13. Désillusion;

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Dalia souvenir 18 ans et 8 mois;

-Arrête de me soûler. Dit-il en me poussant.

Je débarrasse la table et mets tout dans l'évier, Paco veut aller dans un club rempli de prostituées mais je ne suis pas d'accord.

Mais il ne m'écoute pas comme d'habitude, et se fiche de ce que je pense.

Je n'ai rien à dire sur lui, mais il a le droit de dire sur moi.

Si je ne suis pas d'accord, il me frappe et les choses ne font qu'empirer.

- Eu amo-te. Chuchote-t-il dans le creux de mon oreille. ( Je t'aime ).

Je haie ce mot.

Il m'enveloppe par derrière et ses mains glissent sur mon corps.

Je ressens un dégoût quand il me touche, j'arrive pas à aimer ça.

Il soulève très vite ma robe et malheureusement je ne porte pas de culotte car il me l'a interdit.

Quand je suis à la maison c'est lui qui décide de ce que je dois porter.

Mon cœur est tellement alourdi, je ressens une sensation de dégoût.

-Penche-toi. Dit-il en appuyant sur mon dos.

Il me force à m'allonger sur la table.

-Paco, on est dans le salon s'il te plaît les garçons peuvent rentrer. Dis-je en mordant l'intérieur de ma lèvre.

-Et ça me concerne ? Je veux le faire ici donc ferme là et positionnes-toi.

Mon cœur commence à accélérer, je mérite vraiment ça ?

Je n'ai même pas envie, j'ai peur et je ne sais plus quoi faire.

Je suis complètement perdu, il n'est plus comme au début.

Je suis sous son emprise totale.

Je le pousse et je lui fais face.

-Je ne veux pas le faire maintenant. Dis-je en replaçant ma robe.

Je le défie et je crois bien que je vais le regretter.

Son coup défile sur mon visage et ce n'est pas une gifle mais un coup de poing.

Il n'a pas du tout maîtrisé sa force, je tombe au sol et je pose ma main sur ma joue.

-Lèves-toi. Dit-il en me prenant par le bras.

-Excuse....

-Eu não quero ouvir nada . Dit-il en m'étranglant. La prochaine fois que tu défies mes ordres je t'enferme 1 mois complet dans ta chambre t'a compris ? ( Je ne veux rien entendre).

Son emprise sur moi se renforce et je manque déjà d'oxygène. Au fond, il aime probablement me voir dans cet état.

-Ou..Oui...

Lorsqu'il me libère, l'odeur de l'air revient et je respire fortement en essayant de reprendre mes esprits.

Il me force à m'allongé sur cette table, il remonte ma robe et de nouveau, sans avertissement il me pénètre soudainement en bloquant mes mouvements.

La Demoiselle De La MortOù les histoires vivent. Découvrez maintenant