59. Seulement toi;

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(🌹Bonne lecture )🌹





🔞🔞🌶️🌶️🌶️ ( ils se sont lâcher ) 🔞






Dalia : 



Le paysage défile à travers la vitre de la voiture, le cœur lourd et léger en même temps je m'évade. J'ai vengé mon frère et maintenant ? 

Je ne suis pas satisfaite mais je n'ai rien à faire de plus, à part me concentrer sur mon deuil qui commence à prendre une énorme place dans mon esprit.

La torture a été lente et calculer, même pour Paco je n'ai pas fait pareil, je lui ai arracher chaque morceau à vif et Adrian s'est même excusé.

Tu parles d'un chef, c'est juste une merde qui pense qu'à l'argent, il est mort si facilement, fin j'imagine qu'il agonise en ce moment même.

J'avais hâte de finir car à chaque fois que je voyais son visage je pensais à Rolio et ce soir-là, et ma haine ne faisait que grandir.

La main d'Angel se pose sur ma cuisse et ça m'aide à fuir mes pensées qui ne servent à rien, le passé ne peut être changé, je dois accepter et avancer malgré mes douleurs internes.

Je pose ma main sur la sienne et je me laisse guider par son soutien, il n'a même pas besoin de parler que ça me réconforte au plus profond de moi.

Je me sens à l'aise avec cet homme et je suis prête à tout lui donner s'il me le demande.
Oui je n'ai pas honte de dire que je suis amoureuse de lui, même si je n'arrive pas à le mentionner à honte voix, je sais que je suis folle de lui.

Après 15 minutes sur la route on arrive enfin dans sa demeure, le portail s'ouvre et la voiture rentre doucement dans la priorité du mafieux, il se gare et coupe le moteur.

Il sort en premier et fait le tour rapidement pour ouvrir ma portière, son regard est vif.

Il prépare quelque chose, je suis certaines, j'ai soudainement peur la tout de suite mais c'est une peur qui me fait frissonner.

Un premier pied à l'extérieur, le second suit et une fois que je ferme la portière, Angel me fait face et il me bloque contre la voiture de son grand corps impressionnant. Les lumières de la maison nous éclairent.

- Angel ? Tu me gênes.

Je sens son regard de prédateur sur moi, je suis dans la merde...

- Déshabilles-toi. Ordonne sa voix grave et remplie de désirs, ses yeux brillent et j'ai l'impression d'avoir une autre personne devant moi.

- Attends j'ai dit à la maison..

- On est à la maison, retire tes vêtements et appuie-toi sur le capot.

Il me donne des ordres ou je rêve ?


Mes lèvres s'étirent et je commence à retirer mon haut en le regardant dans les yeux, mes chaussures jeter quelque part, le sol froid parcourt ma peau, puis mon pantalon glisse le long de mes jambes.

Face à lui aussi vulnérable me fait frissonner tout entière, en sous-vêtements à présent je le défie du regard.

Cette soirée est remplie d'émotions et j'ai besoin de me détendre.

La Demoiselle De La MortOù les histoires vivent. Découvrez maintenant