai fais s'asseoir dos contre le mur de la douche. 

Moi: tu me n'en voudras pas.
Hideyoshi: fait se que tu as à faire.

Je lui ai enlevé son pantalon. Il avait une plaie à la cuisse comment il c'est fait ça ? Après lui avoir désinfecté, j'ai fait tremper son pantalon pour enlever la tâche de sang et j'ai mis son pantalon à la machine à laver.

Moi: ta veste et ton t-shirt aussi. Tu l'es met dans la machine, pendant se temps moi je vais aller voir se que je peux trouver pour toi.
Hideyoshi: d'accord.

Je suis partie de la salle de bain. Je me rappelle que mon frère avait oublié des vêtements à lui la dernière fois ça ne pouvait pas mieux tomber. Le t-shirt et le pantalon et sous vêtement à mon frère pris je suis retourné voir Hideyoshi. Je crois qu'ils font un peu près la même taille. Voir Hideyoshi à moutier nu ne m'a pas laissé indifférente.

Moi: avant il faut que tu te laves.
Hideyoshi: et je fais comment sans pouvoir marcher.
Moi: il faut que je t'aide.
Hideyoshi: tu m'aurais ouvert on en serait pas à là.
Moi: je sais c'est ma faute.

J'ai posé les affaires propres sur la machine. En me retournant, la première chose que j'ai vue était entre jambe d'Hideyoshi. Mais quel cauchemar. J'ai immédiatement détourné le regard.
Il c'était mis dans la douche de sort que je ne puisse pas voir. J'ai pris le pommeau de douche et ai allumé l'eau.

Moi: c'est bon là ?
Hideyoshi: impeccable.

Il c'est savonné et je l'ai rincé.
Je lui ai donné une serviette qu'il a mise autour de sa taille. Il a commencé a enfilé les vêtements que je lui ai donné. Je l'ai aidé à se dirigé vers le salon.

Hideyoshi: pourquoi tu nous parles plus ?
Moi: je n'ai pas le choix.
Hideyoshi: on a toujours le choix. Allé dis-moi.
Moi: je ne peux pas.
Hideyoshi: si tu peux.

Sans est trop. Les larmes commencent à couler le long de mes joues.

Hideyoshi: et après tu vas me dire qu'il y a rien. Tu vas m'expliquer à la fin.

Il m'a prix par les épaules et c'est mis débout.

Moi: tu peux marcher ?
Hideyoshi: arrête de te foutre de moi, répond à ma question. Et bien sûr que je peux marcher, si je ne l'avais pas fait tu m'aurais renvoyé chez moi.
Moi: je n'ai pas envie.

Il m'a légèrement secoué.

Hideyoshi: réponds-moi s'il te plaît.
Moi: non je ne veux pas.
Hideyoshi: mais merde réponds.

Sous le coup de l'énervement il m'a frappé.
Je me suis tenue la joue. Mes larmes coulent de plus en plus sur mes joues.

Hideyoshi: je suis désolé je ne voulais pas te frapper mais comprends moi.

Il m'a serré dans ses bras. De sa main, il m'a fait relever la tête.

Moi: pourquoi tu veux tant savoir ?
Hideyoshi: c'est tout simple, c'est parce que je t'aime.

J'ai bloqué sur le je t'aime.

Hideyoshi: je sais bien qu'il y a une raison que tu ne nous parles plus mais c'est aussi à se moment que j'ai compris que je t'aimais. Et que toi tu ne me vois pas pareil mais je voulais que tu le saches.
Moi: on verra si tu tiens le même discours avec avoir entendu ça. Je vais répondre à ta question. Je ne vous parle plus ni à toi ni aux autres pour une seule et unique raison je vais mourir dans maintenant 7 mois à cause d'une maladie qui me tue à petit feu.
Hideyoshi: je me moque de savoir quand tu mourras, c'est sûr je vais être triste voir inconsolable mais je t'aime pour ce que tu es et pas pour autre chose.

Je me suis remise à pleurer, j'ai l'impression d'avoir pleuré toute la journée. Jamais je n'aurais jamais imaginé que quelqu'un s'intéresserait à moi même après lui avoir dit.
Il m'a prix dans ses bras une nouvelle fois.

Moi: moi aussi je me suis rendu compte que je t'aimais.

Il m'a fait reculer légèrement pour m'embrasser avec passion et envie.
Il a stoppé le baisser à contre cœur.

// Quelque temps plus tard.//

Après ça Hideyoshi était chez moi tout les jours ne voulant en loupé aucun. On a parlé de tellement de projets, qui seront pour la plus part irréalisable mais on en parle comme si on pouvait.

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La folie des recueils.Où les histoires vivent. Découvrez maintenant