Acceptez-moi comme je suis [ EN CORRECTION ]

Chapitre 20

Je décide de la soulever en mode princesse elle est encore endormie, pose sa tête sur ma poitrine et mets sa main sur mon épaule. Et nous voilà parti vers ma chambre, je n'ai pas eu de difficulté à monter les escaliers. Une fois arrivée devant ma chambre, j'ouvre la porte avec un peu de difficulté, entre et la dépose sur le lit. Je la regarde quelques instants avant de partir mettre mon pyjama. Je me dirige vers la salle de bain. Je ne peux pas me changer dans la chambre, je préfère prendre mes précautions.

Après avoir mis mon pyjama, je sors et avance vers mon lit. J'allais me coucher mais je me rends compte que je ne peux pas la laisser comme ça. Je me dirige vers l'autre côté du lit, j'essaye de la réveiller pour qu'elle se change.

Moi : Luna, il faut que tu te changes.

Elle : Non. Laisse-moi dormir. Dit-elle à moitié endormie.

Moi : Tu veux que je te laisse comme ça.

Elle : Non, fais-le toi-même.

Moi : Quoi ? Tu veux que je te change ?

Elle : Oui, s'il te plaît.

J'avale difficilement ma salive et je décide d'enlever son tee-shirt ce qui me donne une belle vue sur sa poitrine. Je finis par détourner le regard pour lui enlever son jogging. Je commence à lui enlever mais plus je l'enlève et moins j'arrive à m'empêcher de la regarder. J'aperçois le bord de sa partie et plus je la regarde, plus elle m'excite.

Il faut que j'arrête, ce n'est pas bien ce que je fais. Je décide finalement de lui remonter son jogging, la tentation est trop forte. Je la replace sur le lit sans lui avoir changé son t-shirt. Je la recouvre d'un drap et pars dormir de mon côté, dos à elle. Quelques minutes plus tard, je finis par m'endormir.

La lumière du jour qui rentre dans ma chambre m'éblouit. Je prends mon oreiller et le mets sur ma tête pour cacher mes yeux de la lumière et peut-être me rendormir. Quand tout à coup, je sens une main sur ma hanche et un corps qui se colle au mien. Je sens la respiration de Luna sur ma nuque et ça me donne des frissons.

Je ne comprends pas comment elle peut me faire autant d'effet. J'essaie d'enlever sa main de ma hanche mais aussitôt fait, elle la remet puis elle se resserre un peu plus. Je ne suis pas près de me lever. En tout cas pas tant qu'elle me serre de cette façon. Je suppose qu'elle dort profondément pendant que moi j'essaie d'atténuer l'effet qu'elle me fait. Je ressens l'excitation de mon sexe, ce qui veut dire que je commence à bander. « Il ne peut pas y avoir pire situation que celle-ci ! » dis-je sans m'en rendre. De toute façon, ce n'est pas grave car elle dort.

Elle : Qu'est-ce qui ne peut pas être pire comme situation ? Dit-elle avec une voix encore endormie.

Je pense que j'ai parlé trop fort, dire que je pensais qu'elle dormait. Il faut que je trouve quelque chose à dire, je suis dans la merde. Qu'est-ce que je vais bien pouvoir lui répondre ?

Elle : Alex, pourquoi tu ne me réponds pas ?

Moi : Répondre à quoi ? Dis-je avec une voix endormie.

J'espère qu'elle ne va pas remarquer que je fais semblant.

Elle : À ma question.

Moi : Quelle question ? Dis-je toujours avec un jeu d'acteur à couper le souffle.

Elle : Celle que je t'ai posée quand tu as dit et je te cite : « Il ne peut pas y avoir pire situation que celle-ci ».

Moi : Peut-être que je parlais dans mon sommeil. Dis-je avec un sourire collé aux lèvres.

J'espère que ma voix ne me trahit pas. Heureusement, j'ai toujours mon oreiller sur ma tête.

Elle : Tu ne te moquerais pas un peu de moi par hasard. Rétorque-t-elle en se redressant.

Je ne me retourne pas et ajoute.

Moi : Bien sûr que non, je n'oserai pas. Dis-je avec une voix innocente, tout en souriant et en appuyant un peu plus l'oreiller sur mon visage.

Elle : Alors, pourquoi caches-tu ton visage ? Montre-moi ton visage, je veux voir si tu es sérieuse.

Moi : Il y a trop de lumière. Rétorquais-je toujours avec le sourire.

Elle : Allez montre-moi ta tête. Dit-elle en me forçant à me retourner.

Soudainement, elle me chevauche et se place au niveau de mon bassin, à la naissance de mon intimité. Je me retrouve entre ses deux jambes. Je tiens toujours l'oreiller avec mes deux mains, le presse au maximum pour qu'elle ne parvienne pas à le retirer de mes mains.

Elle : Allez, montre-moi... En tirant dessus.

Moi : Non, non, je ne veux pas. Dis-je en riant.

Mais elle finit par me l'enlever du visage. Un visage sur lequel j'affiche un grand sourire, je n'arrive pas à me retenir.

Elle : Madame n'oserait pas se foutre de moi alors qu'elle affiche un grand sourire.

Moi : Euh ça, c'est un sourire automatique. À chaque fois que je me réveille et bien je souris. Rétorquais-je en essayant d'être la plus sérieuse possible mais apparemment, c'est peine perdue.

Elle : Tu ne te moqueras pas encore de moi là ?

Moi : Non, non.

Sans prévenir, elle vient me chatouiller et j'éclate de rire.

Elle : Tu fais moins la maligne, dit-elle en continuant ses chatouilles.

Moi : Non... non... Arrête... C'est bon... Je vais avouer... Arrivais-je à dire entre les rires.

Elle s'arrête et je peux enfin respirer.

Elle : Alors parle, je t'écoute.

Moi : Attend que je reprenne au moins ma respiration. Dis-je avec le sourire et essoufflée.

Elle : OK, tu l'auras voulu...

Elle allait recommencer mais je l'arrête.

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Nouvelle histoire disponible " VIVRE MALGRÉ TOUT "
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