« 𝘓'𝘩𝘶𝘮𝘢𝘯𝘪𝘵𝘦́ 𝘴'𝘦́𝘵𝘦𝘪𝘯𝘵 𝘥𝘦̀𝘴 𝘭𝘰𝘳𝘴 𝘲𝘶𝘦 𝘭'𝘦𝘴𝘱𝘰𝘪𝘳 𝘥𝘪𝘴𝘱𝘢𝘳𝘢𝘪̂𝘵. »
Pendant longtemps, chaque 31 décembre, la menace d'une fin du monde à minuit passée était devenue une sorte de tradition dans le monde entier. Ell...
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Le lendemain, je me réveillai en pleine forme. Lorsque j'ouvris les yeux, je me rendis compte que j'étais dans les bras de Daryl. Je me senti gêné, mais ne bougea pas de peur de le réveiller. Il m'avait enfermer contre lui avec ses bras, et j'avais la moitié du buste sur son torse. Je leva les yeux un instant et le regarda, je l'avais jamais vraiment observé quand il dormait et j'dois dire qu'il était mignon... Pour la première fois, il semblait serein. Les traits de son visage d'ordinaire durs, étaient comme apaisés. Je détourna rapidement les yeux de peur qu'il ouvre les siens et qu'il croit que j'le matte... Donc j'attendis. Longtemps. Je joua avec mes doigts et un trou du drap en passant le temps. T'façon j'avais rien à faire d'autre et ça me faisait chier de réveiller Grincheux... Je fis ceci pendant un bon moment jusqu'à ce que je me coinca un ongle dans un des ressorts qui sortait du matelas.
- Aïe. Putain la con ! m'exclamais-je en retirant mon doigt et en le portant à ma bouche.
J'entendis Daryl rire.
- Tu trouve ça drôle ?
- Y a que toi pour te blesser stupidement.
Je tapa sur son torse.
- Oh ça va Grincheux ! J'suis pas tombé de cheval moi et je me suis ps blessé avec MON arme comme un débutant !
– Hé ! Là t'abuse, t'es hyper mauvaise ! Fit-il en me donnant une tape sur l'épaule.
– Chacun son tour Cow-Boy, riai-je.
- M'cherches pas trop, tu risque de le regretter Gamine.
- J'aimerais bien voir ça tiens.
- Me tente pas, souria t-il. Bien dormi ?
- Oui assez bien et toi ?
- Ouais. Finalement, ce lit est confortable.
Je souria, on resta un moment silencieux jusqu'à ce que je senti son pouce caresser mon épaule.
- Désolé de t'avoir réveillé.
- Ouais, t'as de le chance d'être une nana.
Je pouffa. Mais sa "caresse" me provoqua soudain des frissons, tout le long de mon échine. Me mettant mal à l'aise.
- Bon allez garçon, au boulot ! Lançai-je.
Je me redressai, faisant comme si de rien n'était. Je mis mes bottes et me fis une queue de cheval.
- Moi j'reste au pieu.
Je me retourna.
- Non, toi aussi t'a du taff. Rick veut qu'on nettoie le reste du bloc ce matin.
