Coucou, désolé du temps entre chaque publications, mais avec mes cours et la préparation de mes examens en fin d'année c'est dur de géré... J'ai écris ce OS, là, pour tout vous dire je n'en suis pas très fière, ça sera à vous de jugés !
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C'était impossible. Inconcevable et pourtant toutes les preuves étaient là. Il venait de se prendre un mur. Ou plutôt il venait de se prendre vérité en pleine face et dieu qu'elle était dure à entendre. Il dégluti en essayant de réfléchir, mais rien ni fit. Son esprit était sans cesse redirigé dans cette spirale de sentiments nouveaux qui émergeaient en lui comme un volcan en éruption. Ça lui faisait mal. Mal d'admettre qu'il était tombé. Tombé amoureux. Fou. Raide dingue de lui.
De ses cheveux en bataille. De sa peau claire. De ses yeux bleu océan. De son regard profond. De son nez. De ses lèvres fines. De ses épaules carrées. De son corps finement musclé. Du tatouage sur ses côtes gauches. De sa taille fine. De ses expressions. De sa façon de parler et la liste était tellement longue qu'il n'arrivait plus à faire le tri. Il pensait que tout ceci n'était que passager, mais au fil du temps la douce chaleur qu'il ressentait en sa présence devenait un brasier impossible à éteindre. Il ne pouvait s'empêcher de le regarder, de le détailler. Toujours et encore. Il jurait contre lui-même quand son esprit divaguait de façon un peu trop osé.
Un homme. Comment avait-il fait pour tomber fou d'un homme ? Lui qui avait l'habitude d'enchainer les coups d'un soir. Les femmes de passages qui cherchaient, juste le temps d'une nuit, la chaleur d'un homme et il était pour elles, cet homme. Aujourd'hui tout était différent, depuis qu'il était arrivé dans sa vie, plus rien n'était comme avant et tous ces soirs, d'habitude, si jouissif n'avaient plus de goût. Toutes ses certitudes volaient en éclat quand le regard océan se posait sur lui et le sondait.
Assis derrière le volant, il regardait le mur de la chambre du motel depuis près de trois heures. Il était littéralement en train de péter un plomb. Ses idées étaient mélangées. Il commençait à avoir la migraine. Après le départ de Sam, il à deux heures en arrières, il n'avait pas bougé. Il savait qu'il était dans la chambre.
Il devait le faire. Il devait lui dire, il savait qu'il ne tiendrait pas longtemps encore dans cet état. Il inspirât un grand coup, il fallait qu'il se comporte comme l'homme qu'il était. Il sortit de la voiture et se dirigea vers la chambre. Il ouvrit la porte avec détermination. Détermination si brutale que l'ange installé sur le lit sursauta en faisant tomber son livre. Il leva les yeux vers son protégé qui était debout dans l'entrée, une expression déterminer et les yeux encrés dans les siens.
- Dean ?
Celui-ci s'avança rapidement vers l'ange et sans lui laisser le temps de faire quoi que ce soit, le plaqua contre le mur et emprisonna ses lèvres des siennes. Dean avait raison, dieu que c'était bon de pouvoir enfin l'embrasser. Il se colla d'avantage à l'ange en approfondissant le baiser, baiser auquel l'ange répondit.
En revenant ce soir-là, Sam fut quelque peu désarçonné de trouvé son frère et l'ange dans une position quelque peu gênante et ce moment allait être marqué à vie dans sa mémoire.
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Alors verdicts ?
