Il m'attrape par le poignet, me faisant basculer vers lui avec une aisance incroyable. Son torse m'accueille avec douceur et ses mains viennent caresser mes hanches sensuellement. Ils nous déplace vers l'un des plan de travail, nettoyer, alors que nos front sont collés l'un à l'autre et que mes mains caresses son dos. Une fois près du plan, il attrape mes hanches pour m'asseoir sur celui-ci, puis se placer entre mes jambe, collant son bassin au mien. Ses lèvres viennent se posées sur les mienne avec douceur et je fond, passant mes bras dans son cou pour le rapprocher de moi. Sa rapproche trop rapide fit percuter nos deux bassins et je l'entends grogner de plaisir, alors que le baiser se fait plus ardent...
Mon dieu je crois que je suis amoureux de ses lèvres... Pardon ?! J'ouvre brusquement les yeux, percutant ceux fermés de Castiel. Pris de panique, je me recule un peu trop brusquement, faisant ouvrir les yeux au brun. Mon cerveau mit un moment à analyser la situation et soudain je compris. Si mon cerveau me joues des tours je le tuerait doucement, pourtant tout ceci est réel. Moi assis sur un des plans de l'atelier, avec Castiel debout entre mes jambes, le regard noir de désir et les joues rosies par le froid, ou par le plaisir, je l'ignore. D'une main tremblante, je caresse sa joue droite, alors que l'autre part se perdre dans ses cheveux et je le vois fermer les yeux. Il est réel, merde, comment c'est arrivé ? Il doit sûrement voir que je commence à trop réfléchir et c'est avec un sourire rassurant qu'il se rapproche de moi, mouvant son bassin contre le mien, déclenchant une vague de plaisir incontrôlable. Ses lèvres viennent prendre les miennes pour me rassurer et ses mouvements de bassin s'accélèrent. Je me perds dans ce plaisir soudain, les mains accrochés a ses hanches, comme s'il risquait de disparaître. Alors que le plaisir monte et que la pièce se réchauffe, le brun s'éloigne de moi, reprenant peu à peu son souffle, son regard noir plongé dans le mien.
- Les autres vont venir nous chercher, je suis désolé de mettre fin à tout ça, mais on va devoir y aller...
Je mets un certain temps à retrouver mes esprits, puis je descends de la table, remettant ma blouse au passage, avant de sortir sans jeter un regard à Castiel, qui s'occupe de ranger les trois bricoles qu'il reste. Mes jambes trembles encore et mes pensées son confuses alors que j'attrape le classeur et le cahier de casse pour remonter à l'étage. Je me change à la hâte, après avoir déposer le classeur et le cahier sur le bureau de mon manager. Lorsque je quitte le vestiaire Castiel arrive en sens inverse, faisant lentement glisser sa main sur la mienne et il faut que je sorte avant de lui sauter dessus au milieu du couloir.
- Attends moi dehors. Me glisse-t-il à l'oreille
Je le regarde disparaître dans le vestiaire et je reste planter là, comme un con au milieu du couloir. Xavier débarque à ce moment là pour me demander de sortir et je lui indique que mon collègue se trouve encore dans les vestiaires avant de descendre l'escalier pour sortir. À l'extérieur je retrouve toute l'équipe des caisses, ainsi que Sam et Yohan, avec qui je discute un peu avant de les voir partir. Seul à côté de la porte, avec Xavier j'attends Castiel, qui ne tarde pas à nous rejoindre. Xavier ferme et je fais genre de m'éloigner avant de le voir disparaître dans sa voiture et de me tourner vers Castiel. Il me fixe de ses yeux azure et mon cœur loupe un battement lorsqu'il se rapproche doucement. Ses lèvres caresses les miennes alors que ses mains se glisse sous mon t-shirt. Très vite, je me retrouve bloqué entre la façade du magasin et son corps musclé, j'ai chaud et aussi, un peu mal au dos.
Honnêtement, je ne sais pas comment on s'est retrouver chez lui, je ne me souviens même pas du trajet. Tout ce que je sens c'est sa peau contre la mienne et ses mouvements lents de bassin, qui me rendent fou. D'un mouvement agile, il nous allonge sur le canapé et ses baisers passent de mes lèvres à mon torse, glissant lentement et sensuellement sur mon torse et mes abdos. Lorsque le bout de sa langue atteint l'élastique de mon caleçon, mon souffle se coupe et je boue de l'intérieur. Le sentant sûrement, il me retire ce qui me reste de tissue et me prends en bouche. Pendant de longues et interminable minutes, il se joue de moi, accélérant et ralentissant ses vas-et-viens avant de me laisser au bord du précipice pour remonter vers mes lèvres. Je l'admire alors qu'il hôte la dernière barrière entre sa peau et la mienne, avant de se rapprocher et de reprendre ses mouvements de bassin.
Je déraille, je défaille, alors que ma peau se couvre doucement de sueur et que mon cerveau perd tout ce qui lui restait d'air. Je cesse de respirer lorsque je le sens enfin en moi, et la friction de sa peau contre la mienne me procure un plaisir brûlant, qui m'apaise et manque de me faire perdre la tête. Mes mots se perdent dans le flots de gémissement que nous produisons et puis je sens son corps se contracter et je comprends qu'il arrive au point de non retour, tout comme moi, qui perds le souffle entre ses mains expertes. La libération se fait dans un cri d'extase et ses lèvres rejoignent les miennes, alors qu'il s'étend sur moi. Nous reprenons doucement nos souffles et je fermes les yeux lorsque ses doigts retracent le contour du tatouage présent sur mon torse.
- Ça fait longtemps que j'attendais ça...
Déjà au bord de la fonte totale, cette simple phrase aggrave mon cas et je baisse les yeux vers les siens, déjà fixés sur moi.
- Vraiment ?
Il hoche la tête avec un demi sourire séducteur, pour venir ensuite m'embrasser. Le simple contacte de ses lèvres sur les miennes suffit à raviver l'envie en moi, et très vite, nous nous laissons entraîner dans cet engrenage brûlant de la chair.
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Bon voilà, c'est la fin... Je vais vous avez un truc c'est la première fois que je poste un texte sans idées pour la suite...
Dis te moi si vous avez des envies particulières en message privé !
Gros bisous les loulous !