« 𝘓'𝘩𝘶𝘮𝘢𝘯𝘪𝘵𝘦́ 𝘴'𝘦́𝘵𝘦𝘪𝘯𝘵 𝘥𝘦̀𝘴 𝘭𝘰𝘳𝘴 𝘲𝘶𝘦 𝘭'𝘦𝘴𝘱𝘰𝘪𝘳 𝘥𝘪𝘴𝘱𝘢𝘳𝘢𝘪̂𝘵. »
Pendant longtemps, chaque 31 décembre, la menace d'une fin du monde à minuit passée était devenue une sorte de tradition dans le monde entier. Ell...
Sans rien dire, il poussa la rideau de douche et sorti brutalement de l'espace clos. Je resta figée sur place, et merde... Là j'avais merdé, et pas qu'un peu...
" Putain, pourquoi j'ai fait ça ..."
***
Je resta plantée comme une con, ne sachant quoi faire ni quoi dire... Mais soudain, le rideau de douche fut dégager d'un geste brusque et Dixon rentra. Je le regarda les yeux écaruqillés. Son visage n'indiquait rien de bon, je commença à paniqué. C'est pas que j'avais peur, enfin si un peu, j'étais terrifiée à vrai dire. Des tonnes de scénarios se mirent en place dans ma tête. Il se figea deux secondes, en me regardant fixement. Je pris mon courage à deux mains, et décida de parler.
- D'solé.
Ce fut les seuls mots qui sortirent de ma bouche. Je savais plus où me mettre, et le fait qu'il se tape un fixe comme ça sur moi me faisait encore plus flipper. J'aurais préféré qu'il gueule finalement que de rester bloqué dans ce silence morbide. Le voyant figé, je dégluti.
- Da... Daryl ? Ca va ? demandai-je, peu sur de moi.
Ses yeux eurent une lueur étrange, des éclaires traversaient ses pupilles. Mais pour toute réponse, il s'avança rapidement vers moi. Par peur, je me recula et me colla contre la paroi. Il s'approcha d'un coup. Et ce fut moi finalement la plus surprise : il posa brutalement ses lèvres sur les miennes. Mais ce fut moins doux, plus vrai, plus authentique, plus violent. Je lâcha la pomme de douche par surprise, qui tomba sur le sol dans un bruit sourd.
Oups ! Cette image n'est pas conforme à nos directives de contenu. Afin de continuer la publication, veuillez la retirer ou mettre en ligne une autre image.
J'écarquilla les yeux deux secondes avant de me laisser aller. Sa langue chercha la mienne, nos lèvres dansaient un salsa endiablé, s'embriquant parfaitement. Ce baiser dura assez longtemps pour me donner l'envie qu'il ne s'arrête jamais. Je senti dans l'air une tension montée, mais c'était différent des autres fois. Il accrocha sa main dans la mienne et la lèva en la plaquant au mur. J'étais à sa merci.
" BARRES TOI ! criai ma conscience."
Je devais arrêter ça.Je devais. Je... Mais merde, est-ce que j'avais envie d'arrêter ça ? Nan. bordel, bordel. Mon cerveau paniquait mais mon corps ne réagissait plus. Il contrôlait tout, comme à son habitude...
Je ressenti des papillons dans mon ventre et passa ma main, aggripant sa nuque. Il embrassait parfaitement. Je senti ses mains parcourir ma taille et mon dos tout. Il me colla contre le paroi, tout en me collant contre lui, tenant fermemant mes hanches. Il était ferme dans ses gestes et sa prise brutale. Nos respirations s'accélérèrent. Ca allait dégénéré, j'le savais. Même si mon cerveau me disait d'arrêter de faire cette connerie, mon corps n'étais pas de cet avis.
Soudainement, un bruit nous fit revenir à la réalité. On se détacha des lèvres de l'autre, paniquant. Nilui, ni moi, ne comprenait ce qui venait de se produire. Là c'était clair, si quelqu'un rentrait, on était fichu et maintenant on savait qu'on avait déconné. Mon coeur s'emballa.
