Le cadeau de Circé

312 16 20
                                    

🥀
La neige commença à tomber tôt...
Ombrage prenait de plus en plus ses aises.
Dumbledore laissait faire... les décrets et les punitions tombaient chaque semaines... deux élèves ne s'en préoccupaient pas...
🥀

Baudoin caressait le dos de Circé au fond de la salle de classe de métamorphose, n'écoutant rien, ne faisant rien avec sa baguette magique. Il s'en moquait complètement. Il savait déjà faire. Circé s'amusait à faire d'autres choses d'un niveau plus avancé. Le professeur McGonagall ne disait rien. Elle savait que c'était inutile.

Circé arrêta ses sorts et se tourna vers lui. Elle se pencha vers son oreille.

— J'aimerais qu'on se voit ce soir, dit-elle. J'ai préparé ma surprise !

— Déjà ? S'étonna Baudoin. Je pensais que ce serait plus pour Yule.

— Ça peut le donner une idée pour Yule si je vois que ça te plaît, dit-elle. Tu ne veux pas savoir ce que c'est ?

— Non.

Circé pouffa de rire. Elle était quand à elle impatiente de lui faire sa surprise. Ce serait bien sûr au jardin.

🥀

Baudoin lui tenait la main, les yeux bandés.

— Reste là ! Dit Circé toute joyeuse.

Baudoin ne bougea pas, même quand elle commença à le déshabiller. Nu, elle le fit s'asseoir sur une chaise sans assises, un trou à la place.

— C'est moi qui fait tout, dit-elle.

Elle lui attacha les chevilles aux pieds arrière. Il se laissait faire. Elle attacha ses mains ensuite, puis mît un foulard autour de son cou qu'elle noua au barreau de la chaise. Il ne pouvait plus du tout bouger.

— Est-ce que tu es prêt ?

— Oui.

Elle sourit puis se mit sur ses genoux et l'embrassa langoureusement. Elle mit sa main entre ses cuisses, puis commença à caresser le penis de Baudoin, un doigt caressant le bout avec douceur. Baudoin souffla contre ses lèvres. Elle sourit, heureuse de sentir qu'il aimait ça. Elle l'embrassa à nouveau et stoppa tout. Il grogna frustré.

— Ouvre la bouche, dit-elle.

Il obéit et sentit une boule froide sur sa langue. Elle attacha le mord derrière sa tête. Il avait la langue coincé. Elle passa derrière lui, caressant son torse. Il frémit. Elle glissa son doigt vers ses fesses. Il souffla. Elle lécha ses doigts en se mettant à genoux derrière lui, puis attrapa son sexe par le trou dans la chaise, et le caressa lentement de bas en haut. Elle mit ses doigts humides dans son anus, lentement. Il gémit.

— Tu aimes ? Demanda-t-elle.

Il grogna, ne pouvant parler, ne pouvant acquiescer. Circé plongea un doigt en plus, continuant de caresser son sexe avec de plus en plus d'ardeur. Baudoin souffla puis gémit. Même sans bandeau il aurait fermé les yeux. Circé enleva ses doigts de son anus, et attrapa dans sa poche des boules relier par une fine chaîne. Elle les glissa là où ses doigts étaient quelques secondes avant, doucement. Baudoin se arqua en gémissant. Elle le contourna, toujours à genoux puis attrapa son penis qu'elle avala dans sa bouche. Baudoin respirait vite, oubliant les liens, oubliant où il était. Il sentait qu'elle était là, qu'elle fusionnait petit à petit en lui. Elle retira son sexe puis se mit à califourchon tenant toujours son sexe dur. Elle le guida jusqu'à son propre sexe, puis commença des coups de reins, lentement. Baudoin aurait aimé la caressait pour la remercier, pour la sentir encore plus en lui. Elle gémissait aussi, accélérant un peu plus. Elle enleva le mord et l'embrassa. Il y répondit comme si il ne savait plus que faire ça. Elle l'embrassait encore et encore. Baudoin était complètement dans un autre monde, ne sentant pas la brise du vent dans le jardin, n'entendant plus les oiseaux, les serpents, les licornes ou encore les Sombrals. Il était ailleurs, juste avec Circé. Il l'étendait geindre, il la sentait. Sa transpiration se mêlant à la sienne. Son souffle se mélangeant au sien.

Les Roses NoiresOù les histoires vivent. Découvrez maintenant