Crush

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La fac est une ville, un noyaux vivant dont les pulsations sont guidés par les allers et venues des élèves dans les bâtiments. Une ville aux multiples visages, qui apprends et se construit avec toutes les cultures. La fac c'est une ville, dans la ville, avec ses appartements, ses restaurants, ses bibliothèques, ses salles de sport et son accès aux transports. En sois, la fac est un centre de vie et de travail, qui regroupe toute les générations.

Chaque bâtiments accueilles une formation, souvent prisée, souvent détestée, elle est au fil des mois, le bonheur ou le malheur des étudiants qui y sont inscrit. Et puis, il y à les gens que l'on croise, des milliers de visages aux caractéristiques différentes qui se mélanges et se fondent les uns dans les autres.

Au détour d'un couloirs, l'étudiant, hagard, qui quitte son cours la tête encore plongée dans ses réflexions, ou celle assise sur les marches du grand escalier, musique dans les oreilles, les yeux plongés dans un livre de sociologie. Ces visages qui au fils des mois, des jours, s'effacent, s'effilochent, se gomment et disparaissent dans la masse dysfonctionnelle du flots incessant d'étudiants.

Et puis il y à ceux qui vous marques, parce que bien qu'ordinaire ils ont cette étincelle qui attire le regard, ce petit quelques chose d'insoupçonnée qui donne envie d'en apprendre d'avantage. Ceux qui, bien que discret, attire tous les regards sur eux en traversant les couloirs bondés d'élèves, encore endormis. Ceux-là sont rare et pourtant bien présents et puis dans tout ce monde, dans cette foule bruyante et éclectique, il y à toi.

Toi, qui ne sais pas que j'existe. Toi, qui ne se doute pas de l'emprise que tu exerce sur moi. Toi, qui est mon centre de gravité. Toi, dont les cheveux blond attire le soleil et dont les yeux verts reflètes l'herbe du parc principale. Toi, dont le sourire énigmatique attire les filles comme des abeilles vers le miel. Tu es un de ceux qui attire les regards, un de ceux qui, inconsciemment, se font une place dans cette ruche en ébullition permanente. Toi qui, involontairement, marque les esprits sache que, tu as marquer le mien aujourd'hui. 

OS DestielOù les histoires vivent. Découvrez maintenant