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-                ta race t'es en retard

-                ça va, il est 1h13 Mekra laisse la tranquille

-                enfin quelqu'un de sensé dans c'te pièce, merci Ken.

-                "merci ken", reprit Mekra en m'imitant

-                 toi tu te calme desuite, je peux toujours t'étouffer pendant que tu dors.

j'avais pointé l'intéressé du doigt, faisant rire le brun qui était venu à mon secours quelques instants plus tôt.

-                 tu te fais victimiser par une enfant, la tehon

-                 ta gueule framal, grogna son frère

-                 et je suis pas une enfant putain !

-                 t'as 23 ans, c'est pire qu'une enfant ! rajouta Ken en riant.

-                 vous parlez trop, fermez là.

-                 ouuuh, qu'elle autorité.

J'offris mon plus beau majeur à Mekra en souriant faussement avant de me m'asseoir au sol, le dos contre le canapé et les yeux fermés. Si avec ça ils ne comprenaient pas que je n'avais pas envie de parler..

J'avais trop cogitée pendant ma balade, et je crois qu'au final ça m'avait fait plus de mal que de bien et mon cerveau n'arrêtais pas de fuser. Dix milles choses me passaient dans la tête et c'est sans le vouloir que je fronça mes sourcils, comme ci ça allait tout arrêter.

Mais la seule chose que je sentie, c'est la main qui se posa doucement sur mon épaule et la bouche de Ken s'approcher de mon oreille.

-                 ça va Princesse... ?

-                 ouais, petit mal de tête.

-                 bouge pas.

je fronça les sourcils en le voyant se lever pour disparaitre dans la cuisine. Il m'avait rellement appelé Princesse ? Il est à l'aise lui.. je souris en le voyant revenir avec un verre d'eau qu'il posa sur la table devant moi. Il se saisit alors de son sac posé contre le canapé et en sortie une boite d'ibuprofène se qui m'arracha un petit rire.

-                  genre toi, t'as des cachets dans ton sac ?

-                  bah ouais, il haussa les épaules

-                  t'es pire qu'une go

-                  prends le et dis merci

-                 merci papa.

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desastres
Paris

Fallait que j'accepte, chaque peine que je traverse est une étape à laquelle j'accède

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Fallait que j'accepte, chaque peine que je traverse est une étape à laquelle j'accède.

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Neklefeu vous à envoyé un message.

Neklefeu : tu choisis toujours les meilleures passages.
desastres : c'est mon super pouvoir ;)
Neklefeu : je peux savoir à qui j'ai à faire ? J'ai pas souvenir d'avoir vu ton nom ou ta tête sur ta page.
desastres : ah tu sais, en qualité de super héro de mon état je ne comptes pas dévoiler mon identité, désolée.
Neklefeu : au moins j'ai appris que t'étais une fille.
desastres : ?
Neklefeu : "désolée"
desastres : à plus tard, Nekfeu.
Neklefeu : à plus tard.

Vu.

desastres : un jour je te volerai ces air max, elles sont bien trop belles pour toi.
Neklefeu : lesquels ?
desastres : celle que t'as aux pieds igo ;)
Neklefeu : t'es où ?
desastres : partout.

Des airs et des astres / NekfeuOù les histoires vivent. Découvrez maintenant