Sous surveillance

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Deux générations se font face...
Un grand mage ayant marqué son histoire...
Deux jeunes sorciers qui pourraient laisser leurs noms dans le futur...
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Grindelwald caressait un des Sombrals. Il attendit que Circé lui explique le problème. Ils étaient à l'abri dans le jardin des Rosier, le jardin éternel et secret.

— Maugrey, commença Circé.

— Beau a fini par le tuer ? Demanda Grindelwald, avec un sourire.

— Non, répondit Baudoin. L'idée est toujours d'actualité mais pour ça, il faudrait que ce soit le bon.

Grindelwald fronça des sourcils.

— Comment ça ?

— Circé a découvert du polynectar dans son bureau et en grande quantité. Ce n'est pas Maugrey.

— Ah...

Grindelwald se frotta le visage, pensif.

— Hmm... ce serait donc lui qui aurait mis le nom de Potter dans la coupe aussi salement ? Dit Grindelwald. Franchement, un quatrième champion... comment attirer encore plus l'attention ? Moi, au moins, j'ai réussi à faire que la Coupe oublie les autres candidats de Poudlard et n'en choisis qu'un... le mien !

Baudoin hocha de la tête. Circé sourit.

— Une maitrise digne de vous, grand-père, dit-elle.

— Je sais... même si j'avais peur d'avoir perdu la main, dit le mage.

Baudoin sourit alors moqueur.

— Je peux m'arranger pour la main, dit-il. Ça fait longtemps que je ne me suis pas défoulé un peu et surtout que je n'ai pas fait de duel avec un rival digne de ce nom.

— Oh... tu t'ennuies quand même ? Demanda Grindelwald avec un sourire. Très bien, mais rien de mortel. Je te rappelle que Albus a des doutes sur moi. Il me surveille.

— Ça va être pratique, dit Circé. Voilà ce qui arrive quand on le cherche. Comment on va surveiller ce sorcier qui se fait passer pour Maugrey ?

— Laissez le, dit Grindelwald. De toute manière, Voldemort finira par revenir. Le plus tôt serait le mieux. Albus et moi, ne sommes plus très jeunes et je pense qu'on aura besoin de nous pour arrêter ce sorcier.

— Ne vous sur-estimez pas, dit Baudoin. Debout, grand-père. Faisons un duel. Si vous me battez, alors peut-être que vous serez utile contre lui.

Grindelwald souffla, furieux. Ce gamin, il allait voir s'il était obsolète. Il se leva avec un sourire. Baudoin ne lui laissa pas le temps de se préparer ni de se protéger. Grindelwald poussa un grognement en recevant un sort venu de nulle part qui l'envoya de l'autre côté de la fontaine. Il sentit son dos craquer. Il pensa à une autre baguette qui aurait fait taire ce garçon.

— Tu parles d'un duel, murmura-t-il.

Baudoin s'avança lentement, sa baguette magique pointée vers le sol. Grindelwald eut un frisson, en le voyant l'air sérieux.

— Quelle main ? Demanda Baudoin.

— Aucune, répondit Grindelwald en se relevant.

Il lança un sort alors, mais Baudoin s'y était préparé et le para, en créant un immense bouclier qui l'enveloppa un court moment. Le duel commençait vraiment, alors qu'ils se faisaient face. Deux jets de flammes violentes se heurtèrent alors. Circé cria alors :

— Ça suffit ! Pas dans ce jardin ! Faites d'autres sorts.

Baudoin obéit immédiatement, mais Grindelwald lança une nouvelle flamme. Baudoin recula et l'évita de justesse. Il sourit et para un autre sort.

Les Roses NoiresOù les histoires vivent. Découvrez maintenant