Chapitre 4: La fièvre

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Précédemment dans The Walking Dead: Survive to the Death...


Daryl c'était sentit coupable par rapport à la mort de Carol, qui c'est fait torturé une fois de trop. Il c'est vite sentit soulagé en apprenant que ce n'a pas été le cas. Cependant quand Judy reviens, son changement de comportement n'échappe pas du tout à Daryl. Après que le nom de Rick Grimes vient sur le tapis, Judy décide alors l'aider à sortir. Elle confie une dette qu'elle aurait envers le shérif, mais n'en révèle pas plus. Daryl prétexta alors un point de rencontre à une vingtaine de kilomètre. Alec accompagné d'une quinzaine de ces hommes, sortirent du camps, prêt à en découdre avec le groupe de Daryl, en allant au point de rendez-vous qu'avait indiqué Daryl.

Pendant ce temps, Judy ayant préparer leur évasion, aide Daryl à sortir du garage, mais Alec revient plus tôt que prévu. Il ordonne alors leurs morts à tout les deux. Ils sortirent de justesse et coururent dans la forêt. Des coups de feux fusèrent de partout et dans la course poursuite, Daryl reçu une balle dans la jambe. Tyler qui fut sur leur trace, les rattrapa et une bagarre s'engagea entre lui et Judy. Finalement, Judy prit le dessus et abattit froidement l'homme sans sourciller. Judy et Daryl reprirent leur chemin, mais la jeune femme garda sa main sur son arme, sentant le coup fourré venir du chasseur.



On se trouvait toujours dans la forêt, mais on n'avait arrêté de courir. Tout ce que je voyais c'était des arbres, des buissons et encore des arbres. Seulement, le calme et le silence de la forêt avait quelque chose d'apaisant et de réconfortant. Ça faisait plusieurs heures qu'on marchait et qu'aucun de nous ne brisait le silence. On avait marché toute la journée, sans s'arrêter, ni même fait une pause pipi. Je restais quand même sur mes gardes et je laissais ma main sur mon arme, prête à dégainer aux moindres mouvement suspect.

Je n'avais aucune confiance dans les gens en général. Il m'avait trop souvent montrés que je ne pouvais pas leur faire confiance. Depuis, je ne faisais confiance à personne et aucun homme ou femme n'assurait mes arrières à part moi. Je n'avais pas d'amis et j'étais encore moins tombé amoureuse... L'amour c'était bon qu'à faire souffrir et je savais pas vraiment à quoi ça servait très sincèrement.

Non mais sérieusement, à quoi ça servait de se dire je t'aime et tout c'est niaiserie si c'était pour aller baiser avec quelqu'un d'autre au final. Moi, quand j'avais envie de coucher, j'allais dans un bar, je trouvais un mec canon, on finissait la soirée ensemble, on faisait des folies avec nos corps et puis basta. Pas d'attache, pas de sentiment et c'était pas plus mal.

Sortant de mes pensées, Daryl me fit signe de s'arrêter. Mon regard se promena alors autour de la forêt, guettant le moindre bruit. Je vis les épaisses feuilles des arbres empêcher la lumière de s'infiltrer jusqu'à nous. Par chance, quelques rayons du soleil orangée réussissaient à illuminer un peu la forêt. Les quelques buissons bougeaient au rythme d'une brise légère et les petits craquements indiquaient que la vie nocturne de la forêt venait de commencer.

J'avais l'impression que nous tournions en rond depuis des heures, car chaque arbre, chaque fleur, chaque buisson se ressemblait. Les oiseaux avaient arrêtés de pépier depuis un petit moment. Les ombres des branches s'étiraient comme des bras qui tentaient de s'accrocher les uns aux autres. Des bruits étranges résonnaient. Je suspectais les animaux de la forêt de se faufiler dans les buissons, afin de se protéger des prédateurs.

Survive to the deathOù les histoires vivent. Découvrez maintenant