6. O Rastreador;

9.2K 211 119
                                    


⚠️TW⚠️ 


Putain ces bâtards me gonfle sérieusement, j'ai perdu la notion du temps à cause de tout ce qu'il s'est passé.

Heureusement, j'ai le compte avec mes missions que j'ai effectuées et les bijoux que j'ai volés la dernière fois, ils ne vont pas me faire chier.


Je sors de la voiture tout en me dirigeant vers eux.

Leurs yeux ne me lâchent pas du regard, ils veulent clairement dire tout autre chose.

ils viennent ici par plaisir, car normalement, ils ne se déplacent pas en personne, mais Tristan ne veut pas lâcher l'affaire avec moi.

C'est limite mon ombre.

Ils sont tout d'eux habillés de gris.


Tristan commence déjà à sourire.

On pensait que tu avais quitté la ville, trésor. Dit-il en me laissant passer pour que j'ouvre la porte de la maison.

J'hésite un moment avant de tourner les clefs dans la serrure, mais je continue mon geste en réalisant qu'il n'y a personne dans la maison pour cette nuit, Marco dort chez un ami et Rolio travaille toute la nuit donc ils n'auront pas à voir la transaction habituelle.

Un jour peut-être. Dis-je en le fusillant du regard.

Son souffle chaud est près de mon corps, juste à côté de mon oreille, observant chacun de mes mouvements. 

Je rentre dans la maison en première et les deux hommes me suivent et claquent la porte derrière eux.

Je dépose les clefs de voiture sur la table.

-Tu es sexy ce soir, t'es parti voir qui comme ça ? Demande Tristan en touchant ma taille.

Sa main répugnante que j'aimerais couper immédiatement me fait aussitôt trembler de gêne, je ressens un dégoût immense pour cet homme en particulier.

Je pousse sa main d'un coup sec et je pars dans ma chambre chercher le sac noir remplie de billet.

En revenant, je le pose à terre tout en les regardant fixement.

- 15 000 comme prévu.

Leurs présences remplies tout le salon, leurs corps sont incroyablement imposants.

Leurs yeux clairs me fixent, mon envie de les tuer me prend à la gorge et je me retiens du mieux que je peux, ils font partie de ma liste noire.

Cali prend le sac et il commence à compter, quant à Tristan, il approche près de moi et vient attraper une mèche de cheveux qu'il vient sentir et embrasser par la suite.

Je lui lançe un regard noir et il put comprendre rien qu'en me regardant que je veux le tuer ici et maintenant.

Tu sais que je peux arranger la moitié de ta dette trésor ? Chuchote-t-il en approchant sa bouche près de la mienne. Tu as juste à me laisser faire ce que je veux de toi et tout s'arrange en prenant du plaisir...

Je soupire tout en le dévisageant, et je souris face à son discours totalement ridicule.

Je préfère encore baiser avec ton oncle. Dis-je en le poussant.

Cali se met à rigoler en refermant le sac.

- Ela prefere o velho Frérot, um pouco como eu, não é, Fernandes ?   (Elle préfère les vieux Frérot, un peu comme moi, pas vrai Fernandes ?) 

La Demoiselle De La MortOù les histoires vivent. Découvrez maintenant