Bonjour les gens, je suis de retour, déso j'étais malade (ce qui est vrai j'ai craché mes trippes deux fois, mais la vérité c'est que House of Ashes est sorti, je shippe Salim/Jason comme une malade je parle plus que d'eux n'allez pas sur mon Twitter ou Tumblr vous seriez choqués ahah), de retour uniquement parce qu'Ugo est sexxyyy quand il crie
Someone Special
Ugo n'a pas vraiment de se retrouver avec deux jeunes hommes assis près de lui pendant qu'il se repose, son squelette inexpulsable toujours là à bronzer malgré l'énergie le quittant peu à peu, mais les destins liés ont fait que Loïc serait son allié, et que Sam serait lui aussi son allié à distance. Ce n'est pas facile à vivre pour être parfaitement honnête avec lui-même, Ugo a une confiance potable en lui-même, mais ça n'a pas l'air d'être le cas avec ses deux jeunes fistons sous le bras.
Loïc a l'air plus que déprimé, toujours à tenir la main de Sam quand il n'a pas sa tête planquée sous son bras plus que maigre et fragile, et Sam de son côté manque d'assurance et de social, malgré ses efforts, alors chaque mot qui sort de sa bouche est une bonne raison de se méfier. Et Ugo n'a pas pu s'empêcher de remarquer toutes les égratignures sur le dos de Sam, à croire qu'il s'est frotté contre un arbre malade...
Alors les voilà, allongé contre un arbre bien penché, Ugo essayant tant bien que mal d'empêcher Loïc et Sam de s'avouer leurs sentiments comme deux jeunes idiots devant tout le monde, de les convaincre de faire ça plus silencieusement quand il n'y a que lui, mais il doit bien avouer que c'est compliqué. Et bon dieu, Ugo a vraiment essayé de ne couiner avec les têtes de Loïc et Sam sur ses côtes fragilisées, mais il est obligé de leur demander de l'épargner s'ils voulaient vraiment garder leurs mains enchevêtrées l'une dans l'autre.
Ugo profite du soleil, ses deux fistons encore et toujours à côté de lui, Claude ressassant encore son histoire de poisson alors que Laurent lui tourne autour complètement à poil pour l'emmener faire des cochonneries dans la forêt, des choses normales en somme. Il pense presque qu'il va pouvoir faire une sieste, mais Loïc laisse ses doigts glisser dans ses cheveux pour les remettre en état, et Sam s'occupe de sa barbe. Ils ont beaucoup de travail alors, l'île des bannis ne l'a pas aidé...
Ugo se paralyse sur place et n'a même plus le courage d'ouvrir les yeux ou de prononcer un seul mot quand il entend Loïc lui murmurer des mots plus que particuliers...
''Tu es tellement sexy quand tu cries papa...''
Ugo ne cherche clairement pas à répondre, mais ça ne s'arrange pas avec les mots de Sam...
''On ne te lâche plus maintenant...''
Ugo ne sait pas s'il ne peut pas se relever à cause de sa fatigue ou de sa famine, ou bien même à cause de ses jeunots sur lui, mais il est pétrifié et attend juste le conseil pour se sauver...
Fin